Carnet de bord de Janvier 2022 | Partager sur Facebook |
Avant de démarrer je prends le temps de décrocher pour remettre mes calottes d'ailes blanches, je les ai refaites ce week-end, ça me plaît mieux. Les puristes non-daltoniens me diront que ce n'est pas exactement le même blanc. Samedi matin j'ai appelé chez Scania Besac' pour avoir la bonne nuance, le mec m'a dit qu'il y a dix blancs différents chez Scania. J'avais jamais remarqué et ça sert à quoi ? Chez Norauto j'ai trouvé un blanc ivoire, on voit à peine la différence, et puis avec le temps qu'il fait aujourd'hui ça va être vite crépi.
Je m'arrête quand même chez Jeantet pour passer un coup de Karcher et de balai, ça enlève la boue, je sais bien que dans dix km ce sera bon à refaire mais faut pas déconner, sinon on lave jamais.
Ça roule normalement jusqu'après Digoin, la RCEA est à nouveau fermée, tout le monde passe par Le Donjon et Lapalisse, c'est bien pénible. On ne peut pas en vouloir aux étrangers de rouler tranquille quand on ne connaît pas, même si ça me casse les bonbecs. Il y a même un petit bouchon à cause d'une circulation alternée au Donjon. Quelques minutes perdues, fait chier mais il n'y a pas d'alternative. Du coup j'arrive à mon petit parking avant Lapalisse avec 4h30 tout pile.
Après Vichy c'est autoroute tout du long, là je rattrape quelques précieuses minutes. L'idée c'est de ne pas griller une 10h et de valider une coupure de 11. La 11 je l'aurai c'est sûr, la seconde sera faite demain, je rentre samedi il m'en faudra deux, pas le choix.
Au péage de Cahors sud j'ai 8h45, allez fonce tonton. Je tombe sur un camion de l'Aftral, je sais pas s'il a vu que je suis pressé mais il se sert sur un dégagement pour me laisser la route, merci la station. Je me gare au Relais d'Auvergne à Caussade avec 9h04 de volant. D'un commun accord avec moi-même je compte ça pour 9h et basta.