Carnet de bord de Février 2023 | Partager sur Facebook |
Je pensais boire le café avec Joël mais entre douche et débarbouillage pour lui on n'a fait que se croiser, pas grave. A 7h et demi je suis chez FM à Fauverney. Il faut s'inscrire à une borne, fastoche, sauf qu'à un moment le zinzin te demande un numéro de rendez-vous. C'est écrit où ça ? Sur le BL il y a une chiée de nombres, bien sûr je les essaye tous, nada. Je vais demander au gardien, il me dit que c'est un numéro qui commence par 19 ? J'épluche le truc mais j'ai pas ça... Je lui redemande, il prend ma feuille : « c'est celui-ci, faut juste enlever les deux premiers chiffres. » Sérieux ? C'est débile !!! Comment on peut deviner ? Enfin bref, à 8h pile je suis à quai. Bon en fait ils sont tous en pause, ensuite une jeune femme se pointe, ça va vite. Je balance mes Europe dans la semi et je file. Cyrille m'envoie faire une ramasse chez Martelet, comme d'hab'. Le chef de quai me dit qu'ils sont en réception, faut que je revienne à 10h30. Ah non mon gars, c'est trop tard, cet après-midi j'ai piscine. Il râle, moi aussi, le ton monte, finalement il me dit de me mettre quai 6. Il y a 9 palettes au sol, c'est torché en 5 minutes, c'était bien la peine de gueuler. Je prends la rocade direction Besançon, Cyrille m'appelle : « tu as chargé ? Merde on a vendu le lot » Putain, je me vois mal revenir à quai : « oups, tu vas rire, faut qu'on revide, c'est un affrété qui va recharger... » Il m'envoie aux transports Libbra, c'est pas loin. Purée c'est ça le transport mon gars, l'art de perdre du temps.
A 11h je suis à Devecey, je me charge un lot de terreau à nouveau, j'ai calculé mon truc, je me garde 6m devant, puis le terreau et il me restera 3 bons mètres au cul pour un escalier. Zou, direction Seppois, je prends le temps de manger un bout quand même.
Un peu avant 15h je suis à l'usine, Jérôme a juste fini, pile poil l'histoire. Je n'ai que 3 piscines, ça va vite à charger, on y va et c'est le drame, il manque 10 cm. Putain. Fabrice me file un tire-pal, je recule tout le terreau de 10 cm. J'ai pas été bon j'avoue, j'ai mal calculé mon truc ça arrive. Je suis le dernier à charger je n'ai fait chier personne. Le grand escalier Enjoy passe aux portes, c'est ric-rac, nickel.
A 16h30 je pause le camion à Bourogne, 3210km, la quatorzaine est bien chargée mais je suis dans les clous, le top. Bon week-end à toutes et tous, le ciel vous tienne en joie.