FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Février 2020 Partager sur Facebook
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  • Bref c'est lundi
    Tridome carcassonne
    Les journĂ©es doivent ĂȘtre longues
    Ho lala !
    PILE POIL
  • Lundi 17 Février 2020
  •  

    Niveau week end, on a connu mieux après la visite du père à Bibi, qui est au plus mal, on a bien compris que ça n'allait pas fort. Malgré tout, ce matin, il a bien fallu partir travailler. Maxime m'avait dit entre 8h et 10h à Carcassonne, en gros chez moi ça fait 9h. Donc, je démarre à 3h30 du parking, vu l'heure ça roule nickel, et je sais que d'ici, ça passe en 4h30 pour Carcassonne, mais j'ai pas envie de me casser la tête, j'ai le temps, j'ai les plaques orange, je me cale à 85, ça fait serieux et ça fait pas trop perdre de temps. Arrivé à l'Aire des Corbières, j'ai 4h de guidon, le jour tente une légère percée, pile poil la bonne heure pour aller tater de l'oreiller.

    J'allais me lever quand j'ai vu le mot "Maison" s'afficher sur le téléphone, j'ai bien sûr compris que c'était fini. C'est comme ça, chacun son tour, et la vie ne fait pas de cadeaux, du moins pas toujours. Du coup, quand j'arrive pour vider chez TRIDOME, et que le cariste me dit qu'il videra pas avant 10h parce qu'il y a pas de place et qu'il en a marre de faire la merde des autres, j'en ai un peu rien à carrer, et je vais attendre au camion. 2 minutes plus tard, le type sort la première palette, les 30 autres, c'est pour ma pomme au transpal à main, ça a duré plus d'une heure tellement il était motivé le cariste.

    A peine vide, Maxime m'envoie la suite à Mazères dans le 09 chez Denjean, un bail que je suis pas allé la bas, c'est toujours aussi cool, et on est pas nombreux pour charger, tant mieux, à 12h30 c'est fait, la semi est pleine, avec un RDV demain 18h à Vienne, y a le temps. Ce soir, il me reste encore pas mal de gasoil, ça serait bien de trouver un parking sérieux.

    J'avais 7h et des boulettes en passant à Béziers, ça faisait un peu tôt pour s'arrêter, j'aurai aussi pû m'arrêter à celui de Lunel, mais j'y ai pas pensé, du coup, plongé dans mes pensées, j'ai débarqué garé avec 10H00 à Montélimar. Je repensais à l'époque ou Marcel m'accompagnait sur des tours en Espagne ou Italie, il aimait pas trop l'Allemagne, là ou son frère avait été tué pendant la guerre. Une autre sale époque.