Carnet de bord de Mai 2024 | Partager sur Facebook |
Ici il n'y a pas de douche donc comme d'hab' je vais déjeuner et me doucher à Hostalric. Il y a eu un gros carton sur l'AP7, Google annonce +45 min. Ouhla ! Je ne suis pas pressé mais quand même. Le bouchon refoule jusqu 'à Granollers, c'est là que je sors, Maps me fait passer devant le circuit puis Parets del Valles, il y a du monde je ne suis pas le seul à suivre Maps mais ça roule. Je me retrouve sur la C17 qui passe sous l'autoroute et j'entre dans la zone par le bas, côté Mollet on va dire. Ouf !
Je pose la paquet de rénos sur le quai de chez Nord Logway, le gars qui s'occupe du Waterair signe mon CMR, aucun contrôle, rien, est-ce-qu'il me fait confiance j'en sais rien.
Je vais me faire payer le café chez Wat'. C'est triste, Marionna est partie la semaine dernière, Montsé m'en avait parlé au téléphone. La pauvre, elle a vendu trois piscines en 2023 et zéro en 2024, comment sortir un salaire ? Nico me raconte que le poseur de liners est reparti au Guatemala, c'est affreux ce manque d'eau ici.
J'ai le même retour que la dernière fois à Maçanet de la Selva. Idem, j'ai rendez-vous à 15h, j'y vais tranquille. A midi et demi je me présente au gardien, il m'enregistre, facile je suis encore dans sa machine, il téléphone et me dit : « muelle dos ». Je sais très bien que c'est pas ça, les quais c'est pour expédier les tapis finis pas les conteneurs vides, évidemment je ne dis rien, j'entre. Je vais voir au quai en question, le chef me dit 15h... Je le savais. Je lui raconte que je suis déjà venu, que je vais attendre aux emballages. Il est d'accord. Je me mets en place, j'ouvre, et un cariste vient me voir, il me dit qu'il a un truc à faire et qu'il me charge ensuite. Yes ! Son truc dure un peu longtemps m'enfin, il revient. On charge 8 piles d'emballages, et à la dernière pile son engin tombe en panne. C'est un gros Fen électrique, il a beau éteindre rallumer, rebouter, rien n'y fait. Le zinzin ne roule qu'en marche arrière, et à petite vitesse ! Il revient un bon moment après avec un énorme chariot qui doit servir à la prod pour déplacer les outils de presse. J'avais proposé de me charger avec mon yoyo mais vu le poids des cageots j'avais un doute. C'est mieux comme ça. A 14h30 en gros je me sauve.
Le gas-oil et l'Adibou crient famine, je passe à l'AS24 à Figueras. La dernière fois c'était à livrer le vendredi, cette fois c'est pour lundi, je suis largement plus détendu. Détendu ou pas je sors à Remoulins et je monte couper chez la reine des desserts.