FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2024 Partager sur Facebook
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  • Première pause de la semaine
    La Côte d'Or sous les inondations
  • Mardi 2 Avril 2024
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    Quel weekend!! Opération évacuation du garage chez ma belle fille, dont une partie du toit du garage s'est envolé, puis dimanche c'était son vide sanitaire qui se remplissait d'eau. Le flotteur de la pompe était bloqué. Lundi, entre les gouttes d'eau, on a pu enfin s'occuper de notre jardin qui était dans un sale état.

    Maintenant que les différents massifs sont à peu près propre, c'est l'esprit un peu libéré que je prends la route pour me rendre au dépôt. Ce jour, je n'ai qu'à rouler pour me rendre dans le Nord, juste après Valenciennes.

    Il est 6H40 quand je lâche le frein de parc. Peu de camions sont partis, enfin bien la moitié quand même. Je pensais que la rociade passerait correctement, mais non, je suis stoppé 800 m avant l'inter-section de l'A43. Je perdrais dans les dix minutes maximum. 

    La montée se passe bien, même si j'ai un peu de mal à tenir le rythme. Alors, je me pose un moment à l'aire de Taponas pour un second petit déjeuner. 

    Cindy me contacte ; mon permis a une fin de validité le 5 avril, c'est à dire vendredi, et j'ai oublié de le refaire....Bien entendu, j'aurais dû y penser, mais les services administratifs de COMBRONDE ne m'ont fait un mail que ce matin avec copie Cindy, d'où son appel. Aie, je serais sans doute à l'arrêt en fin de semaine. Les boules, même si je suis fautif, les services internes ont réagi un peu tardivement.

    Une nouvelle pose pour un casse croute sur une aire avant Semoutiers. Je sors pour prendre la route à Manolo. Cette route est vraiment sympa ; il faut un peu se méfier des entrées de village où on arrive quelque fois un peu vite. 

    Je m'arrête à nouveau sur le parking du Delko afin de prendre RDV chez un médecin pour le renouvellement de mon permis. 

    Je continue par la nationale jusqu'à Laon, puis je reprends l'autoroute. Je souhaite arriver devant le client ce soir et bien sûr ne pas dépasser mes dix heures. Je trouverais une place dans la ZI dans une impasse où je gare en marche arrière. Je suis à 500 m du client.

     

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  • Au pays de la bière
    Elle n'est pas belle la Manolo's Road!
    T'es bien garé toi
  • Mercredi 3 Avril 2024
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    Réveillé durant a nuit par un camion qui est rentré dans m'impasse où j'étais garé (et on ne peut pas se retourner), j'ai dû assister le chauffeur pour qu'il ressorte de l'impasse sans rien casser. On n'a pas idée de rentrer à 2H00 du matin dans une impasse sans connaitre!! surtout que mon caion était visible de l'entrée. Bref, difficile de retrouver le sommeil.

    Le client ouvrant à 7H00, je me suis calé sur son horaire pour démarrer ma journée. Le camion n'a pas eu le temps de chauffer, qu'il est déjà à l'arrêt dans le hall. Je reconnais le gars, c'est lui qui m'avait déchargé la dernière fois. Il me reparle Ch'timi ; j'adore mais je ne comprends rien bien sûr. Les trente passe vite dans cette ambiance. Je vais me faire pistonner par Cindy pour y remonter régulièrement. 

    Il me faut prendre la direction de Lille, puisque je vais exactement à La Chapelle d'Armentières, pour un complet de bière à livrer à Miramas. Je prednrais dans les vingt minutes dans les différents bouchons. Arrivé au dépôt, c'est la cohue ; des camions dans tous les sens et cela fait même la queue sur la route. Merde, je vais y passer un temps fou, qu'en pensez vous?  et non, je m'inscris, puis je vais dans un batiment où on me donne un quais de suite. J'attendrais un peu un cariste, mais là aussi, je pense que mes 26 palettes sont dans la caravanne dans les trente minutes. Il est 9H30, et je peux prendre la route du sud. Même dans mes plus grands délires, je ne pensais pas partir si tôt.

    A cette heure, la traversée d'ouest en est se passe bien, et je peux tranquillement m'attaquer au le bout de l'A1 jusqu'à la bifurcation de l'A26. 

    Je roulerais jusqu'à la première aire après Reims, celle en travaux, et qui est bien galère pour garer. On fait de beaux slaloms. Une coupure de 45, histoire de casser une graine et de finir mon inscription sur Hubchépaquoi pour mon PC.

    Je sors à la Veuve, à la base, je visais le parking du Delko, histoire de prendre ma douche aussi, mais mes 4H30 m'ont fait stopper avant.

    Traversée de Vitry afin de rejoindre la Manolo's Road. Depuis mon dernier départ, le Ford ne fonctionne pas en mode ECO, et les reprises sont bien meilleurs, et les bouts droits peuvent être parcourus un peu plus rapidement.

    Quand je rejoins l'A5, j'hésite à faire une coupure, mais puisque le Ford fonctionne "normalement", autant en profiter, alors roulons à 90km/h pour les heures qui me restent. Et les heures m'emmèneront jusqu'à l'aire de Beaune. La douche eest libre, alors profitons en.

    Je visais Villefranche, mais malheureusement, je serais obligé de couper à Uchizy, en manque d'heures. Bordel, une journée comme aujourd'hui avec beaucoup d'autoroute, j'ai bien perdu 20/25 mn. Et, elles vont me manquer demain pour rallier Miramas en moins de 4H30.

     

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  • Bloqué à Vienne
    Pause à Mornas
    Clesud
  • Jeudi 4 Avril 2024
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    Ayant RDV à 10H00, sur la plate forme Carrefour, je me dois de me lever tôt ce matin. Je sais qu\'il sera impossible de passer en moins de 4H30, alors j\'ai décidé de partir vers 4H15 d\'Uchizy. Quelques camions sont déjà partis dont un qui a fait chauffé son moteur pendant dix minutes au moins. Non, mais allo!!! Il faudrait leur expliquer que chauffer 40 l d\'huile au ralentit....et sans faire tourner la boite. Enfin, perso, je démarre très cool, et pour sortir du parking, il faut déja bien plus d\'une minute de manoeuvre. 

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    Lorsque j\'arrive à Macon, le moteur est bien chaud, je peux m\'élancer comme un frelon ; enfin un frelon asthmatique, parce que je n\'ai pas eu de bonne surprise ce matin : toujours le mode ECO. La rocade de Lyon est fortement chargé vers 5H30, j\'en suis très surpris. Je savais le lyonnais travailleur et courageux, mais à ce point!!

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    A partir de Communay, nous avons un message qui nous annonce un véhicule à contresens. Arrivé à Vienne, l\'autoroute est bloquée au niveau du péage de Vienne. Sur 107.7, il nous est signalé que les entrées / sorties entre Vienne et Tain sont fermées, le temps que les patrouilleurs réalisent un contrôle sur le parcours. Je coupe le moteur et passe côté passager pour me faire couler un café. La pause ne durera que 12 mn, dommage!!

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    Lorsque l\'alerte est levée, c\'est la guerre sur la route. Franchement, certains ont le plafond bien bas. Putain, pendant cinq à dix kilomètres, c\'était craignosse grave.

