FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2018 Partager sur Facebook
  • Photos
  • un peu de verdure, c'est plus joli
    104 liner
  • Lundi 30 Avril 2018
  •  

    Cornimont, 2h25, fin de weekend quasi estival, faut y aller.

     

    Estival, mais ça n’empêche que j’ai quand même remis un pull au vu du vent qu’il a fait cette nuit.

     

    On garde les horaires qui vont bien. Sur la 4, ça roule, un peu de peuple, presque comme d’habitude, tout le monde ne fait pas le pont visiblement. Même la gendarmerie est sur la garde, j’ai aperçu une lumière bleue fixe sur le pavillon d’une Mégane break, près d’un champ, façon Guardia Civil en Espagne. Ce cadre rappellerait presque la Castille y Leon. Enfin ici on est plus chez Léon qu’en  Castille.

     

    J'arrive sans trop de mal à Vaudoy en 4h20. Sieste et thermos de café au programme court de 50’.

     

    La RP est plutôt assez verte ce matin d’après le Sytadin. Enfin, peu importe, pour aller à Combs la Ville c'est pas trop le problème. Du oui je suis bien en avance d’une heure au rdv à la base Monop’. Là aussi pas un chat, donc quai de suite, à 9h je repars, très bien. Le 2 ème, les emballages, c'est au nord 77, Mitry Mory. Pourquoi pas, à part que ça m'enchante guère, car je recharge juste à côté d'ici, à Lisses, même si on me paye tous les kilomètres naturellement. Le Mitry n’ouvrant qu’à 8h après renseignement pris, ça aurait été trop juste de tourner dans le bon sens pour respecter le rdv de 9h30 de monop. Bref presque 1h de 104 pour monter là haut, même si ça roule assez bien, mis à part les dénivelés vers Villevaudé comme tous le temps. Il est 10h chez le fournisseur qui fait dans l’emboutissage, mais qui n’a pas l’air de trop emboutir aujourd'hui. Ça avait même l’air fermé, juste 2 voitures sur le parking, mais non la logistique bosse, ouf.

     

    Ça vide au tir Pal les vieux emballages en tôle, heureusement car la météo est carrément redevenue hivernale, 6 degrés pluie et vent.

     

    Une demi heure plus tard, retour sur mes pas de la 104. Super. Quel autre métier peut procurer une telle dose d’exotisme.

     

    Je mets tout logiquement un peu plus d’une heure pour arriver de l’autre côté de Corbeil. C’est dans la zone plateforme logistique. C’est un truc d'épicerie, il est 11h30, pas de bol, mes commandes ne sont prêtes qu’à 13h30. Ça fait pas trop plaisir, mais bon n’importe comment je ne rentrerai pas à 22h ce soir, mais le plutôt serait le mieux.

     

    À peine au camion,le GSM sonne, c’est Pascale qui vient aux nouvelles. En fait elle avait oublié de me dire que c'est midi qu’elle m’avait annoncé ici. Ah ben c'est plus pareil ça. Je retourne voir le gars du quai. Ah oui, il est au courant, à l'instant… Pascale est furax, et me dit que si à 13h je n’ai rien, que je fasse signer les cmr et le barre.

     

    Bon, n'allons pas trop vite, je casse une graine, on verra. Mise à quai à 13h, le type du bureau me dit que les dernières palettes seront prêtes le temps du début du chargement. On se charge. C’est de l'épicerie diverse. En fait j'attends la dernière palette, bien 20’. Le type, ce n’est plus le même, changement d'équipe oblige, me fait tourner en bourrique, elle arrive elle arrive…

     

    Je me barre enfin à 14h20. J'aurais pu me barrer à vide à 13h, mais bon.

     

    Plus qu’à achever les heures, go sur N4. Je passe Vitry et me pose dans la zi de Vitry Marolles, il est 16h45, au lit direct .