FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Pause détente matinale
    Greg au boulot
    Ce n'est pas large, mais...
    ...c'est encore plus etroit plus loin
    Les containers arrivent au dépôt
  • Mercredi 10 Avril 2024
  •  

    Même heure de départ que mardi, soit 5H01. Je me vois bien démarrer tous les jours à cette heure!

    Logiquement, je serais au dépôt vers 8H15 / 8H30. La nationale 7 est fidèle à elle même, elle roule bien. Roanne est à peine réveillé lorsque je la traverse. La température est bien fraiche, 2° C. A l'aire du Forez, je m'autorise une petite pause, pour un café et pains au raisins.

    Sainté est un peu plus réveillé, et logiquement on freine le long des concessionnaires auto. Il est 8h40 lorsque je me présente à Greg. Il me dit que l'on va bien rigolé pour décharger la bobine, car il a vu les photos que j'ai faite hier, et envoyée à Cindy. Mais tout le monde est bien informé. Pour ouvrir le toit, étant donné que je n'ai pas accès à la remorque, c'est bien folklorique. Je dois déplacer un peu le camion, on y va vraiment cool, car c'est fin pour passer la grosse bite (désolé, c'est son nom), qui nous permettra de soulever la bobine. Maintenant, c'est à moi de jouer et d'y aller doucement. On aura pas mis plus de 15 mn pour fair le job ; je pensais sincèrement que l'on galérerait beaucoup plus. Ouf, c'est fait.

    Go Montmeyran, j'envoie un SMS au client pour lui idre que je serais vers 10H30 à Valence sud. Je l'appell lorsque je suis en approche de Valence et se propose de venir à ma rencontre à Beauvallon. C'est bien, je connais.  Sur ma descente, croisure avec Mich07, décidemment, on se croise pas mal en ce moment. Avec le client, on est tellement bon, que l'on arrive en même temps. Il me dit de le suivre et de ne pas m'inquiéter, ca passe, malgré les panneaux me dit-il. Autant dire, qu'étant un peu anxieu de nature, que je ne suis pas rassuré. On passe par Montéleger puis on bifurque à la sortie du village sur la droite pour prendre une petite, voir une toute petite route.. Après 800 m, virage à droite à l'équerre, puis son jumeau à gauche. Dans le second virage, je descends car il me semble voir un fossé, et j'ai peur que les roues de la remorque glisse dedans. En fait, non il n'a y a pas de fossé. On fait comme celà 4/5 kms, on passe un petit pont, c'est limite aussi, pus il faut tourner à droite. A la sortie de l'inter-section, je descends voir. Je ne vois pas comment prendre le virage pour le retour... A mon avis, je ne peux pas passer par là. Plus loin, c'est à nouveau un virage à l'équerre qui m"inquiête, car la sorite est plein de terre sèche, sans doute d^aux ruissellements des dernières pluie. Je patine à sa sortie, mais ca passe. Et que dire de l'entrée de la ferme!! Putain, il faut tourner à 180° et éviter un arbre. Pour sortir, je n'aurais pas le choix que de reculer en faisant un S.

    Dès que je mets un pied à terre, je remercie à nouveau le client pour avoir assurer le guidage; sans ça, jamais je m'y engage, mais je lui signale que je suis inquiet pour repartir. Il m'a bien vu regarder le virage et me propose de repartir par une autre route. Bon, on verra. Ils ont un Manitou, équipé de la même pince qu'à l'usine. Autant dire que de déposer la machine n'est qu'une formalité. On se boit un café, puis ils me raccompagnent en passant par Etoile. Il n'y a qu'un km de délicat, le reste est un peu plus large, même si je croise deux voitures qui sont obligées de vraiement serrer, c'est crème. C'est avec soulagement que je rejoints la route de Valence à Crest. Un dernier SMS aux clients pour les remercier à nouveau, ainsi qu'à Cindy, pour lui signaler que tout s'est bien passé. Je lui avais envoyé la photo jointe au CDB.....

    Go Portes, mais le client est fermé jusqu'à 14H00. Je tente tout de même ma chance et lorsque j'arrive, un motard passe le portail. Je m'empresse de passer à pied. On parle moto, puis je lui annonce que je viens charger mais que ca ne sera sans doute pas possible avant 14H00. "Ton camion est où". Il me fait entrer de suite et c'est lui qui vient me charger. J'ai gagné une heure, et en suis bien content.

    On remonte vite fait au dépôt. Vidage des tôles et chargeage (si si ca se dit epicétout), des deux bobines. Putain à nouveau à plus de 27 T.

    Je file à la douche, puis je termine mes heures. Je ne dépasserais pas Tournus et avec 9H01, mais qui compte 9h00, me dit-on dans l'oreillette.