Carnet de bord de Mai 2024 | Partager sur Facebook |
J'ai RDV à 8H00 à Varennes sur Allier, mais étant réveillé de bonne heure, je quitte le relais vers 6H30. Je couperais quinze minutes dans la ZI de Varennes, à quelques centaines de mètres du client.
Passage en bascule puis j'entre en marche arriere dans un hangar équipé d'un quai. Avec le container placé "au milieu", les repères manquent beaucoup, mais ca va, je ne suis pas trop perdu. L'accès sur le quai était en pente, alors je n'ai pas voulu mettre le container à l'arrière pour éviter de patiner si je devais me reprendre, chose que j'ai dû faire. Les collègues qui arrivent derrière moi, me disent que j'ai bien fait.
Dans la demie heure, je suis chargé, mais je devrais attendre le feu vert de la boite avant de partir : histoire de douane, chépaquoi. Nous étions cinq à charger. Il nous faut être avant 13h00 au dépôt, car nos containers doivent partir avec le train de 14H00.
Sans trop d'effort, j'y arrive avant midi, en ayant loupé une croisette avec l'ami Tophe qui était sur Montbrison.
Une fois vide, je reprends un vingt pieds pour Lozanne. Lui aussi est léger. En passant par Fourvière, qui passe très bien, j'y suis en quarante cinq minutes. Le portail est fermé, mais dès que je mets le pied à terre pour aller sonner, il s'ouvre ; c'est bien fait la technologie.
Lorsque j'ouvre les portes, des colis tombent. Ils sont très léger ca va. Par contre, celà veut dire déchargement un par un. A trois, ils mettront presque deux heures à vider. J'en ai profité pour une petite sieste et un bon café.
Le retour passe aussi bien. Légèrement ralentit sur l'accès au tunnel, et RAS à l'arrivée sur Givors.
Bechir est surpris que je ramène le container, car je "devais" le déposer à St Priest ; oui, mais on ne m'a rien dit!! J'ai les heures pour y aller, mais Bechir me dit de le déposer ici.
Une fois mon squelette mis à sa place a l'emplacement 37, je pars faire mes pleins. Les réservoirs sont plus facilement accessibles des deux côtés. Puis c'est karcher sur le chassis, chose que l'on ne fait jamais. Je rattelle ma remorque.
Ce weekeend, je ramène mes tapis pour les nettoyer. Je vais profiter du soleil pour les faire sécher.....enfin si il est présent.
Mon programme de début de semaine est simple : je suis mis "en sécurité" pour un client, prêt à partir. Donc, je glande au dépôt en attendant une mission impossible.
Bon grand weekend pour les chanceux comme moi, et bonne route à ceux qui roulent.