| Carnet de bord de Juillet 2021 | Partager sur Facebook |
Réveil 5h, le troquet est fermé je déjeune au camion, pour la douche ma foi ce sera à la maison tout à l'heure. Juste avant 6h je suis devant le portail de chez Geodis, déjà un Italien en V8, normal, et un Français en Merco de base, normal. L'Italien vide en latéral dehors donc, l'autre je ne sais pas ce qu'il bricole dans sa remorque, du coup je suis seul au guichet. Un noir que je n'ai jamais vu me dit : « ah mais ça c'est pas ici ! » Je blêmis j'ai déjà descendu le Moffett, ouvert les portes. Il rigole, il se fout de ma gueule en fait ! Je lui dis que c'était possible, Geodis a déjà changé, avant on vidait de l'autre côté à 200m. Il me donne un quai, un cariste m'attaque de suite, cool ! A 7h05 los muebles de cocinas sont sur le quai, le top !
Du coup j'ai le temps je passe par Mirebeau sur Bèze, j'adore ce nom, Gray Vesoul, je m'offre même un café croissant à Bucey les Gy en vitesse. Deux retraités tournent déjà au petit blanc, la vie quoi !
A 10h et quart je suis à Seppois, comme Pauline nous a échangé avec Sébastien mes papiers ne sont pas prêts. Il manque un liner sur une rénovation donc tout mon chargement est en attente informatique, c'est ballot. Coup de bol mon liner est dans l'arrivage de ce matin, je vais secouer Jean-Pierre. J'en profite pour lui refiler les cartons d'ordi de Barcelone, il est ravi, une merde de plus dans son magasin. Je peux charger. Il est vite midi. Les filles font ce qu'elles peuvent pour faire mes enveloppes au plus vite. Elles mangent sur place donc elles finissent avant de casser la croûte, sympa. Je me renseigne pour le Locatec de Madrid, Antoine me dit qu'il l'a expédié ...en Suède ! En fait non c'était un autre. Ah ben là si c'était vrai Iñaki montait en bagnole et faisait une tuerie de masse comme aux States.
A 13h je pose le camion à Bourogne, muy bien. Bon week-end à toutes et tous, le ciel vous tienne en joie.