Carnet de bord de Novembre 2020 | Partager sur Facebook |
Michel Galabru aurait dit, "c'est le nooord", et je ne l'aurait pas démenti, il caille sa race ce matin. A 8h je decolle et on ne sait toujours pas si c'est Trump le débile qui a gagné ou Biden le vieillard, qui sera le prochain bigboss de la world company ? C'est donc dans le brouillard de l'A1 que j'écoute les informations du service public à la radio. 52 minutes plus tard, je me pose au centre des routiers internationaux à Roye, le parking est bien vide, il y a de la place et de l'eau chaude et même une paire de pompes de sécu taille 44, juste pour moi.
Je ne me suis pas éternisé non plus, on sortant, je me suis eclaté la main contre un presentoir, j'ai rien cassé, mais on a rigolé avec la fille du magasin, je remarque qu'avec le masque on est moins habile, c'est pas la première fois que ça m'arrive, par exemple, j'arrive pas à faire une manoeuvre délicate avec le masque. Et vous ? La traversée de la capitale passe au vert quand j'arrive sur Senlis, impeccable, A86 tout shuss, puis juste un petit ralentissement après Rungis, bref que dalle. Au final, 4h20 pour arriver sous les éoliennes à Auxerre, pile poil l'heure de becter, 30 minutes, pas plus.
Je peux continuer ma sieste digestive sur l'A6, c'est vraiment tranquille cet aprem, et c'est exactement ce dont j'ai besoin : du calme. Je voulais tenter de livrer la palette de St Vulbas aujourd'hui, il n'y avait pas de stress, ça receptionne jusqu'à 21h, mais il faut arriver avant bien sûr. Du coup, je suis large, je pose la palette, une dernière coupure, et je passe Lyon par le periph, fluide à 18h30, pas de bouchon à Givors, il est même pas 20h quand je me pose sur le parking à SNF Andrezieux, impeccable, ce fût un jeudi optimisé.