Carnet de bord de Décembre 2024 | Partager sur Facebook |
Je n'ai pas beaucoup de kilomètres pour arriver chez Casto."Bêtement", je suis l'indication LIVRAISON, mais lorsque on me répond à l'interphone, on m'indique que ma livraison est prévue sur le parking client….Aie, vas y recules petit Baloo. Sur place, on est en plein vent ; la température est de 4°C, mais le ressenti est bien en deçà. Je remonte en cabine pour enfiler mon bonnet. Les deux gars sont très sympas, pas forcément très rapide, mais ca me va ce matin ; au moins, je n'ai pas à courir, et j'ai tout le temps pour me réchauffer un peu.
Direction le dépôt, où je passe d'abord par le garage pour faire graisser mes béquilles. Lionel a reçu des petits poteaux (ceux que l'on positionne devant les bobines). Je lui en réserve deux, les miens font presque deux mètres sont bien trop lourd à manutentionner. Comme le dit Lionel, deux pour la gamine (c'est Léa), et deux pour le vieux….il est sympa avec moi!
Je rajoute 200 l de GO, puis je charge mes trois bobines, de 8.5 T chacune. Robert arrive un peu après ; il charge à l'identique, pour la même destination. Nous allons donc rouler ensemble ce jour.
On part quand même se jeter un café avec Cindy avec notre départ. Comme, je régule désormais à 86, je passe devant. Mais dès la première côte, le Daf s'époumone. Il me rattrapera une fois le péage de Veauchette passé. Il faut dire qu'avec quatre ou cinq kilomètres de plus en vitesse de pointe, ca facilite les choses.
On s'arrête à St Pourçain pour un petit cassage de croute, avant d'affronter la RCEA, dont je n'arrive pas à retenir le nouveau nom ou plutôt le nouveau numéro d'identification.
En fin d'après midi, et après Pressac, le brouillard s'invite sur les routes, et j'en perds mon collègue. Vers Ruffec, et avant d'attaquer les lignes droites qui nous mènerons jusqu'au Cerizat, il me rejoint. Il pourra payer son apéro, ouf!