Carnet de bord de Septembre 2025 | Partager sur Facebook |
Je ne prends pas de risque à passer par Oytier pour me rendre à SQF (nombreux rond points, freinage, circulation). Ce sera l'A46 ; à cette heure, ca va, mais sortie à la hauteur de Moins pour passer devant le Cheval Blanc.
De suite à quai, ca ne pinaille pas de bon matin, si bien que j'arrive à Meyzieu pour charger avant 8H00. Mais en arrivant dans la rue du client, je reçois un appel de Virgile, qui me demande de faire donc une cinquième navette. Robert pourra en faire une, pas Benoit. Bon, ben je m'y colle. Je perds trois heures de volant dans l'histoire et quatre pour l'amplitude.
De retour à Meyzieu, je me fait gentiment taper sur les doigts au regard de mon retard. Par contre, c'est un mal pour un bien : il n'a y personne, nada.
Choix de courte durée quand je vois mon BL : ce sont des canettes. Qui dit canette dit sanglage. Qui dit sanglage de palettes de canettes, dit équerres. Purée ma cheville. Bon, j'y vais cool, et en trente minutes, je finis ma séance de bondage SM.
Je file à la douche, histoire de souffler un peu, et puis j'ai quarante cinq à faire. Alors, un bon bain, et un petit repas léger. Je prépare un petit lot de biscuits pour le trajet, histoire de retrouver un semblant de moral pour ma montée en RP. En revenant de la douche, j'entends un sifflement d'air : RAS au niveau de mes flexibles. Pas copris, mais je comprendrais plus tard lors de mon arrêt le soir.
Je monte full autoroute ; moi qui m'était dit "on va faire le Morvan tranquillement, et bien non Autobahn jusqu'à Courtenay, avec une petite pause en haute du Bessey, histoire de détendre ma patte gauche et soulager ma vessie. J'enlèverais sur ce dernier tronçon, l'attelle, qui m'énerve quelque peu.
Je passe le péage de Courtenay avec 4H27 au tachy ; je dépasserais donc un peu, mais comme dit Pierre : on s'en bat les c.... En fait, il ne dit pas tout à fait ça, mais l'idée est là.
Une fois garé, je m'aperçois que c'est un de mes poumons de suspension de ma cabine qui a lâché.
Mais, ce sont deux Volvo de la maison Richard du 4 qui sont garés au fond?
Mais ne serait pas la plaque de Tim sur l'un d'eux?
Puis le gars qui sirote un breuvage à base de houblon, il ressemble fortement à notre immense Tim.
Ben oui, c'est lui. Il est accompagné d'un de ses jeunes collègues : David.
On passera un moment sur la terrasse, pus on continuera à bavarder autour d'une table ; c'était bien cool. Vincent est d'un calme, c'est fou. La sagesse incarnée.
C'était vraiment sympa de se revoir depuis le temps. On s'est croisé quelques fois entre Nantes et Lyon, sur nos parcours inversé.
Bon, j'ai pris du retard sur le CDB, mais j'ai un mot d'excuses ; pas de Pierre, mais de Vincent.