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    Je suis donc obligé de couper quarante cinq, et c\'est à l\'aire de Mornas, que j\'aime bien, que je pars pour un second petit dejeuner. Le frigo est à marée basse, donc autant garnir mon estomac. Avec mon temps de parcours et la stop obligatoire de Vienne, je n\'arrive qu\'avec six minutes de retard. Aucun problème pour l\'inscription, faite d\'ailleurs par une charmante dame avec un fort accent, sans doute des pays de l\'est. Je suis immédiatement appelé à me mettre au quai dix qui vient de se libérer. Par contre l\'attente sera un peu plus longue avant que la première palette soit sortie. Je profite de cet instant pour paporter avec mes confrères, dont un p\'tit jeune de chez Sabatier (24 ans), et un ancien qui a postulé chez nous et qui se déplace cet après midi à Sorgues. Je pense que je lui ai bien vendu la boutique.

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    Je partirais à tout juste midi, ce qui me fait arriver à mon chargement avec aussi cinq minutes de retard. Mais no souci là bas aussi. Ca déborde de camions lorsque j\'y arrive. Je suis surpris d\'avoir un quai immédiatement, et d\'être pris en charge aussitôt mis à quai. Par contre, c\'est un peu long pour charger mes deux lots, mais ca ce n\'est pas une surprise.

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    Décollage en plein vent et pelin soleil aussi vers quatorze heures. Lorsque je regarde mon compteur d\'heures, je pense que je devrais passer, mais limite, et celà se confirme lorsque j\'arrive avec 8h58 de conduite sur le parking de la boite. Putain de mode ECO; bon à priori, ce ne devrait pas être reconduit éternellement, d\'après Nicolas que je croise et vers qui je joue la pleureuse.

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    Retour maison, où j\'imprime et remplis les deux documents à fournir au médecin pour le renouvellement de mon permis de conduire. Je mets tout ça dans le top case de la moto : suis prêt à partir, mais uassi pour un p\'tit apéro avec Madame.

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  • Vendredi 5 Avril 2024
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    Grasse matinée ce matin, car je n\'ai RDV à Bron qu\'à 9H15, et en partant en moto, je limite mon temps de parcours en agglomération, mais aussi en gestion de parking. La visite n\'est qu\'une formalité. 

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    Vers 10H10, je suis au dépôt, tout en passant voir Cindy pour l\'informer que je ne suis pas apte. \"Va livrer et on voit ca après me dit-elle\"! Je n\'ai pas été crédible, voilà tout.

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    Le petit périph (expression volée à Pierre70) passe crème. Je peux entrer de suite chez le client pour déposer les deux tiers de ma remoruqe. On bosse tranquillement en n\'ouvrant qu\'un seul côté à la fois, vu le vent sur l\'est lyonnais.

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    J\'en pars à 11H45, et j\'appelle aussitôt l\'agence de la même enseigne à Craponne, afin de m\'assurer que je puisse me garer au moins dans leur allée. No problème, tu peux entrer et te mettre dans les emplacements. Bon, une merde de moins à gérer. En face du client, il y a une petite pizzéria, allez une Reine, svp.

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    Rapide à décharger, et je pense à reprendre des palettes, comme tout à l\'heure aussi. 

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    Retour dépôt. Un engin de levage est en caraffe en plein milieu du hall à bobines. Lionel, le mécano travaille dessus, mais il lui reste necore un peu de boulot, alors autant partir faire les pleins, et attendre un peu en papotant avec les collègues. Un chauffeur de chez Maisonhaute est là aussi, on le laissera passer en priorité lorsque le hall est enfin dispo.

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    A 17h10, je peux reprendre le flat allemand pour me rentrer, mais je me suis un peu perdu pour rentrer. mdr.

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    Bon weekend à tous.

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  • Pause dans l'Allier
    Un collègue à Pierre
  • Lundi 8 Avril 2024
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    Après un bon weekend en Ardèche, où nous sommes allés "démarrer" la maison familiale qui va être un peu occupée dans les prochaines semaines, il est temps de se remettre au boulot. 

    J'arrive au dépôt après un dernier contrôle dentaire suite aux "travaux" faits ces derniers temps. Le camion est chargé, il ne me reste plus qu'à livrer à la Grand Croix. EN démarrant ce matin, le camion n'est pas en mode ECO, j'ai un peu espoir que ce soit définitif. Sur le petit parcours réalisé ce matin, c'est dejà plus agréable, le démarrage est plus rugueux, et les reprises sont plus nettes. 

    Arrivé chez le client, je me présente devant le hall où j'ai déjà livré les deux dernières fois. Mais non, ce n'est pas là ; il me faut reculer à contre main, dans un hall bien sombre. Je descendrais une fois pour m'assurer qu'il n'y a rien.

    Les deux gars qui s'occupent de moi, ne sont pas des plus pressés, mais l'ambiance est bonne. Un peu long tout de même pour aller ranger les bobines dans le stock.

    De retour au dépôt, nous sommes trois à devoir charger dans le hall des tôles plates. Je serais le second, et avec le plus gros chargement (27 T). J'ai des petis paquets, ceux que je n'aime pas trop. Les quatre piles sont rapidement dans la remorque ; il me reste à laisser ma place dans le hall et sangler à l'extérieur. Douze sangles quand même.

    Il est midi quand je sors du dépôt, direction Nantes et plus exactement Carquefou. Route traditionnelle pour moi en passant par Roanne, St Pourçain, Montluçon et l'ex RCEA, Poitiers, Cholet.

    Le début de l'après midi est difficle, j'ai un peu de mal à me mettre dans le rythme, et ceci malgré les bonnes nuits du weekend. Je n'arrête pas de bailler. Coupure à l'aire située entre Montmarrault et Montluçon, pour une bonne quarante cinq. Comme très souvent, je profite de ce type de pause du lundi pour ranger mes affaires perso dans les différents coffres.

    Le reste du voyage se passe tranquillement, avec des belles averses dans les environs de Bellac. Je finis ma journée dans la ZI de Vouillé, après avoir hésité à aller jusqu'au relais de Ferrières en Parthenay. Mais après 20H00, j'hésite. J'apprendrais le lendemain qu'il y a un second parking, peu connu, qui n'appartient pas au resto, mais qui est plu grand que le parking le long de la nationale. 

     

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  • Chargement particulier
    Dans la Creuse
  • Mardi 9 Avril 2024
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    A 5H01, je reprends la route, direction Carquefou. Je connais assez bien la route, et malgré la faiblesse de mon éclairage, je n'ai pas trop de diificulté à circuler. D'autant plus facile, que le trafic n'est pas important en face de moi. Depuis le changement d'horaire, le jour tarde à se lever ; nous qui démarrons tôt, vivement dans deux ou trois semaines. 

    A l'approche de la région Nantaise, le trafic est plus dense. Tous les Nantais n'ont pas la chance de Tim que de travailler à mi temps. Lorsque j'arrive chez mon client, il y a déjà un camion en attente. Le temps d'enlever une sangle par pile, que l'on vinet me chercher pour rentrer dans le hall. Une des sangles a été coupée ; je pense que la protection angulaire a glissé, et bien entendu l'effet coupant des tôles a eu raison de la sangle. C'est con, elle n'avait sans doute pas un mois!

    C'est toujours le même gars qui me décharge. Il parait toujpurs un peu perdu et il prend pas mal son temps. C'est cool, j'aurais le temps de me faire couler un café dans la cabine. Une fois fini, je ne range pas mon basard, car il va resservir dans moins d'une heure. 

    Direction Montaigu, pour aller chercher une bobine, livrée par erreur. Pas de notre faute, je vous rassure. La Maison COMBRONDE est trop sérieuse pour une telle erreur. Non, c'est une erreur de notre donneur d'ordre. Le bébé pèse tout de même 17 T, et je suis obligé de la positionner au début de ma foose, car je dois chercher après une machine agricole de près de 8ml de long. Lorsque je mesure la place qu'il me reste, je n'ai que 7.8 m. Aie....

