FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2020 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Les voies de Monteux sont impénétrables
    Bientôt, il faudra revenir chercher les plants de tomate
    Superbe, dans son jus
    Dur dur !
    Une croisette avec Pierre le professeur
  • Lundi 3 Février 2020
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    C'est quand même un hiver de dingo encore ! Il a fait tellement bon ce week-end que j'ai commencé a bosser un peu au jardin, c'est toujours ça de moins à faire au printemps, j'ai un boulot monstre et la retraite est encore loin. Pour ce premier lundi de fevrier j'aurai presque pû partir au boulot en tee shirt, mais il faut quand même pas exagerer. A 7h05 c'est parti, St Peray se reveille doucement, ça passe presque nickel pour rejoindre l'A7 direction le south. A 9h je débarque à Monteux sans aucun bouchon, ce qui est loin d'être le cas dans l'autre sens. Je n'étais pas passé depuis quelques mois sur la rocade de Carpentras, elle est desormais presque toute bordée de batiments, de zones diverses, elle ne sert déjà plus à rien, il va falloir bientôt une nouvelle rocade pour éviter la rocade.

    20 minutes pour vider le complet de caisses vides, le cariste m'a amené un transpal electrique. Quand je pense que la plupart des industriels que je livre en ont jamais et qu'il faut tirer les IBC de 1000kg à la main, ça tourne pas rond dans ce monde. Le petit Maxime m'a dégotté un Nimes-Belleville foulée pour recharger, sur Avignon, c'est encore la guerre, j'ai pas envie de me prendre la tête, je passe par Noves, Beaucaire, c'est bien plus cool. Mais un poil plus long, quoique. Le voyage est constitué de 35 palettes de pinard carrefour, je ne m'appelle pas Pierre70, j'y connais rien en vin, toujours est il que c'est bien lourd, à midi c'est chargé, y a plus qu'à remonter.

    Cassament de graine au calme à Loriol, je passe Lyon juste avant le coup de feu du soir, mais il y a un sacré paquet de casses couilles sur le periph ou on a un tas de tarés qui freinent à 40/50 on sait pas pourquoi. Quand c'était 90, ils roulaient tous à 100, maintenant c'est 70, ils sont à 50, faut qu'on m'explique.

    L'entrepôt du pinard à Belleville est chez Alainé, mon voisin de quai est un GNT, il parait qu'ils ont été rachetés et que le personnel a été divisé par 2. Pourtant ça avait l'air solide comme maison. Une fois vide, c'est retour Jarcieu pour un rechargement destination Catalogne. Sur Lyon c'est bien la misère je contourne par St Quentin, et vers Oytier, il y a Pierre Turbostar qui me suit, serrage de paluche à l'arrache au bord de la D75, c'est un mec bien le professeur. Au dépôt, Stéphane me confie si je l'accepte, une mission impossible qui consite en 3 drops au nord de Barcelone et recharger un congelé le soir à Juia, je ne peux qu'accepter, et on verra bien demain. Je traine pas, je vais vite me dormir, demain le reveil est réglé à 3h45, c'est tôt.