FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Aout 2022 Partager sur Facebook
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    on se baigne dans l'Ain
    Jura
  • Mardi 9 Aout 2022
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    Le compagnon de la patronne est malade paraît-il, c'est la mémé qui fait l'ouverture. Café, je monte à la douche et zou !

    A 7h moins le quart je suis chez FM. Ici c'est pas comme à Fauverney les bornes automatiques sont masquées, on s'inscrit à l'ancienne sur un papelard. Dans les 5 minutes on m'appelle : quai 27. Je pensais que ça allait durer des plombes, 61 palettes, des réf' en veux-tu en voilà mais non. Juste à un moment le cariste n'a pas levé assez, le ski d'une palette a accroché la lèvre du quai, rapide comme l'éclair j'ai retenu la pile de colis, c'est un miracle que ça ne soit pas cassé la gueule. Truc bien ici, on récupère les palettes vides directement, c'est un autre cariste qui les apporte, nickel.

    Comme avec Laurence j'ai reçu mon retour hier en fin d'après-midi, je dois aller déposer les Europe aux transports Bernard à Loriol, c'est le transporteur qu'on voit au bord de l'autoroute. Au bureau et sur le quai les gens sont bien sympas, en un quart d'heure c'est fait.

    A 11h30 je suis sur le port Edouard Herriot à Lyon. Arrivé à cette heure je ne me fais pas d'illusions,c'est mort pour charger avant midi d'autant que la fille au bureau, charmante entre parenthèses, me dit que j'ai deux camions devant moi. Pas grave je me suis pris du pain à Donzère, j'avais prévu le coup. Bascule et je vais me mettre derrière les autres. Aussitôt arrive un gars qui me dit qu'on charge de suite, je lui parle, par élégance, des autres camions, mais il me répond qu'ils ne chargent pas la même chose. Donc la fille charmante elle est un peu à l'ouest... On charge des balles de vieux cartons, à la pince, par deux, ça file, les deux dernières par les portes et zou ! Retour sur la bascule, il est midi dix, à l'interphone un mec me dit que je suis pesé mais que les filles sont parties, j'aurai les papiers à 13h. Pas bien grave. Je me tâtais, en carburant je pourrais peut-être livrer cet après-midi, cette fois c'est mort. Je prends le temps de manger, un vrai repas de communion. A 13h05 je me casse.

    J'ai le temps je rentre à l'économie, autoroute jusqu'à Méximieux puis N83 jusqu'au dépôt.

    J'y suis à 17h15, je vais voir Séverine, c'est elle la cheffe ces jours-ci, elle me dit qu'elle ne sait pas encore ce que je fais demain, mais de ne pas démarrer trop tôt, ça sert à rien. C'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd... Je saute dans la Fiat....Richtung maison.