| Carnet de bord de Juin 2020 | Partager sur Facebook |
Pooouuu que ça fait du bien ! Je reprends le volant frais comme un gardon, à 5h le centre routier était fermé comme je m'en doutais, et comme d'hab' je suis venu déjeuner et me doucher à Donzère. D'ailleurs le relais de Donzère est le seul ouvert entre Piolenc et Montélo. Je finis mes 30 après Lyon, j'aurais pu pousser un peu plus loin mais j'aurais pu pousser une pile de pont aussi...
Je ne vais pas en faire une fixation mais ce matin j'ai pensé à compter les Girteka sur la 83. Donc en gros sur 150 bornes de Bourg-Viriat à Besançon-Valentin j'ai croisé 17 Girteka, 3 Lotos Baltika, 4 Transtira voilà pour les LT, ensuite du PL RO BG en veux-tu en voilà, 1 Patinter et 2 Espagnols de chez Perez et ….et....roulement de tambour...un Oberson. L'honneur de mon cher pays est sauf, envoyez la Marseillaise. Qui est plutôt la Jurassienne par Rouget de Lisle m'enfin je ne vais pas changer le cours des choses, c'est juste du chauvinisme comtois que je dis ça.
A 13h j'appelle Séverine, c'est elle qui habite le plus près du dépôt, elle vient m'ouvrir. Le temps qu'elle arrive je vire les deux premières palettes avec le Moffett, il n'y a vraiment pas la place pour passer la lèvre du quai.Cyrille a fait mettre une semi vide au quai d'à côté, j'ai juste à transvaser, fastoche. Faut quand même prendre le Fen pour les deux dernières, on a des tampons qui remontent assez haut et le tire-pal électrique ne lève pas assez haut. C'est compliqué à expliquer pour qui n'a jamais vu de quai mais les professionnels me comprendront comme dit l'inénarrable mec de chez Onatra dans ses petites annonces.
Je prends le temps de manger ma dernière tomate au premier parking, le croissant de Donzère à 6h30 est bien loin dans mon énorme tube digestif. Pis je ne suis plus à un quart d'heure près.
Au quatrième top de 16h je serre le frein de parc à Bourogne, je suis quand même rentré pour le goûter finalement. Bon week-end à tous, le ciel vous tienne en joie.