Carnet de bord de Février 2023 | Partager sur Facebook |
A Bourogne il doit y avoir un micro-climat, à la maison le pare-brise de la Fiesta était gelé, celui du tracteur ne l'est pas, c'est pas plus mal. Décollage à 7h15.
Il y a du camion en veux-tu en voilà sur l'A36 ce matin, je quitte ce petit monde à Baume les Dames et je passe par le haut. C'est sur la 83 que j'allume le Coyote, c'est une orgie de radars cette route, je crois que l'état devient fou avec ça, il y a des radars donc la sécurité routière est assurée, point barre. Pause pain à Buvilly, oui là où il y a le radar... Ensuite la radio me saoule, j'avance dans le podcast de Radio France sur Léon Blum, c'est signé Philippe Colin donc bien fichu.
Comme tous les lundis il me faut 4h30 pour aller à Feyzin, il est presque midi, c'est calculé mon histoire faut pas croire. Après je chope mon habituel coup de pompe vers Orange, je dors un quart d'heure, fin bien.
Je sors de l'autoroute à Nîmes et bien sûr c'est le bouz pour monter la route d'Alès, ici peu importe l'heure entre l'autoroute et le rond-point de l'hôpital dans les deux sens c'est une horreur.
A 16h10 je suis à Moulézan petit patelin mais avec un joli carrefour où je peux me garer tranquille. La maison est 2 ou 300m de là j'y vais avec l'escalier en premier. La baraque est en construction mais il n'y a personne sur place. Je téléphone : messagerie. Le client me rappelle dans les 5 minutes, il me dit qu'il a reçu un mail pour décaler la livraison à mercredi. Sûrement pas ! Mercredi je suis à Madrid. Encore un qui a confondu la livraison de la piscine et la livraison du gabarit de traçage par DPD, c'est source de confusion, les gens voient Waterair, ils pensent qu'ils vont être livré par une Estafette de messagerie. Estafette ça fait ancien, je peux mettre J7 si vous préférez, ou HY...
Le gars se pointe, comme il me l'avait dit, une grosse demi-heure plus tard, j'ai eu le temps de faire mon truc. Il m'ouvre le garage, on range tout, je contrôle et zou !
Parfois on dit qu'il faut remettre l'église au milieu du village, ici elle y est, tellement qu'il faut tourner autour, c'est même juste, en semi il n'y a rien de trop. La route est bien étroite jusqu'à choper celle de Sommières, ensuite c'est du gâteau jusqu'à Montpellier. Comme la semaine dernière je ne passe pas par le Perthus donc je vais au gas-oil à Baillargues histoire d'être serein demain et je m'en vais souper au Relais du Soleil. 8h52 de volant, au poil.