Carnet de bord de Mai 2020 | Partager sur Facebook |
Ce devait être un bon plan dodo pendant le confinement ici, mais là ça circule bien sans parler les toupineux qui tournent sans complexe ni trop de discrétion depuis bien tôt depuis le machin Vicat à côté, alors que j’aurais pu grâce matiner un peu. Heureusement reste la boulangerie à proximité pour bien démarrer ce mardi malgré tout.
Je mets en route le pus tard possible, 8h30 et suis 10 minutes plus tard chez Dimotrans. Il ya du monde, j’ai un quai mai ce ne sera bien qu’à 9h pour vider les pal de Grèce. 9h30 je repars.Go à Reventin en 2, chez le spécialiste des Balkans, enfin non de la Scandinavie.
ça roule bien sur A46 et Vienne se traverse bien, j’arrive à la PO 1h plus tard et vide trsè vite les pièces PL du 25 qui finiront en Suède via la Belgique. Le cariste est bien sympa, je lui demande si il a 5 minutes pour me rendre le service de remettre la longueur de ferraille au sol. Faut qu’il sorte dehors, il accepte, et avec le sourire.
Bon la suite étant pour les bobines anglaises à Rives, j’aurais pu faire un stop à Jarcieu pour cette opération, mais c’est fait.
C’est kifkif en km, via Vienne ou Chanas Jarcieu, j’y vais donc par ce dernier itinéraire, la bonne D519. Rives, c’est toujours à la même et vieille authentique papeterie que la dernière fois, où on fait riper du pneu en ayant peur pour ses rétros, mais le beau temps en plus. Et e plus d’être assez cool, le même cariste vide du temps de midi, ma longueur aux portes ne le gêne même pas. Je ressors et mange ma salade trouvée à la boulangerie ce matin vite fait et file au dernier au sud de Grenoble, à Varces.
Une boutique de charpentes, la longueur déchargée et la semi est cette fois vide. Pas pour longtemps, une ramasse ne tarde pas à tomber, Tullins au nord de Grenoble vers Moirans.
Une bonne demi heure plus tard je charge 3 pal pour le 66 et peux rentrer au dépôt. En me promenant tout de même un peu en passant via Moirans et Rives par la 85, je commence à connaître le secteur. Et en plus depuis que mon collègue Moriaud Philippe m’a dit qu’il s’y était marié en 1988, cette commune de Rives ne peut plus laisser indifférent. Au moins il n’a pas eu à faire venir un animateur pour la soirée de noces.
J’arrive à 17h à Jarcieu, me dépêche de me mettre à quai, au cas où que mes palettes seraient pour Grégory à côté. Mais rien ne va mal, il prend bien mes palettes, moi je charge de la GB ensuite, mais il nous manquera des lots que Philippe Moriaud (toujours lui!) est encore en train de charger à Monistrol sur Loire, dans le 43, très très loin quoi.
En attendant je charge ce quE je peux, dont des énormes racks de textile vide par côté avec Philippe. Et y a mon copain Emeric qui a l’air en forme et qui traine pour repartir. On cause GB avec Jean Noël qui nous dit qu’on en reviendra de la GB quand on en aura bouffé pendant 34 ans comme lui. Il n’en peut plus de ces c……. de rosbeef de m….!
Je me remets à quai, passe sous la douche, et on n’a plus qu’à attendre le père Rires et Chansons avec Greg tous seuls comme des grands, mais avec tout de même des sms de Stéphane qui tient au courant de l’avancée fulgurante du plus sympathique des chauffeurs Duarig. “Roussillon” “sorti de l’autoroute”. Bref, il arrive à 20h15 bien passé, il n’y a plus de stress, une bonne vanne pour commencer, et de plus la 3h sera validée.
Il a les ¾ pour greg, et des caisses de 2m pour moin à glisser le long des racks, on se fait un peu chier, mais un diable qui traine par là évite encore une manipulation par les côtés.
Je me sauve à quasi 21h, la 3h est nickelle et il me reste de l’amplitude, c’est tout good malgré tout.
Je suis sur la réserve de gazole, mais je vais finir ce jour comme ça, 2 petites heures plus tard, je me pose au BP Truckstop de Mâcon, il va être 23h, c’est à peine au tiers plein.