    Depuis hier avec Cindy, nous avons un doute sur ce chargement, surtout que les informations techniques reçues ne sont jamais les mêmes. On va bien voir. 

    Je charge vers la Roche Sur Yon. Client facile à trouver, un peu après les Essarts. Très bon accueil par des ouvriers qui sont à l'extérieur, mais que dire du gars qui sort de son bureau lorsque je me gare à l'emplacement indiquée par les premières personnes rencontrées. Après les salutations d'usage, je mui demande de me montrer quelle machine je charge. C'est celle çi, et elle fait bien 8ml. Lorsque je la mesure, elle fait bien 8ml. Il me manque donc bien 0.2m. "On va lever les côtées et ca va le faire" me dit mon interlocuteur, et tout ça avec le sourire. En fait, il veut vraiement qu'elle parte, alors il sort un mini groupe hydraulique pour soulever les deux parties latérales. Le groupe est limite, il faut que je l'aide à faire décoller les vérins. On met un sangle pour maintenir les côtés en l'air, et le tour et jouer. Avec son fen et la pince qui va bien, il ne lui faut pas longtemps pour la mettre en place.

    Les sanitaires sont nickels, ainsi que la douche, alors autant en profiter. 

    Je sors du site vers midi trente, et il ne me reste plus qu'à rouler au max de mes heures, tout en reprenant par Cholet, puis la même route qu'à l'aller. La douche m'a fait un bien vous, si bien que c'est le tachy qui sonne l'alerte lorsque je suis un peu trop proche des 4.30. Je toruve une petite place juste avant de reprendre la RCEA, et je serais bien secoué. Dire que certains passent leur nuit au bord des nationales. Comment font-ils?

    Mes heures m'emmènent jusqu'à Montmarrault. Il me restait 2 mn.

     

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  • Pause détente matinale
    Greg au boulot
    Ce n'est pas large, mais...
    ...c'est encore plus etroit plus loin
    Les containers arrivent au dépôt
  • Mercredi 10 Avril 2024
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    Même heure de départ que mardi, soit 5H01. Je me vois bien démarrer tous les jours à cette heure!

    Logiquement, je serais au dépôt vers 8H15 / 8H30. La nationale 7 est fidèle à elle même, elle roule bien. Roanne est à peine réveillé lorsque je la traverse. La température est bien fraiche, 2° C. A l'aire du Forez, je m'autorise une petite pause, pour un café et pains au raisins.

    Sainté est un peu plus réveillé, et logiquement on freine le long des concessionnaires auto. Il est 8h40 lorsque je me présente à Greg. Il me dit que l'on va bien rigolé pour décharger la bobine, car il a vu les photos que j'ai faite hier, et envoyée à Cindy. Mais tout le monde est bien informé. Pour ouvrir le toit, étant donné que je n'ai pas accès à la remorque, c'est bien folklorique. Je dois déplacer un peu le camion, on y va vraiment cool, car c'est fin pour passer la grosse bite (désolé, c'est son nom), qui nous permettra de soulever la bobine. Maintenant, c'est à moi de jouer et d'y aller doucement. On aura pas mis plus de 15 mn pour fair le job ; je pensais sincèrement que l'on galérerait beaucoup plus. Ouf, c'est fait.

    Go Montmeyran, j'envoie un SMS au client pour lui idre que je serais vers 10H30 à Valence sud. Je l'appell lorsque je suis en approche de Valence et se propose de venir à ma rencontre à Beauvallon. C'est bien, je connais.  Sur ma descente, croisure avec Mich07, décidemment, on se croise pas mal en ce moment. Avec le client, on est tellement bon, que l'on arrive en même temps. Il me dit de le suivre et de ne pas m'inquiéter, ca passe, malgré les panneaux me dit-il. Autant dire, qu'étant un peu anxieu de nature, que je ne suis pas rassuré. On passe par Montéleger puis on bifurque à la sortie du village sur la droite pour prendre une petite, voir une toute petite route.. Après 800 m, virage à droite à l'équerre, puis son jumeau à gauche. Dans le second virage, je descends car il me semble voir un fossé, et j'ai peur que les roues de la remorque glisse dedans. En fait, non il n'a y a pas de fossé. On fait comme celà 4/5 kms, on passe un petit pont, c'est limite aussi, pus il faut tourner à droite. A la sortie de l'inter-section, je descends voir. Je ne vois pas comment prendre le virage pour le retour... A mon avis, je ne peux pas passer par là. Plus loin, c'est à nouveau un virage à l'équerre qui m"inquiête, car la sorite est plein de terre sèche, sans doute d^aux ruissellements des dernières pluie. Je patine à sa sortie, mais ca passe. Et que dire de l'entrée de la ferme!! Putain, il faut tourner à 180° et éviter un arbre. Pour sortir, je n'aurais pas le choix que de reculer en faisant un S.

    Dès que je mets un pied à terre, je remercie à nouveau le client pour avoir assurer le guidage; sans ça, jamais je m'y engage, mais je lui signale que je suis inquiet pour repartir. Il m'a bien vu regarder le virage et me propose de repartir par une autre route. Bon, on verra. Ils ont un Manitou, équipé de la même pince qu'à l'usine. Autant dire que de déposer la machine n'est qu'une formalité. On se boit un café, puis ils me raccompagnent en passant par Etoile. Il n'y a qu'un km de délicat, le reste est un peu plus large, même si je croise deux voitures qui sont obligées de vraiement serrer, c'est crème. C'est avec soulagement que je rejoints la route de Valence à Crest. Un dernier SMS aux clients pour les remercier à nouveau, ainsi qu'à Cindy, pour lui signaler que tout s'est bien passé. Je lui avais envoyé la photo jointe au CDB.....

    Go Portes, mais le client est fermé jusqu'à 14H00. Je tente tout de même ma chance et lorsque j'arrive, un motard passe le portail. Je m'empresse de passer à pied. On parle moto, puis je lui annonce que je viens charger mais que ca ne sera sans doute pas possible avant 14H00. "Ton camion est où". Il me fait entrer de suite et c'est lui qui vient me charger. J'ai gagné une heure, et en suis bien content.

    On remonte vite fait au dépôt. Vidage des tôles et chargeage (si si ca se dit epicétout), des deux bobines. Putain à nouveau à plus de 27 T.

    Je file à la douche, puis je termine mes heures. Je ne dépasserais pas Tournus et avec 9H01, mais qui compte 9h00, me dit-on dans l'oreillette.

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  • La Bourgogne au petit matin
    Noooonn....
    Mich07 au loin et flou!
    Et on attend
    Marche vers le Trucker Land
  • Jeudi 11 Avril 2024
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    Debout à 4H30, le relais est déjà ouvert, alors j'y vais pour un grand café et au pain au chocolat. Un rapide passage a la salle de bains pour un brossage en règle des chicos.

    Comme hier, 5h01 : démarrage de la journée. Je file vers Tournus récupérer l'A6, que je trouve assez calme dans les deux sens d'ailleurs. Au lever du jour, je fais une petite quinze à l'aire de Langres, mais sans café, je le prendrais plus tard. Comme d'habitude lorsque je monte sur le secteur de Reims, je sors à Bar sur Aube, pour prendre la route à Manolo. Vous ai-je déjà dit que c'était une superbe route? Pour monter, sur Reims, on gagne 12 kms (bon, pas terrible), mais je ne pense pas que l'on perde beaucoup de temps, car il y a peu de village à traverser, et on évite les 3/4 casses jambes de l'autoroute.

