Carnet de bord de Mars 2024 | Partager sur Facebook |
Ca y est la cuisine est finie, enfin il me reste juste la crédence à poser; ce sera des carreaux, en fait.
Sur la mail d'affrêtement, il nous ait demandé une livraison entre 7 et 8 chez le client à Meyzieu. Perso, avec la reprise du boulot suite aux congés d'hiver, je vise d'y aller au plus tôt, afin d'éviter les bouchons habituels de l'A46. Je pars du dépôt à 6H21, la faute à un café partagé avec Bechir. Bon, les 10 mn perdues ne seront pas catastrophiques, puisque je ne serais pas à l'arrêt sur tout le parcours fait sur l'A46 ; même à l'approche de l'A43, on est descendu bien bas en vitesse, mais jamais à l'arrêt. Et c'est donc à 7H10, que j'entre sur le parking désert du client. Chouette, prem's et de plus, il n'y a aucun des camions de la boite qui stationnent dans les deux halls de l'entreprise.
Je cours à l'accueil, très sympathique au demeurrant, car réalisé par un ancien chauffeur SPL. Bien, c'est le seul truc positif de la matinée: l'accueil sympa du gars. Même si il m'a précisé de suite que le déchargement n'était pas de son ressort, mais du bon vouloir de ses collègues, mais qui n'ont pas beaucoup de boulot de préparation!!!
Parce qu'après.....A 8h00, je relance, puis à 8h45, 9H30. Je commence à pester, voir désagréable avec les personnes que je rencontre, comme la ravissante RH, lorsque je lui demande de vérifier que la machine à café ne soit pas assurée, ce n'est pas la peine....Quand je lui dis que celà fait bientôt 3H00 que j'attends, et que j'ai d'autres engagements, etc...
Bref, cinq minutes après les resp des ateliers vient me chercher. Je lui dit que je sui obligé de faire chauffer le camion, puisque désormais il est froid à cause de la très grande attente. Faut pas me faire chier un lundi matin. C'est compris les gars.
Ils mettront plus d'une heure à me déchagrer les huit lots de tubes, et je serais obligé de me déplacer de 20 m pour les quatre derniers lots.
Un dernier scandale lorsque je récupère les papiers, puis je me casse.
Il est presque midi lorsque j'arrive au dépôt. Presque six heures d'amplitude de manger pour ça, et soixante dix kms de fait! Ca m'agace. Heureusement, au dépôt, je retrouve Olivier qui me sait bien en retard, alors à deux la sanglage de mes trois grosses piles de tôles plates sont rapidement sanglées. Lui descend sur Nimes pour demain matin, il n'est pas pressé. Il a aussi laissé passer Yohan qui monte en RP, lui aussi en tôles plates. Par contre, nous devrions tous avoir un second tour en bobines cette semaine, mais aussi semaine prochaine, car le hall est bien occupé.
Je monte par l'A47, tout en croisant à l'entrée de Sainté, notre ami Mich07 et son Benz. Il a dû descendre de sa montagne ardéchoise par la vallée du Rhone, car le plateau Ardéchois/ Haute Loire était bien blanc ce matin. Pas de risque inutile. Je loupe Alex12 et son magnifique Volvo.
Je m'autorise une petite quinze après Roanne, histoire de prendre une bouteille d'eau dans mon coffre extérieur et accessoirement grignoter légèrement.
Trente sur la première aire sur l'ex RCEA, afin de vérifier mes sangles. Je souhaitais monter jusqu'à la Ferrière, mais lorsque j'appelle vers 19H30, on m'annonce que le parking est blindé. J'avais prévu un plan B, à l'entrée de Vouillé, vers les transports LAURENTIN, alors je file dans cette zone. A l'entrée, il est bien noté que le stationnenement des PL est inderdit. Je souhaitais me garer dans une rue, mais il y a un convoi excpetionnel qui stationne, et on ne peut pas croiser. Mais, je trouve tout de même une place proche d'une décheterie.