Carnet de bord de Avril 2022 | Partager sur Facebook |
On s'est donné rendez-vous à 9h avec Miguel, je me lève à 7h, café napolitano douche, une brave dame termine de nettoyer et me donne la clef, nickel.
Juste avant 9 h je suis à Alpicat, l'entrée du lotissement est étroite mais à l'intérieur les rues sont larges. Miguel n'est pas là il m'a envoyé le jeune Martin. On perd un peu de temps, il y a une merde avec les margelles, elles sont pour un autre chantier. Je ne pouvais pas savoir, j'ai transvasé samedi au dépôt, personne ne m'a rien dit évidemment. Je pose la palette dans la furgoneta de Martin et il s'en débrouille.
Allez, un peu de ménage dans la semi et je m'en vais recharger. J'ai largement le temps, je roule peinard à l'économie, les paysages sont superbes j'en profite.
Sur les coups de midi je suis à Solsona, ça ne bouge pas beaucoup, déjà deux camions à quai et un en attente. J'ai le temps de faire un repas de communion, sans le champagne hélas. A un moment le cariste vient me chercher, il me fait passer devant le gars du 66, en fait pour lui ce n'est toujours pas prêt, il poireaute depuis 10h ce matin.
A 15h je m'en vais avec mes 24 tonnes de sciure. La route est une longue descente jusqu'à Manresa, avec les palettes sur deux tu fais pas trop le fifou dans les virages.
Bien sûr je passe au gas-oil et Adblue à Figueras. J'aurais pu couper chez Padrosa ou à la Jonquera mais il est vachement tôt. Je saute de l'autre côté de montagne. A Fitou le parking est plein, elle a mis les poubelles pour empêcher d'entrer pour rien, je pousse donc jusqu'à Sigean. Ici le parking est bien plus grand, il y a de la place jusque tard.