Carnet de bord de Aout 2020 | Partager sur Facebook |
Il n'y a quand même pas un monde fou dans les restos, c'est inquiétant, l'avantage c'est qu'il n'y a pas d'attente pour les chiottes ou la douche. A 7h m'en vais.
Je passe chez Jeantet pour mettre un coup d'eau mais le lavage est fermé, pas la peine de payer un lavage à côté vu la météo qui s'annonce. Le garage est fermé je voulais des ampoules, tant pis. Les deux feux de gabarit de ma caravane sont cramés, j'aime pas.
Je monte à Devecey pour les pleins, rendre les papiers et prendre des ampoules. Le gas-oil ça va mais il n'y a plus de loupiotes comme je veux, pfouuu. Taximètre à zéro, je rentre.
En passant à Audincourt je vois le garage électro-diesel, je m'arrête, miracle ! Ils ont des ampoules 24v 4watts. Bon 12 balles les 8, ce sont des Bosch j'espère qu'elles dureront plus longtemps que les merdes qu'on a d'habitude. Putain cette histoire d'ampoules ça aura été le point culminant de ma journée. Avec des feux qui fonctionnent je peux aller me garer devant chez ma chérie pour manger un morceau.
A 14h je suis à Seppois, pour rdv 15h, nickel. Je me mets en place direct, Fabrice est ravi, on va finir de bonne heure... Mouais, sauf que je n'ai pas les papiers, il manque une palette de margelles pour Madrid, elle doit arriver avec le camion de cet après-midi...grrrrrr ! Je prends juste une photocopie de la liste et on commence à charger en se gardant une place pour las brocales. En grattant un peu de place tout passe au sol. Le camion de margelles arrive, Jean-Pierre l'attaque de suite mais ma palette n'y est pas. N'en déplaise à un bétonneur auvergnat, les Allemands sont les rois du béton, les blockhaus d'Hitler sont toujours sur les plages c'est bien la preuve, mais là faut reconnaître qu'ils merdent. Je retourne à Madrid la semaine suivante, je pense que je les aurai, pis c'est pas le truc le plus urgent dans le montage d'une piscine non plus.
A 16h30 je pose le camion à Bourogne, semaine de reprise terminée. Bon week' à toutes, le ciel vous tienne en joie.