    A l'entrée de Vitry, le tachy me rappelle à l'ordre. Une boulangerie se présente à moi avec un bon parking pour recevoir mon gros. Allez go, pour un cagé et brioche au chocolat. Je ne résiste pas aux tartes salée que j'aperçois dans la vitrine : une quiche Lorraine et une au thon. J'ai tellement de regret d'avoir pris ces tartes que je règle le sort de celle natif de Lorraine, juste avant de quitter la boulangerie. 

    Je reprends mon chemin en montant sur Reims full nationale. Pas de camion dans le hall réceptionnant les bobines, mais toujours le même energumène qui me reçoit. On ne peut oublier son visage. Il n'est pas tout rouge, mais toujours exité. Il en a marre de ces bobines, c'est toujours lui qui les reçoit, et pourquoi c'est toujours lui. Et oh, je ne suis pas le petit fils à Ménie Grégoire....Ce à quoi, je réponds qu'il n'y en a que deux et que je retourne à mon camion pour les dessangler ; appelles moi quand tu es disposé. Bon, mais rentre de suite. Et bien voilà, t'es pas trop con.

    En 10 mn c'est réglé, quand je pars un chauffeur belge se présente et voit notre charmant interlocuteur. Oh putain c'est lui, dit-il en le voyant....C'est dire, n'est ce pas.

    Go plein est. Je loupe la sortie pour reprendre la nationale direction Chalon en Champagne. Bon, pas grave, j'ai juste cette portion à prendre et à sortir à Suippes. En longeant la natio, j'aperçois au loin un Merco blanc et une remorque qui me parle. Bien sûr, il est impossible de lire les marquages, mais un p'tit coup de téléphone auprès de notre Ardéchois des montagnes, me confirme qu'il s'agit bien de Mich07. Tu notes bien Mich, que j'ai encore noté dans ce CDB que je t'avais vu. T'es plus fâché?

    Lorsque j'arrive chez le client, cinq camions sont en attente, mais seulement deux iront dans le même hall que moi. Mais ce n'est pas pour autant que c'est rapide. La faute aux gars du hall qui ont laissé un chauffeur sangler sur place et qui prend son temps. Bien entendu, du temps qu'il sangle, eux ne branlent rien....pas fous les lascars. Mais, moi, ca ne m'amuse pas trop.

    Arrivé à 14h00, j'en repars à 16h45, avec 10 mn de chargement au pont et vingt minutes de sanglage. Y a pas du foutage de gueule!

    Pour bien faire les choses, je me devais de cloturer ma journée à 18h01, afin de faire enfin une onze légale. Ben non, il me faut aussi passer avant 11h00 à Diémoz. Fais chier!

    Je roule jusqu'à Semoutiers, où Olivier et Patrick, qui descnedent de Reims me rejoignent vers 20H00, une fois ma grand marche, qui m'a ouvert l'apétit, est finie.

    C'est l'anniversiare de mon frère, alors apéro.

     

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  • Vendredi 12 Avril 2024
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    Après 1101 de coupure, pour faire bien, on est bien d'accord, je file direction le sud. A nouveau un message pour un véhicule à contre sens. Alerte levée dans les vingt minutes qui suivent. A l'aire de Macon, je m'arrête pour un bon café. J'ai bien roulé, et Cindy m'avait annoncé pour 11/12h00, alors autant y aller cool. Il est 10h30 environ lorsque je franchis le portail du client. Un camion est en place dans le hall des bobines ; j'attendrais le temps de dessangler la moitié de mon chargement. Et si vous avez bien suivi, je n'ai dessanglé.......oui deux bobines. J'ai 4H15 de conduite, alors il me faut couper trente minutes en plein soleil à cette époque de l'année, c'est du pur bonheur. Je descends ma tourte au thon, que j'avais sorti du frigo le temps du déchzrgement.

    Cindy me demande de revenir au dépôt pour recharger en bobines pour Fenouillet mardi matin. Entre temps =, je dois passer mon gros au CT ludi matin, donc RDV ua garage à Veauche à 8H00 lundi. 

    Expteionnellement, je fais les pleins et passe au karcher la cabine avant de charger. A 14H05, je sors ma carte conducteur du tachy, la semaine est finie.

    Ce weekend, toujours du jardinage, et on espère faire tourner un peu le flat.

    Bon weekend ensoleillé à tous.

     

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  • Dépôt de Veauche
    up's boulette
    L'Aveyron, c'est toujours aussi beau
  • Lundi 15 Avril 2024
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    Quel weekend plein de soleil. Premier repas en terrasse, ainsi que le petit café de milieu de matinée. Que c'est bon!

    Mais voilà, tout a une fin et ce lundi matin, je quitte le domicile conjugal vers 6H15. 

    Je ne croise qu'un seul chauffeur ce matin sur le parking, alors je ne perds pas trop de temps et je démarre ma journée à 7H00 tout rond.

    Mission de ce matin, aller jusqu'au garage de Veauche, pour un contôle du tracteur avant d'aller au contrôle technique pour la première année de mon gros, puis passage pour le limiteur. Tout se fait dans les environs de Veauche, et je peux enfin démarrer ma journée de chauffeur PL vers 11H30. J'ai même fait le détour afin de laisser copie des documents au garage de Veauche. J'enverrais ce soir copie de la carte grise et le contrôle du tachy à Cindy.

    Depuis la région stéphanoise, il est plus direct en kilomètre de passer par la N88 que par la vallée du Rhône. Bien entendu, chargé lourd, je sais que ma consommation sera catastrophique, mais le gain en kilomètrage est près de 75 kms. Alors, go N88.

    Avant le Pertuis, j'aperçois deux ponts en plein milieu des champs. La déviation en 2 X 2 voies va bientôt être prolongée? Les montées se font lentement, car je suis toujours en mode ECO ; il manque 50 CV pour gravir ces pentes. 

    Avant Mende, je fais une pause casse croute, mais légère. Hier, avec les collègues, d'une part, on a abusé sur l'apéro, mais aussi sur le repas. Je pense que j'ai quelques réserves naturelles de toute manière. Le Cornas était bien bon, mais aussi le St Jo blanc.

    La 88 est bien tranquille, on circule très bien et pas ou peu de touristes malgré la période de vacances scolaires. 

    Dernière pause à 50 kms de Tououse, car je ne pense pas que je puisse aller au bout avec mon amplitude des 4H30. Je craque sur quelques carrés de chocolat. Il ne faudrait pas que je fasse une hypoglycémie en fin de journée, non?

    Une dernière ligne droite et j'arrive sur la ville rose. Est ce que Toulouse est jumelée avec Puteville, village que j'ai pu voir semaine dernière ; je ne sais pas?

    J'échoue dans la ZI de Fenouillet, à cinquante mètres du client, dont l'entrée est bien rock'n roll.

    Et au fait, je finis ma journée avec une consommation de ......45,7 l/100. C'est bien la nationale, mais c'est quand même très énergivore, surtout la N88. Je m'interroge pour rentrer demain, car je serais à 10/15 kms au sud de Toulouse. 

     

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  • LA N88
    Severac le Chateau, du moins l'aire
    A la limite du 43
    Posé pour la nuit
  • Mardi 16 Avril 2024
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    Mauvaise nuit, car j'étais un peu inquiet vu la faune qui tournait dans la rue et jusque tard dans la soirée. Mais RAS à signaler, ce matin, la jauge à GO n'a pas bougé, et les bâches sont intactes.

