FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mars 2024 Partager sur Facebook
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  • Mercredi 6 Mars 2024
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    J'ai retrouvé hier soir Jonathan de chez Combronde ; un chauffeur que j'avais croisé dans un relais à Sète courant de l'été.

    Hier après midi, j'avais appelé le client de ce matin pour avoir confirmation de son heure d'ouverture. C'est bien 8H00 et pas avant. Départ 6H45, et j'arriverais devant le client un peu plus de dix minutes avnt son ouverture, et il y a déjà un porteur en attente. Il n'a que deux ou trois palettes, je prends donc rapidement sa place dan la petite cour du client, arpès avoir franchi le petit petit portail d'entrée. Pour la sortie, il ne faudra pas se louper Baloo. Mes palettes de semences de maîs sont rapidement déchargées, et c'est une bonne chose pour moi.

    Go Courpière, au même endroit qu'il y a deux ou trois semaines. Par contre une fois sur place, on m'annonce que le lot est à charger dans un autre entrepôt dans la même ZI. Dommage, je viens d'y passer devant. Pareil ici, à peine a quai, que les palettes sont déjà dans la remorque. Limite, je ne sortais pas de la cabine. Ce lot est à livrer chez Novacyl à Salaise, sur la plate forme chimique. J'appelle Cindy car l'adresse ne me plait pas et je crains de perdre un peu de temps.

    Mais avant de livrer Salaise, je dois déposer ma bobine et reprendre des tôles pour Colomiers, bien entendu au dépôt.

    Deux heures plus tard (HT), j'ouvre ma bâche côté passager. Je ne changerais pas de hall, malgré que les bobines et les tôles plates ne soient pas au même endroit. On fait l'ensemble du job dans le hall des tôles. Ils savent bosser à la logistique Combronde.

    Le temps de sangler et de passer saluer Cindy, il est presque une heure. Je me présente à l'adresse indiquée : c'est une impasse!! et à l'entrée, le panneau indique un grand nombre de nom de société, mais pas Novacyl.. Merde, alors go côté Roussillon, vers l'entrée principale. Sur place, on me demande un nom de contact que je n'ai pas bien sûr. Quelques coups de téléphone plus tard, j'ai un nom, et ce nom est connu par le service d'accueil. Bien..., ben, non il est sur répondeur. Quarante cinq minutes plus tard, au réveil de sa sieste, mon p'tit gars rappelle. Il faut entrer côté sud. Ah bon, reponds les service d'accueil, qui parait surpris. De ce que j'ai compris, c'est l'entrée des citernes, et c'est bien là où j'étais une heure plus tôt. En fait, le nom de Novacyl n'apparait pas car c'est Sequans. Ben, comment je peux le savoir? 

    Protocole de sécurité sur place avec vidéo...tout ça pour huit palettes de carton. Un vigile vient vérifier et me demande ce qu'il y a devant les huit palettes. "des explosifs". Bon ca va, il ne m'a pas cru, lors je lui ai quand même demandé si je devais débâcher un côté pour qu'il vérifie. Non, il me fait confiance. Ouf. Une fois le bâtiment trouvé, il faut se garer, puis attendre que l'on me donne un quai. Bref, après dix démarrage de moteur, et deux heures trente plus tard, je peux enfin prendre la direction de Toulouse, cong. Moins de 3h00 de route pour ces huit palettes, et autant en procédure, enfin presque.

    Je suis bien véner sur ma descente A7/A9. Je calcule mes heures et vise la parking sécurisé de Béziers,