FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Novembre 2022 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Prêt au départ
    Chantier à Vendargues
    Direction Espana
    en attente des bobines
    Proche de Besalu
  • Lundi 7 Novembre 2022
  •  

    Réveil vers 4 h, j'arrive au dépôt où je croise Philippe et Thomas qui doit traverser Grenoble de bonne heure, cause horaire convoi. Il est est pratiquement 5h30 quand j'entre sur l'A7 direction Nimes pour livrer mon premier lot tout proche de la sortie du CR. L'acccès est par contre un peu rock'n roll, même côté cour. Je dois y arriver en marché arrière depuis une rue assez étroite, d'abord à main, puis à contre main. Depuis la rue, une nana plus pressée que les autres me double par la droite en roulant sur le trottoir; j'ai failli l'embrasser alors que l'on avait pas fait encore connaissance. On vide un 1/4 H, les 5 palettes de panneaux solaires. 

    Retour sur le grand ruban, direction Vendargues. Sur le chemin, impossible de joindre mon interlocuteur ; j'ai RDV entre 8 et 10. J'arrive à ladresse indiquée, mais je ne trouve pas. Je me rends vite compte que c'est un chantier, et toujours personne qui répond. Un chauffeur roulant pour une boite de location d'engin ne connait pas ce chanteir. Aie!! Je trouve enfin; le chantier est à l'arrière d'une plate forme logistique, et on y accède par le parking des employés. Il fallait deviner. Lorsque j'arrive, je vois les camionnettes au nom de mon interlocuteur. Il vient d'arriver à l'instant et .........il a oublié son téléphone chez lui. Bien. Ca vide tout de même, pas trop vite le matin, hein. Heureusement que je ne me suis pas pointé à 8 h..

    Au suivant, perdu dans la montagne vers le Bosq, à St jean de la Blaquière. Sur le bout d'A75 que je fais, j'y croise le roi du pilotage de convoi, j'ai nommé M Chouchen. Rapide coup de tél, mais il doit s'occuper de ses arrières trains. L'accès du client est assez folklorique, avec deux ponts à passer et à prendre large. Je me prends pour Pierre70. Pas facile d'y croiser une voiture. Sur l'aller, je ne croise pas de PL, au retour deux, dont un, vraiment pas au bon endroit. J'avais averti de ma venue, si bien que je suis immédiatement mis à quai et délester de mes dernières  palettes. Nickel, j'espérais être vide avant midi, impec. Mes 45 sont faites, je peux prendre de suite la direction de Besalu (ESP) pour y charger les bobines de papier à destination de SQF. 200 kMS à vide. je casse la croute en roulant une fois sur l'A9. Je passe à stopper à la première station, histoire de mettre le tachy dans le bon pays, et il me reste 70 kms à parcourir tout au plus. Soleil agréable sur l'Espagne, et la route qui mène à l'usine dès que l'on quitte l'AP7 est plutôt sympas et peu charger, et c'est un peu les montagnes russes.

    Je suis en place vers 15 h, on tire les bâches des deux côtés, seul un Casina, mais chauffeur RO est en place à côté de moi. Généralement ici, ca va assez vite et les caristes sont adroits pour te charger. Le cariste est adroit mais il se fera attendre plus d'une heure. Je quitte l'usine, il est près de 18 h. Je stoppe chez Padrosa, où le parking est peu chargé, voir "vide". Il se chargera un peu dans la nuit, mais étrangement il n'est utilisé qu'à 30 % pas plus.

    Repas sur place (j'ai trop mangé); en sortant je fais le tour du parking pour digérer un peu et prendre le frais. Puis, je passe à lépicerie pour des madeleines espagnoles que mes filles rafollent.