    Je vais à ied jusqu'au client à son ouverture à 7H00. La personne qui ouvre le portail me demande de me rapprocher du portail afin d'éviter que d'autres camion se gare. En effet, avec la place libre, ce sera plus simple pour rentrer. Vers 7H30, il me dit de rentrer, et bloque la circulation. Un de ses collègues reste dans le hall bien étroit. Il m'arrête pour ouvrir les portes; impec. Je me reprends une fois afin de bien m'aligner dans le hall. Lorsque je sors de la cabine, c'est tellement fin, que j'ai du mal à prendre ma perche pour l'ouverture du toit. Accueil bien sympa. En moins de vingt minutes, les trois bobines sont rangées, et c'est à mon tour de faire le ménage de mon attirail de manutention. Il s'est mis à pleuvoir, mais je peux rester dans le hall pour tout ranger. 

    Je repars, mais je me gare aussitôt dans la zone, car la rocade est de Toulouse a viré au jaune, alors je préfère voir si elle vire au rouge ou non. Quinze minutes plus tard, celà ,'a pas ghangé, alors go Castanet Tolosan, pour un complet à prendre chez Coca Cola. Je n'ai RDV qu'à midi, mais on va tenter le coup. Attendre ici, ou là bas!

    Vers 9H15, je suis à l'accueil chez les Américains. La jeune fille qui me réceptionne appelle, puis me fait un clin d'oeil. Non, c'est juste pour me dire que c'est ok, que je serais chargé de suite. Lorsque j'arrive dans le hall de chargement, je serais le seul camion pendant bien dix ou quinze minutes. N'ayant qu'une référence, la chargement sera assez rapide. La pluie a cessé lorsque je repars de Castanet vers 10H15. C'est bien cool d'avoir autant d'avance sur sa journée. 

    Avec 18T dans la remoruqe, je décide de remonter par la N88. D'après mes rapides calculs, je devrais pouvoir être assez proche de St Vulbas en 9H00 de volant. Au pire, je grille une dix.

    Demain, je recharge au dépôt pour Carquefou, alors autant aller au plus près du client de St Vulbas.

    Un arrêt douche à l'aire de Severac le Château, où je pense croiser notre indien du Ch'nord, mais c'est son jumeau. Il me rend mon salut. Je pense qu'il a un peu l'habitude.

    Les 4H30 suivante m'emmènent à l'aire de Communay, où je me gare à l'arrache vers 17H30. Déjà plein à cette heure!

    Pour ne pas dépasser mes 9H00, je stoppe à Meximieux, et pars me détendre les jambes. Une restaurant asiatique n'est pas bien loin ; j'ai envie de manger chaud, alors go.

     

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  • Mercredi 17 Avril 2024
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    Le Ford a tout juste le temps de chauffer avant d'arriver à la base Carrefour de St Vulbas. Peu de camions sont garés et juste après mon inscription, vingt minutes avant l'heure de mon RDV, je suis invité à me rendre au quai 120. Le temps de me mettre à quai que je suis accueilli avec le sourire, puis, à deux, on commence à vider les 26 palettes. Inutile de vous préciser que ça valse bien ce matin. Vingt minutes après, je suis au poste de garde. Les planètes sont bien alignées ce matin.

    Retour au dépôt pour un chargement de tôles plates à destination de Carquefou. Le temps de prendre un petit café avec les quelques gars présents est je vais me garer à l'extérieur mais face au hall. Pendant que je sangle, Cindy me téléphone et me demande de patienter afin de ramener Dominique au dépôt de Veauche. Dominique est retraité, mais bosse entre deux et trois jours à Veauche pour les entretiens, petites réparations, et passage au CT des remorques. Je l'avais croisé ce lundi. Je profite de cette attnete pour rajouter 250 l de GO, histoire dêtre tranquille, et de filer à la douche.

    Lorsque Dominique arrive, je lui propose de conduire ; celà me permettra de gagner une heure sur mon temps de conduite et de gratter 60 kms. A Carquefou, il est toujours plus intéressant de se présenter tôt, soit entre 6h00 et 6h30.

    Je ne suis pas chargé très lourd, environ 20 T, et le camion est beaucoup plus réactif et agréable à conduire. Autour de Roanne, j'essuie quatre orages de grêl dont un est vraiment coton. La température est descendue en dessous de 3° C. Vers Lapalisse, il fait 9°C...

    Sur le trajet, je reçois un message de TIM m'avertissant que sur Bellac une déviation est en cours pour cause de travaux. Je passe par Le Blanc depuis la Souterraine, avant de rejoindre Poitiers.

    J'hésite à stopper à Mauléon, vers l'aérodrome, car j'avais pu voir sur Maps qu'il etait possible de s'y garer, et le coin parait tranquille. Mais à la dernière minute, j'opte pour le Saloon au nord de Cholet. Fin du jeu à 20H45, avec une dix heures légèrement dépassée. 

     

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  • A Carquefou
    Petite sieste vers Bellac
    Entre Confolens et Bellac
  • Jeudi 18 Avril 2024
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    La nuit a été très mauvaise ; ces problèmes de sommeil depuis plusieurs mois sont vraiement gênants en fin de semaine avec la fatigue accumulée. Malgré mon suivi médical, je ne vois pas d'amélioration. Et malheureusement, vers 22H00 un frigo s'est garé dans la rue face au parking, et à vingt mètres de moi. Le matin, j'émerge assez facilement, et malgré que j'avais pris un encas au camion, je ne résiste pas au pain aux raisins avec mon grand café.

    J'arrive à 6H30 à Carquefou, et il y a un seul camion en attente. Camion benne, avec des poutres. Vingt minutes plus tard, ce sont quatre autres camions, tous espagnols qui arrivent. Mais ils ont tous des poutres et je suis le seul à poser dans le hall 1. Je suis rapidement dans le hall pour commencer à dessangler. J'ai rangé l'intégralité de mon matériel quand le fidèle pontiste, pas très nerveux, mais bien sympa, commence à vider mes fardeaux.

    Je recharge chez FM à l'Hébergement, pour Bollène demain 6H00. A mon avis, ca ne va pas le faire! il faut que j'appelle Cindy ce matin. J'attends les 8H00 passé pour l'appeler.  Elle parait surprise que je sois déjà vide et prêt à charger. "Ben oui, si tu veux que je sois à Bollène demain matin". Elle me coupe en me demandant pourquoi demain, ce n'est qu à livrer que lundi? Hein, mais dans ma mission, c'est noté demain. Ah merde, je m'ai gouré me dit-elle Ah ben, si ce n'est que pour lundi, je n'étais donc pas pressé hier? Bon, ca arrive, pas grave, mais elle me demande de temporiser car il y a un souci avec l'affrêtement. A 500 m après FM, il y a un frand parking près du stade, je m'en vais me caler le temps que ça se décante. Vingt cinq minutes plus tard, j'ai le GO de Cindy, mais j'attendrais cinq minutes de plus. Ca tombe bien, mon café est fini de couler, le temps de le boire et go.

    Inscription faite, la machine me dit RDV11H00, mais à peine le temps d'aller en cabine que je reçois le SMS salvateur ; quai 405. Impec. Reçu par une charmante quinqa (y a pas que Pierrot quand même). Elle me demande comment je veux etre chargé. Ma foi les paelttes ont l'air d'avoir le même poids. D'eprès les étiquettes, il y a des écarts de 100 kgs entre les boites de sardines et celles de maqueraux. Alors je lui demande de mettre les bleues puis les jaunes, et finir pas les rouges, ca fera plus joli dans le camion!! Elle me regarde interloquée. Mais, non prener les comme elles sont et charger. Ah ok. 

    On va se descendre par Niort, Melle, Confolens, Bellac (centre ville à cause des travaux). Je n'arrive pas à Niort tellement je suis naze ; je coupe à la dernière aire avant Niort. Je croise un chauffeur Combronde du dépôt de Montreuil qui s'en va sur Lyon.

