| Carnet de bord de Aout 2018 | Partager sur Facebook |
Après une petite marche hier soir, le tour du pâté d'entreprise de Gondrant à chez Scania, puis un recontrolage des écrous de roues ensuite dans le un peu plus frais, j'ai bien dormi pour me lever à 6h. Dej vite fait, et je file à 6h45 au proche client. Quai de suite. Ici aussi ça prépare du meuble en kit. J'étais aller dans le passé, années Sceta, chez Magne, je ne pense pas que c'est ici. Vide presque aussitôt, la suite ne tarde pas à venir également, un SMS me suggère d'aller à Montélimar prendre un complet pour le 08 en foulée. 08, en Catalogne, naturelmente. Ça y est, je gigotte des jambes !
Ce soir 19h55, ça doit passer large. Je file tout de suite à Montélimar, où on me fait signe de me mettre à quai à peine rentré dans la cour. Il n'est pas 9h que je repars déjà avec un complet d'emballages. C'est plutôt large, je garde un peu la natio histoire de trouver une douche en chemin. mais Donzère est encore fermé. Pas grave, je continue via la 86, ça paume peu de temps, et j'ai des habitudes à ne pas trop brusquer. N'allons pas trop vite!
A9 à Remoulins, et arrêt enfin à Marguerites pour une bonne douche plutôt correcte et même gratuite. Rentrée oblige, j'investi dans un Michelin Espagne Portugal. Je suis bête, j'ai pas pensé à vérifier si ça faisait aussi la Catalogne. Au pire j'ai encore une carte verte de la région dans un coffre. Sinon l'atlas ça relève un peu du pari sur l'avenir, mais le mien datait quand même de 93 ou 94! Ça connaissait pas les C ou trop les B.
A9 au taquet maintenant, on va quand même essayer de se pointer bien avant, sur un malentendu, comme y en a qui dise tout le temps.
Encore un truc qui fait drôle, ne pas mettre le cligno à Narbonne en direction de l'A61. Déjà que j'ai raturé ma lettre de voiture ce matin en cochant la case nationale puis inter, en relisant!
Cassage de graine à la Palme, très bien posé, avec vue sur les étangs dans le rétro. Je rentre en Espagne, enfin en Catalogne après une montée au pas du Perthus, interdiction de doubler oblige. Je plagie le pisciniste avec cette réflexion.
Je continue dans mon élan, sans sortir, et m'offre juste une pause de 15’ café à Montseny, je suis presque arrivé.
Sortie à Granollers sud, et c'est dans le poligono de Congost, qu'il faut remonter entièrement car rues en sens unique. Je repère quelques places, au cas où ce soit vraiment trop tôt.
16h10, c'est sûr, c'est un peu tôt, et ne peux pas rester à la boutique, je ne peux revenir qu'à 19h30, j'arrive à négocier 25. Retour à l'entrée du PI, et me gare presque a l'ombre, juste avant le panneau d'information. Une bonne 3h à boucler.
Je m'amuse à refaire un tour complet à pinces pour occuper, et prendre 2 3 photos, mais pas de gros poissons, hormis 2 Daf 2800 que j'ai loupé, mierda! Sans parler que ça pue bien par ici, il doit encore y avoir une usine de charcute dans le secteur, les mouches tiennent compagnie. J'y retourne à 19h30. Je rentre cette fois, mais pour me garer aussitôt face aux quais, pour attendre. C’est marrant, j'ai l'impression que rien n'a bougé depuis 16h, les mêmes camions à quai, et sur le parking. Pas bon.
19h55, rien, ça bouge pas en effet. A 25 je vais refaire signe au gardien, rien, il ne sait pas me dire. J’ y retourne peu de temps après, signaler que ma coupure doit commencer vers 21h30..En gros que je dois me coucher bientôt. C'est marrant c'est lui qui roupillait derrière sa vitre! Bon je suis à quai à 21h10, un grand pas d'effectué.
Mais ça ne vide qu'au compte goutte, ça cause beaucoup surtout, sur le quai où on ne peut accéder. J'ai le temps de manger, ça dure jusque tard dans la nuit. Ça sort continuellement au compte goutte, mais au moins ça ne bavarde plus,ce qui me permet de roupiller un peu, les panards sur la portière ouverte. Je sors de là je ne sais même pas l'heure qu'il est, à coup de 25 secondes.
Bien posé à 200m de cette usine, censée fabriquer du parfum, mais qui n'arrive pas a couvrir l'odeur nauséabonde d'à côté. Enfin, c'est éclairé comme en plein jour.