Carnet de bord de Avril 2022 | Partager sur Facebook |
A 7h et demi je suis à Seppois, il y a du monde on charge en doublon. Sauf qu'il y a une merde avec mes margelles pour l'Espagne. Les Allemands sont les rois du béton mais pas de l'organisation. Ils ont fabriqué celles de la semaine prochaine mais pas celles d'aujourd'hui. Ah l'Allemagne, depuis la fin du 3ème Reich c'est plus ce que c'était...Donc bien sûr il y a conciliabule, c'est le côté latin des Alsaciens, il faut parlementer. Un camion devrait - conditionnel- les apporter aujourd'hui. Je demande à Jean-Pierre il n'en sait rien. Bon, on charge, je laisse de la place et on avisera. Moi je veux bien attendre mais attendre pour quoi ? Je propose que si elles arrivent ils les chargent dans le dernier ATS du jour, c'est à dire Jérôme. Et moi je les prendrai lundi au dépôt. On fait ça.
A 10h30 je suis au resto de ma douce, je fais un gros ménage de la cabine, on mange et je remonte à Besançon. Ça arrange mes affaires de laisser le camion au dépôt ce week-end, je vais gagner un peu de temps et étaler les heures de la quatorzaine, une heure c'est pas grand chose mais voilà.
Je décroche ma caravane et j’attelle la semi qu'on a transvasé hier. J'ai rendez-vous à 14h à St Vit.
A moins le quart je suis chez U, la fille à l'accueil me demande si je sais aller à SV1, j'y allais qu'elle ne devait pas être née mais je ne dis rien au risque de passer pour un vieux con. Elle m'a donné un numéro de quai, je m'y mets direct mais l'allée est pleine, faut attendre un peu qu'ils fassent de la place. Faut être honnête ça va super vite, en plus je n'ai qu'une référence le contrôle n'est qu'une formalité, à 15h pile c'est vide.
Je passe chez Jeantet pour laver, un bon de coup de Karcher et balai, ça lui fait pas de mal. Ensuite je rentre au dépôt, décroche raccroche. Je rends mes papiers et je saute dans la 208. Bon week-end à tous, le ciel vous tienne en joie.