    La route suit son cours jusqu'à la première aire de repos sur l'ex RCEA. Cette fois, je plonge dans la couchette pour une bonne sieste. Lorsque je me réveille, j'en suis complètement assomé. Une petite marche sous un aire bien frais me fait du plus grand bien. Heureusement, qu'il ne faut pas être à Bollène demain matin.

    Je finis ma journée au dépôt de St Pourçain ; je pouvais rouler encore presque deux heures, mais l'amplitude ne m'autorisait que 50 mn. Dommage, Tophe était à l'entrée de Roanne.

    Je merde complètement en téléchargeant les photos de la veille, donc mercredi ne sera pas imagé. Désolé Mich!

     

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  • Lapalisse en toute légalité
    Tophe en train de cuver
  • Vendredi 19 Avril 2024
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    Je me suis couché avec les deux fenêtres entre-ouvertes. Mauvaise pioche ; à 2h00, ca caille grave dans la cabine. J'aime bien aéré ma cabine quand j'y suis le soir, mais j'oublie souvent, lorsque j'ai déjà tirer les rideaux, que les fenêtres sont encore ouvertes!.

    A 5h00, je pars faire une bonne marche dans les environs du dépôt. J'avais conservé le bonnet dans la cabine ; bonne pioche. 45 mn plus tard, étirements, gainage, pompe, puis douche et pdj.

    Avant 7H00, je quitte St Pourçain pour me rentrer tranquillement. Sur Roanne, je fais un petit détour pour photographier Tophe en train de cuver. Cuver pour lui à deux significations:

    La première, celle que l'on connait tous, les lendemains de fête.

    La seconde : charger une cuve. Bon, ma photo n'est très réussie, j'en conviens. Mais c'est bien lui.

    Inutile de vous prééciser que je suis le premier à me garer ; il y a bien Franck, mais lui est en CR et roule pour Veauche. Les pleins sont faits, la cabine est rutillante, je peux me rentrer à la maison. 

    Cindy me précise que la semaine prochaine sera particulière car le train de bobines n'est pas arrivé. On va faire de la distribution.......tout ce que je n'aime pas, mais bon.

    Lundi, on va exceptionnellement démarré trop tôt, mais je devrais rentrer à la maison le soir. On verra bien, et d'ici là, on va passer un bon weekend.

    Bon weekend à tous.

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  • Pause café au Fanélie
    Coupure à la maison
  • Lundi 22 Avril 2024
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    Le weekeend précédent nous étions en short, ce weeekend, nous avons à nouveau éclairé la cheminée. Le climat est fou.

    Et bien, il n'y a pas que le climat qui est fou! Chez ITM aussi. Après avoir payé un express pour des boites de sardines et demander un livraison impératif à 6H00 ce matin, m'obligeant à un réveil à 2H00 du matin, voilà que je suis réfusé lors de mon inscription, alors que je suis annoncé "camion prioritaire". Motif du refus : plus de place de stockage. J'en ai rigolé. Que faire d'autre?

    Je reourne au camion. Vu l'heure, je ne vais pas réveillé Cindy, alors je lui explique la situation via un SMS. Dans l'attente, je file au Fanélie, sur les bords de la N7, pour un petit déjeuner, et attendre les instructions. 

    Deux solutions s'offrent à nous : soit aller poser la marchandise à notre dépôt situé à quelques kilomètres, soit poser la marchandise au dépôt de celui qui nous affrète. Le dépôt est à Courthézon, c'est sur ma route pour me rendre sur mon lieu de chargement. Le temps que les mails de confirmation arrivent, je suis fixé ; c'est la seconde solution qui est retenue. Un peu normal quand même.

    Sur place, c'est super rapide à décharger, et les gars rigolent, car d'après eux, la quasi totalité des "express" finissent comme celà. Le pire me disent-ils, c'est qu'ils vont sans doute livrer dès cet après midi! Aucun commentaire, c'est la gestion de haut niveua, on ne peut comprendre

    En suivant les conseils du local de l'étape, je le cite Manolo84, je trouve facilement le site de l'Isle sur la Sorgue pour mon chargement. 

    Aucun camion en attente, alors, je suis invité avec le sourire à me garer à l'emplacement numéro 1, pour un complet de colle. Relativement rapide, et je ne suis pas mécontent d'être plutôt à l'abri du vent. Le soleil n'est pas toujours présent et le vent bien assez frais.

    J'avais averti Cindy que je souhaitais faire voir mes problèmes de tendeur de bâche, mais aussi, de ma barre arrière gauche que j'ai du mal à positionner. A notre dépôt, Lionel est plus performant en mécanique qu'en carrosserie. C'est Rudy qui s'occupe de moi. Il règle assez rapidement la problème de positionnement de barre, par contre il doute que ma bâche reste toujours tendu. Et il n'a pas tord, Dès que je fais quelques kilomètres ma bâche est détendue. Le problème vient de la barre qui "saute" et donc qui ne reste pas dans l'ergot du tendeur, et au final, la b^che se détend. Des conseils les gars? Le soir, je mets un tendeur afin de maintenir par la bas, via la sangle qui sert à la soulever. On verra bien.

    Avec les périodes de temsp perdu ce matin et cet après midi au garage, je vais être juste pour rentrer au dépôt de Loire dans mon amplitude. 

    En démarrant à 2H56, je dois être au dépôt avant 18H00. Et j'y serais 8 mn avant la fin de mon amplitude, la faute à un bouchon entre Tain et Valence.

    Lundi soir à la maison, et la veille de son anniversaire c'est trop bon.

     

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  • On vide à Villeurbanne
    Je crois reconnaitre
    Mais oui, c'est Dudu
    Quelle souplesse ce Dudu
    On se suit dans le Morvan
  • Mardi 23 Avril 2024
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    Après un bonne soirée avec ma petite femme, je retourne à la mine, et pas de bonne heure. A 7H15, je suis au dépôt pour aller poser ma colle à Villeurbanne. C'est la seconde semaine de vacances sur le secteur, le périphérique passe très bien. J'arrive en avance chez le client, et il est déjà ouvert, mais avec un camion déjà en cours de déchargement. Mais, je serais rapidement dans la zone de déchargement.

    Le petit jeune qui s'occupe de moi m'avertit qu'il n'est pas très aguerri et que je suis son premier camion. Ca va le faire mon garçon. Il s'excuse trop souvent pour sa lenteur. T'inquiêtes, mon garçon, fais le job tranquillement et ca va le faire. Et il ne mettra moins d'une heure pour vider mon complet de 26 palettes. 

    Cette semaine, pas de bobine, puisque le train n'est pas arrivé (il n'est arrivé que ce jour), alors nous sommes nombreux à basculer en bouteilles ou en boisson. Pour ma part, je dois charger des consignes de bouteilles pour les emmener à la Courneuve. Avec un RDV à 9H00, j'ai un peu de retard, pratiquement une heure, on est loin du quart d'heure lyonnais.

    Sur place, et avec un fen qui charge les palettes par deux, c'est hyper rapide. A 10H30, je suis à nouveau sur la route. Je remonte par St Exupéry, puis je rejoins l'A46 au niveau du Groupama Stadium. CHargé à 18T, et sans mode ECO, la montée de Rillieux est assez agréable à passer. Au niveua du péage de Villefranche, je m'aperçois que Dudu est devant moi. Je ne résiste pas à un appel ; tout comme moi, il monte sur Paname. Il doit couper dans les deux heures, pour moi, c'est un peu avant, alors on décide de sortir à Chalon nord pour pouvoir trouver un coin sympa pour une 45. Et le coin sympa, ce sera après Chagny, au milieu des vignes. Ca fait vraiment plaisir de revoir mon maitre d'école, celui qui m'a pris sur son aile lors de mon démarrage dans le métier. 

