Carnet de bord de Avril 2024 | Partager sur Facebook |
A 5H01, je reprends la route, direction Carquefou. Je connais assez bien la route, et malgré la faiblesse de mon éclairage, je n'ai pas trop de diificulté à circuler. D'autant plus facile, que le trafic n'est pas important en face de moi. Depuis le changement d'horaire, le jour tarde à se lever ; nous qui démarrons tôt, vivement dans deux ou trois semaines.
A l'approche de la région Nantaise, le trafic est plus dense. Tous les Nantais n'ont pas la chance de Tim que de travailler à mi temps. Lorsque j'arrive chez mon client, il y a déjà un camion en attente. Le temps d'enlever une sangle par pile, que l'on vinet me chercher pour rentrer dans le hall. Une des sangles a été coupée ; je pense que la protection angulaire a glissé, et bien entendu l'effet coupant des tôles a eu raison de la sangle. C'est con, elle n'avait sans doute pas un mois!
C'est toujours le même gars qui me décharge. Il parait toujpurs un peu perdu et il prend pas mal son temps. C'est cool, j'aurais le temps de me faire couler un café dans la cabine. Une fois fini, je ne range pas mon basard, car il va resservir dans moins d'une heure.
Direction Montaigu, pour aller chercher une bobine, livrée par erreur. Pas de notre faute, je vous rassure. La Maison COMBRONDE est trop sérieuse pour une telle erreur. Non, c'est une erreur de notre donneur d'ordre. Le bébé pèse tout de même 17 T, et je suis obligé de la positionner au début de ma foose, car je dois chercher après une machine agricole de près de 8ml de long. Lorsque je mesure la place qu'il me reste, je n'ai que 7.8 m. Aie....
Depuis hier avec Cindy, nous avons un doute sur ce chargement, surtout que les informations techniques reçues ne sont jamais les mêmes. On va bien voir.
Je charge vers la Roche Sur Yon. Client facile à trouver, un peu après les Essarts. Très bon accueil par des ouvriers qui sont à l'extérieur, mais que dire du gars qui sort de son bureau lorsque je me gare à l'emplacement indiquée par les premières personnes rencontrées. Après les salutations d'usage, je mui demande de me montrer quelle machine je charge. C'est celle çi, et elle fait bien 8ml. Lorsque je la mesure, elle fait bien 8ml. Il me manque donc bien 0.2m. "On va lever les côtées et ca va le faire" me dit mon interlocuteur, et tout ça avec le sourire. En fait, il veut vraiement qu'elle parte, alors il sort un mini groupe hydraulique pour soulever les deux parties latérales. Le groupe est limite, il faut que je l'aide à faire décoller les vérins. On met un sangle pour maintenir les côtés en l'air, et le tour et jouer. Avec son fen et la pince qui va bien, il ne lui faut pas longtemps pour la mettre en place.
Les sanitaires sont nickels, ainsi que la douche, alors autant en profiter.
Je sors du site vers midi trente, et il ne me reste plus qu'à rouler au max de mes heures, tout en reprenant par Cholet, puis la même route qu'à l'aller. La douche m'a fait un bien vous, si bien que c'est le tachy qui sonne l'alerte lorsque je suis un peu trop proche des 4.30. Je toruve une petite place juste avant de reprendre la RCEA, et je serais bien secoué. Dire que certains passent leur nuit au bord des nationales. Comment font-ils?
Mes heures m'emmènent jusqu'à Montmarrault. Il me restait 2 mn.