Carnet de bord de Avril 2025 | Partager sur Facebook |
Quel beau weekend nous avons eu ? Après avoir passé pas mal de temps dans le jardin, mais aussi sur les petites routes viroleuses du Pilat, il faut y retourner.
Ce matin, je commmence par une petite liaison à Gand Croix pour apporter mes deux bobines chargées vendredi en soirée. Une petite trentaine de kilomètres me sépare du client. Déja trois camions en attente pour y être chargé, et un camion prêt à rentrer dans le hall des bobines. La cour du client est donc bien encombrée quelques minutes avant l'ouverture. Mais vers 7H15, je peux me rendre dans ce même hall ; avec tous ces camions, mais aussi les nombreuses bennes qui sont mises en vrac sur la sol, mais ça le fait si on y va cool. Une fois en place, c'est aussi rapide, deux bobines, en dix minutes, c'est torché, CMR signé comprise.
Désormais, direction Surry le Contal, pour un complet, mais que je ne livrerais que mardi matin. Là bas, malgré qu'il n'y ait que deux ou troix camions, j'ai le temps de couper 45 minutes, avant d'avoir une première palette dans la remorque. Retour au dépôt, avec beaucoup moins de circulation qu'à l'aller, de plus le soleil est désormais de sortie. Il fait frais si j'en crois la valeur affichée au tableau de bord. Le Pilat est bien dégagée au loin, tous comme l'étaient les Mont du Forez.
Le parc du dépôt est bien vide, il est donc aisé pour moi de repérer le bon châssis sur lequel le container, a emmené à Gerzat, a été chargé par Robert vendredi. Une décroche/ raccroche rapidement menée. Je passe rapidement au bureau, histoire de s'assurer que le boulot n'a pas changé, mais aussi pour déposer mes CMR de la semaine dernière.
C'est tout bon, je monte bien au dépôt de la Combraude ; site "container, où, je crois qu'un train passe désormais pour desservir la partie nord de la France. Lorsque j'arrive vers 13H30, il n'y a pas beaucoup de camion. Mon container chargé de marchandises est vite déposé, et on me remet un container vide à ramener à Loire sur Rhône. Lui prendra en fin de semaine, le train pour descendre en Catalogne.
Je prends le temps pour une petite salade légère et un petit dessert, avant de reprendre la route.
En arrivant en fin de journée sur Loire, je suis aussi rapidement pris en charge par Aurélien pour me soulager de ce container, puis je retourne faire une décroche/ raccroche, pour reprendre ma bâchée.
Semaine dernière en recevant mon programme, avec cette montée sur Evian, j'ai de suite pensé que je pourrais couper lundi soir dans le secteur de Novalaise. Pourquoi Novalaise? Non, ce n'est pas pour me baigner, le lac d'Aiguebelette est déjà bien froid l'été, ce n'est pas encore la saison. Non, j'ai deux anciens collègues de boulot qui ont créent leur boite en maintenance HTA, et leurs bureaux sont basés là bas. Ils y sont pour deux jours. Luc, le local sur la Savoie, est informé que je ferais tout pour m'y rendre, mais pas Christophe, basé dans le sud. Christophe a été "mon filleul" lorsqu'il est arrivé dans la boite où je travaillais. La boite avant SIEMENS, j'ai passé 17 ans, mes meilleures années. Je l'ai formé, bon d'après lui, je l'ai déformé.
A la hauteur de SQF, j'envoie un SMS à Luc ; atterrissage prévu vers 19H00. Impac, Christophe vient d'arriver, ils ne vont pas tarder à passer à l'apéro ; si ça c'est pas de la précision chirurgicale.
Nous passerons une bonne soirée dans un bar lounge cubain de St Béron. Si vous passez dans le coin, n'hésitez pas à vous y arrêter, c'est super.