    C'est pas tout, mais on a quand même un métier, mais c'était vraiment sympa de se croiser, le jour de mon anniversaire de plus. Certains foie jaune (il se reconnaitra), diront que ce n'était pas un cadeau!!! Il ne me reste pas grand chose à rouler avant de me poser, assez tôt à la clef des champs à Champigny. Mais assez de temps pour croiser avec Jean Paul, ex Combronde, désormais chez Jacquemmoz. Il descend sur Valence et Montélimar.

     

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  • Jean Paul, croisé hier
    dernier à partir
    Un usrurpateur d'identité
    Non, pas lui encore
    et si
  • Mercredi 24 Avril 2024
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    Ce matin, j'ai le temps. Dès 6H00, je surveille Maps d'un oeil pour voir l'évolution de l'état des routes sur la RP. Mon idée est de monter par St Germain Laxis, Collégien et rattraper la 104. Hier, c'était bien galère sur le secteur d'après Jean Paul, qui a mis 4H00 pour faire 100 Kms, la faute au transfert de circulation suite à la coupure de l'A13. A 7h00, seul le secteur de Villeparisis est au rouge. Trente minutes plus tard, c'est au rouge depuis Villevaudé. Wait and see.

    Je retourne prendre un café, et je décide de partir vers 8H30, mais je stopperais 45 avant de rejoindre Collégien. La 104 passe relativement bien, malgré le passe vers Villevaudé, et Villeparis ; mais là c'est normal.

    RDV à midi, j'y serais à 11H30, c'est la limite acceptable là bas. Si tu y vas trop tôt, tu es refoulé. Et vas trouvé une place dans le secteur!

    Je prends le temps de manger un bout de salade de broccolis avec du thon, juste avant que l'on m'appelle. Emplacement F, pour vider mes consignes. Le cariste est bien assez long en emmenant les palettes à l'extérieur. Je crois un court instant qu'un secon cariste va venir chercher aussi des palettes. Mais, il n'en prendra que deux pour les mettre directement sur un convoyeur à côté du camion, sans doute pour que les bouteilles soient lavées. Juste deux paelttes!

    Une fois vide, je reste sur mon emplacement, et il ira chercher dans les entrepôts mes références. Inutile de vous dire que c'est bien long, avec ces A/R lointains. Je signe la CMR avec une heure de départ à 14H40.

    Dès le départ, je merde en cinservant l'A86, au lieu dep rendre un bout de A1, pour faire le même trajet que ce matin. Jusqu'au environ de Rungis, on joue de l'accordéon. Je contacte Olivier dès que je m'aperçois de mon erreur, mais c'est un peu trop complexe pour éviter le tunnel de Nogent qui crée ce bouchon traditionnel. C'est bien pénible, et je perdrais bien trente minutes avec cette erreur de débuttant. Pourtant, j'avais bien vu sur Maps que l'A86 avait viré au rouge, et la 104 passait bien.

    Avant d'arriver sur Villabé, Ptitdud m'appelle. Il m'a vu et il démarre juste devant moi en sortant de l'aire de Villabé. Alors comme hier, on roule ensemble, tout en conversant grâce a la CB 5G. On se boit un coup à Auxerre, avant de séparer. Dudu continue full autoroute, perso, je sors à Avallon, pour rejoindre chez Bernard et Ursulla à Chelsey.

     

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  • Pause a Dracey
    Et avec Hervé qui vient me rejoindre
  • Jeudi 25 Avril 2024
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    Comme la veille, je ne suis pas stressé par mon horaire de départ. N'ayant RDV à Satolas qu'à 13H30, je peux faire du tourisme. Après un pdj en tête à tête avec la patronne, je quitte Chelsey à 7H00 tapante. Je traverse Chalon sur Saone via l'A6, pas le choix, puis je retourne sur la N6 jusqu'à Macon. Hervé un ancien affrété chez Combronde descend de Beaune, et on décide de se retrouver à l'aire de Dracé, juste après avoir croisé l'ami Lagaffe qui s'offre un A/R sur Avallon, pour un relais. 

    Après bien trente minutes à discuter ave Hervé, il est temps de se présenter chez XPO, avec deux bonnes heures d'avance. Je joue, on verra bien. Tout au plus, cinq camions sont à quai, ce qui me laisse un peu d'espoir pour pouvoir être pris en charge de suite. Pas de bol Paul, il faudra attendre. Comme lundi, pas de place de stockage, ils doivent d'abord prendre en charge les départs. Je retourne au camion, mais uniquement pour récupérer ma paire de gants, car un collègue de Sorgues arrive et doit déb^cher pour dessangler tous ses lots. Alors, autant se rendre utile.

    Après ma pause déjeuner, je passe côté chambre à coucher, pour un bon repos de trente minutes. 

    Je reoturne me présenter à 13H15 : quai cinq, et ca pulse pour vider puisque avant 14h00, je quitte le site.

    Direction le dépôt, pour un chargement de trois bobines destination Montbard, en Côte d'Or. Après mon chargement, je file à la douche, ne savant pas trop, si je fais miam miam au camion, ou dans un relais routier.

    La traversée de Luon n'est pas trop pénible, juste quelques coups de freins ici et là, à partir de Mions, mais rien de sérieux. 

    J'oublie de sortir à Macon nord, étant occupé au téléphone, si bien que j'hésite à sortir à Tournus. Allez, on sort pour ce saut de puce, je ne suis pas des plus pressé ce soir. 

    Cindy m'a donné oralement mon programme pour demain, car je n'avais pas ouvert mon portable pro pour le voir. Demain, je recharge à Beaune pour Pusignan lundi matin. Logiquement, je serais deux jours semaine prochaine "en astreinte" pour un client, prêt à partir si besoin. Mais c'est à confirmer. 

    Je suis obligé de m'arrêter à La Rochepot, pour couper trente, avant de finir ma journée comme hier soir chez Bernard et Ursulla. Je n'avais pas le goût à aller plus loin. Sur place, soirée avec Stéphane, chauffeur Combronde Sorgues, délocalisé en RP.

     

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  • Le Morvan au petit matin
    suite
    Ca bloque dans la travrsée de Givors
  • Vendredi 26 Avril 2024
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    Stéphane est parti à 4H00 tout rond. Pour ma part, je me suis levé tranquillement vers 5H15, pour un bon pdj sans stress, je partirais quand moi (expression relevée dans les Monts du Lyonnais). Et quand moi, ce sera à 6h00, tout rond aussi. J'aime bien les relevés d'heures sur mon cahier avec des chiffres ronds quand je peux. C'est con, n'est ce pas. 

    Le Morvan et la Côte d'Or se réveille doucement. La route entre Saulieu et Montbard est superbe. On traverse toutefois des villages à l'abandon, mais les vues sur les "plaines valonnées" avec des parcelles de verdures séparées par des haies naturelles, sont un régal pour la rétine.

    Lorsque j'arrive devant chez le client, le portail est fermé, me laissant le temps de rouler mes dix sangles et de libérer la place à l'arrière de la remorque, là où j'ai stocké mon plancher. D'habitude, je le laisse à l'avant, c'est bien plus pratique.

    Toujours sympa à vider là bas ; j'annonce à l'opérateur que nous serons deux camions à monter ce jour. En partant, il me dit à la semaine prochaine! En effet, Cindy m'annoncera dans l'après midi que j'y retourne pour mardi matin.

