FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2019 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Contrôle du matin
    A7 au Luxembourg, calme
    Comité d'accueuil à Spa
    Faire bonne pitance
    Spa H24
  • Samedi 27 Juillet 2019
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    Comme annoncé par les spécialistes de la météo, les températures ont chuté et je dormais vraiment bien quand ce batard de reveil chinois m'a reveillé. Il pleuvaissait, un temps à glander au lit. Mais voilà, le travail est pas du même avis que moi, à 8h15 je démarre, c'est mon destin. C'est le premier samedi d'interdictions de l'été, malgré tout il y a quelques camions, dont le mien, mais j'ai le droit. Je prends un café un vol à La Maxe ou il n'y a pas un m² de libre pour se garer évidement.

    Malgré tout, l'avantage de monter le samedi, c'est qua ça roule nickel pour aller vers le grand Duduché du Luxembourg, aucun bouchon, mais je perds quand même un peu de temps parce que j'ai droit à un contrôle DREAL à la frontière, décidement, on ne me lâche pas en ce moment. Il faudrait que je regarde dans mes anciens CDB, mais il me semble que c'est pas la 1ere fois un samedi matin ici. RAS évidement, tout est nickel. Je passe par l'A7, c'est cool, il y a personne qui transite par là, tout le monde continue soit par Arlon, soit Trèves, pourvu que ça dure encore un peu. Je fais le gasoil à la ARAL à Diekirch, pas d'attente, gros débit, le top. Le temps n'était déjà pas jojo, mais il est franchement moche arrivé en Belgique.

    A midi bien passée je me gare avec les copains à Spa. Je suis le dernier, juste à mettre les pieds sous la table. Faut être malin dans la vie. Le repas du midi à Spa, c'est le calme avant la tempête, il faut en profiter. Wim m'a amené un joli montage avec des photos des Trans Europ, la grande classe !! A 16h c'est le top départ des 24h, le temps se degrade un peu, mais ça roule et on distribue à un rythme soutenu. Je fais une sieste de 19h à 22h, parce que j'ai été désigné d'office par hasard par Arthur pour faire la nuit. Après minuit on se retrouve plus qu'à 3 avec Mathis, Yvan et moi. Chacun son boulot, y a pas besoin de se parler, sauf pour se dire des conneries. Il pleut de plus en plus, on est vite trempés jusqu'à l'os. Mathis part dormir à 5h, moi à 6. On sert plus à rien, il pleut tellement que la course est stoppée, autant dormir au calme !