FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Septembre 2021 Partager sur Facebook
  • Photos
  • ça vide
    les margelles arrivent, toutes chaudes
    Christophe
    récap pour Mich 07
  • Vendredi 3 Septembre 2021
  •  

    Ce matin je troque le maillot de bain Waterair contre la tenue Peugeot-Citroën, réveil 4h30. Bien sûr le troquet est fermé mais sous la véranda il y a une Thermos de café , du lait... C'est moins bien qu'avec l'ancienne proprio mais ça a le mérite d'exister.

    5h40 je suis chez Pigeot pour rendez-vous 6h, tranquille. Le magasin CAV que je ne connaissais pas c'est en fait le ferrage, le mec me fait entrer directement, on vide 4 à 5m de plancher en latéral, facile. L'usine est immense elle s'étend des deux côtés de la voie ferrée, autrefois on entrait par deux portes différentes, depuis quelques années Peugeot a fait un pont à l'intérieur de l'enceinte, gros moyens. Donc je saute de l'autre côté, au nord. Bêtement je vais à la réception nord mais depuis peu il y a deux nord, Vesoul nord 1 et 2. Ah ? La dame, charmante, fait mon dossier et m'envoie chez ses collègues. Les deux rendez-vous sont super précis, 6h40 et 7h20 faut pas que ça merde au premier, mais non ça se passe nickel. Juste à VN2 où le cariste me raconte sa vie. Je crois qu'il relève de la psychiatrie, il prépare une phrase à haute voix, «  je pars en vacances ce soir au soleil », après il me la dit, et il va dire exactement la même phrase à son collègue au quai d'à côté, et ainsi de suite. Étrange ce mec. Je lui souhaite bonnes vacances et je file, des fois que ça soit contagieux... Il n'est pas 8h et j'ai vidé trois magasins, y a rien à dire.

    A 9h je suis à la maison, café douche. J'occupe la matinée, je vidange ma bécane, je vais la laver, demain on roule.

    La semaine n'est pas tout à fait terminée, à 13h je remets en route, je vais chez Laily pour charger deux couvertures. A 2h je suis à Seppois, je n'ai rendez-vous qu'à 16h mais je pense que ça va s'arranger... Fabrice est tout content, il finit de charger Jean-François et m'attaque dans la foulée. Normalement il y avait Christophe entre deux mais il n'est pas là. Il se pointe juste après, Antoine le charge dehors, il fait grand beau, s'il avait plu j'aurais eu des scrupules, tout va bien. J'ai un gros chargement, couvertures, enrouleur de couverture, une chiée d'escalier, si j'étais vulgaire je vous aurais dit qu'il a fallu mettre un peu de vaseline pour que ça rentre mais pas de ça chez nous.

    A 16h tapantes je pose le camion à Bourogne, bon congés de fin de semaine à tous, le ciel vous tienne en joie.