    Il me reste à recharger sur Longvic, des palettes neuves pour le dépôt de But à Pusignan. Sur place, belle rencontre avec Christophe, Combronde Sorgues aussi, délocalisé aussi mais sur Colmar. Un gars adorable avec un accent de l'est à couper au couteau, mais d'une gentillesse. Et un maniaque sur le matériel....je l'ai aidé mais j'étais gêné de le faire quand je voyais les précautions qu'il prenait pour placer ses planches. Elles ont un sens, et oui!

    Un chargement des plus sympathique avec un cariste q'une dextérité incroyable ; malgré la hauteru des piles, il n'a jamais touché le toit, ni la bavette latérale. Me voilà prêt pour la descente. Nuits Saint Georges / Chalon, et Chalon/ Macon par la nationale, et le reste calé à 85 KM/h....en mode ECO. Et dire que j'ai fait chier mon monde pour repasser en mode normal sur le camion, et me voilà à 85 de mon propre gré. On n'est jamais content.

    L'arrivée sur Lyon n'est pas des plus sympathique par contre. Périph bloqué, A46 au pas et un bouchon bien avant Communnay. Alors, j'opte pour le BUS, le CD12 jusqu'à Chasse et faisant gaffe au pont vouté, puis un petit bout sur l'A47 pour sortir au port de Givors. Même la N86 est bouchée par des touristes qui jonglent par les routes de traverse, aidées qu'ils sont par les applications routières.

    Je finirais par me retrouver au dépôt à 15H30. C'est tard, non?

    Les réservoirs sonent vraiment creux, et j'étais sur la résever depuis Chalon sur Saone.

    Lundi, je vide ma remorque, puis je viens chercher celle d'Eric (qui devrait devenir la mienne dans deux/trois mois), pour la vider à Anneyron. Retour au dépôt pour charger pour Montbard, si pas de changement.

    Mercredi, je plante chez moi, et jeudi vendreid, soit je roule direction le sud, soit je suis mis "en astreinte" pour un client.

    D'ici là, passez tous un bon weekend.

    Et merci encore de vos messages pour ce mardi.

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  • On dégaze chez les containers....3H00
    Posé tranquille à Saulieu
  • Lundi 29 Avril 2024
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    Vu le temps de ce dimanche et la flotte qui nous est tombée dessus, j'étais heureux de retourner au boulot ce lundi matin. J'ai quand même pu faire une bonne balade avec ma Beta ; près de 8 mois que je ne l'avais pas fait roulé plus de 15  mn, il était temps. Le lendemain, j'avais quelques douleurs aux épaules et aux avant bras.

    Cette semaine sera coupée en deux, du moins pour ma part, car je devrais couper à la maison mercredi. Partir au boulot un lundi, sachant que demain ce sera vendredi......ca fait bizarre.

    Je récupère mon ensemble un peu avant 7H00, et ne croise que Patrick au dépôt. Mon But, c'est Pusignan, afin de livrer mes palettes rouges. Vendredi, j'avais demandé d'avoir moitié en rouge, moitié en bleu, mais ce n'était pas possible : dommage.

    Je ne pensais pas mettre plus d'une heure pour m'y rendre, mais c'est bien à 8H15, que je m'inscris, une fois arrivé. Quai 58, donné de suite et immédiatement attaqué par un cariste vaillant, alors que je n'ai pas encore mis la cale de roue. Trente minutes plus tard, j'ai mes papiers, et peux repartir direction le dépôt pour atteler la remorque  d'Eric, chargée e nballes de papier pour Laveyron. La remorque n'a que quelques mois, et elle devrait m'être attitrée au départ d'Eric dans 3/4 mois. Eric prend soin du matos, et je n'ai rien vu de particulier sur la remorque.

    Je m'inscris à 11H30 à l'entrée de site. La procédure a changé depuis la dernière fois que je m'y suis rendu. Désormais, on te donne un bip. Moins de 5 mn après, il sonne et lorsque je retourne à l'accuiel, l'hotesse me précise que ce matin ca va vite, et qu'il n'y a que trois camions devant moi. En effet, trois camions devant moi, mais....que c'est long., mais long, mais vraiement long. Pour le déchargement, il ne faut pas plus de 10 mn, mais je ne sortirais du site qu'à 13h50. Trois camions devant moi. Heureusement qu'il n'y en avait pas dix, j'y serais encore.

    Remontée tout shuss sur le dépo^t pour atteler ma belle mère, et charger troix bobines, à destination de Montbard, comme fin de semaine dernière.

    Il pleut à nouveau sur la région ; je pesne que le nappes sur le secteur sont bien rechargées, du moins, je l'espère.

    Je jongle entre nationale et autoroute, et je stoppe dans la petite ZI de Saulieu, après m'être fâché avec le voiturier de chez Bernard, qui a refusé de garer mon camion.

     

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  • Direction Montbard
    Un village avant Sombernon
    Morvan suite
    J'anticipe une coupure
    il faut anticiper, n'est ce pas!
    On m'a volé ma place
  • Mardi 30 Avril 2024
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    Le coin est bien tranquille pour la nuit. J'attends, même si pour cette semaine, celà n'a pas trop d'importance, en tout cas pour moi, que les onze heures de coupure se soient écoulées. Je quitte donc mon petit coin perdu dans Saulieu aux environs de 6H40.

    Arrivé devant chez le client, le portail d'entrée est ouvert et le hall où l'on décharge est fermé. Je peux donx pénétrer dans la cour, sans risquer de gêner. Comme d'habitude ici, c'est rapide, mais je ne perds pas de temps à ranger mon matériel, je sors et me dirige devant le café le long des quais. Quinze minutes pour tout ranger, et balayer ma fosse ainsi que ma remorque (je le regretterais plus tard, mais je ne pouvais pas savoir). Pednant ma pause café, Cindy me sonne. Je lui signale que je suis en pause syndicale, elle s'en fout, elle veut que je rallie Dijon. Bon, ben je m'excécute, mais je descends tranquille par Sombernon. La route est sympa, et on ne perd pas de temps. 

    Je charge dans un centre de valorisation (oui, c'est le nom pompeur), des balles de papier recyclé pour Saica Laveyron ; oui, ceux que j'adorent.

    J'attneds près d'une heure avant de me rendre dnas la zone de chargement, assez propre mais bien en bordel. Je n'accroche rien, c'est déjà bien. En vint minutes, mes vingt balles sont dans la semie. Oui, vous avez juste, ca fait une balle toutes les minutes.

    A 11H30, go le sud et full autoroute. J'avertis Cindy que je peux livrer cet après midi entre 15 et 16. Elle voit si c'est possible. Quinze minutes plus tard, j'ai son feu vert.

    En descendant full autoroute, mon ODB m'indiquera 28l/100, et avec 27 T, on se rend compte que l'autoroute a du bon. C'est clair aussi qu'un Dijon / Lyon, c'est plutôt favorable au record.

    Cette fois, j'ai tout relevé de mon passage chez SAICA, et clea donne :

    15h10 ; inscription et perception du bip.

    16H23 ; passage en bascule.

    16h28 :  arrivée dans la zone de mesure (mesure d'humidité du papier).

    16h43 : dans la zone de mesure (il y avait trois camions devant moi).

    16H49 : zone de déchargement.

    16h59  : zone de balayage (y en a besoin!!).

    17h20 : bascule de sortie.

    Je dépose le gros au dépôt, sans passage aux bians ni aux pleins. Jeudi, je charge des tôles pour Aix, alors j'aurais un peu de temps pour passer au grand bain chez nos collègues de Bollène à la descente.