Carnet de bord de Février 2024 | Partager sur Facebook |
Vers 6h on tape à la porte, un vigile qui me dit que la directrice veut que je bouge, que j'aille me garer ailleurs, je l'ai envoyé chier. Après vérification, le directrice, Claire Chambon a pris ses fonction au début du mois, mais ça change rien, il y a pas de places pour se garer nulle part.
Après le café je décolle à 11h. Je devais faire un Margès-La Roche Sur Foron, finalement ça se transforme en un Pont d'Ain Puget Sur Argens. C'est l'occasion d'aller pour la 1ere fois dans ce gros dépôt logistique qu'on voit depuis l'autoroute. Partout c'est écrit, "interdit de dormir". Quel boulot de merde quand même c'est devenu. T'as pas le droit de dormir nulle part, tu peux bientôt plus de laver, tu fais chier partout ou tu vas, y a des jours ou je me dis que je ferais aussi bien de tout envoyer ballader. Malgré tout, ils sont bien mignons ici, vite chargé et avec le sourire. De complet, c'est passé à 10m de plancher.
Je dois passer chez Schmitz prendre une commande pour le garage Duarig. J'ai le temps, je coupe à travers par Saint Vulbas, au passage je croise le Ford à Baloo la vedette. J'arrive en même temps que Tonin chez Schmitz, le hasard fait pas toujours bien les choses. Je voulais qu'il raque le café, mais en fait le café est gratuit ici, c'est vraiment pas de chance. Retour ensuite à Jarcieu ou je laisse juste le colis à Hervé et je me taille. Demain, le magasin ou je livre n'ouvre qu'à 9h, ça me laisse le temps de passer à la maison, là j'ai le droit de me garer et la douche fonctionne.
A 19h30, tout le monde est rentré au bercail, je peux me sauver, toujours calé à 84 pas lourd mais malgré un gros vent de face la conso baisse un peu. Une fois sur l'A8 il y a très peu de trafic, je remarque qu'il y a presque âs de frigos espagnols, c'est étrange quand même sur cet axe. Il est un peu plus de 23h quand je me gare le long d'Intersport, le zone commerciale est vraiment mal foutue, enfin on verra demain au jour.