Carnet de bord de Mars 2024 | Partager sur Facebook |
Toujours pas pû tailler les haies. Bon, on va faire venir un paysagiste, parce que je ne vais guère avoir le temps au printemps; enfin printemps si la pluie s'arrête. Il e nfaut, mais j'ai le sentiment qu'il pleut souvent les weekends.
Ce lundi matin, pas de pluie au programme et ça m'arrange, car je livre un chantier pour me débarrasser de ces tôles. Rdv avait été pris pour une livraison à 9H00 à Veurey Voiroze, à l'entrée de Grenoble. Bien entendu, ils ne sont pas arrivés, et ils se pointent vers 9H30, et boom, la bonne nouvelle, leur Manitou a une roue à plat. Je leur signale que je suis un peu pressé et qu'ils seraient bons qu'ils empruntent un autre engin d'un autre corps de métier. Bonne piuoche, ils sont prêtés leur Manitou vendredi au maçon....retour de manivelle ; prête moi le tient et je te le rendrais à plat aussi.
Le gars est vaaillant, c'est plutôt une bonne chose, mais il me semble qu'il est un peu sec sur les commandes. A c'est peu de le dire....Les premiers fardeaux sont à ppeine sur les fourche, qu'il se trompen de commande et envoie tout au sol. Bon, ça m'arrange un peu cette histoire, car je n'aurais pas de réserve. Je prends immédiatement deux photos : on ne sait jamais.
Il faudra bien une heure pour être délester de ce marchandise. Mission suivante : dmei tour pour le dépôt. Cindy m'envoie un stop pour que j'aile à Janneyrias prendre un lot pour Gonesse, mais je n'y serais jamais vant midi, alors autant charger au dépôt mes deux bobines et faire un petit détour à Janneyrias en montant sur la grande poubelle. On gagne du temps, des kms. Cindy acquièce mon idée. Ben oui.
Très rapide au dépôt ; les bobines étaient en attente juste à côté de la zone de chargement. Vingt minutes plus tard, je prends la direction de mon prochain enlèvement.
Client facile à trouver, mais une mise à quai un peu à l'aveugle et à contre main, mais qui confirme que lorsque c'est "plus compliqué", on se concentre mieux et on y arrive impeccable. Juste une petite descente de la cabine pour se rassurer. J'ai toujours cette image de moi, dans la région nantaise, où j'étais seul pour une trentaine de quai, et où j'avais dû faire des innombrables marche avant/arrière pour me mettre correctement à quai!.
Le lot est prêt et peu encombrant, et d'une vingtaine de kgs. Vu le prix payé, ce n'est pas lui qui va augmenter la conso, mais qui va payer l'autoroute que je vais prendre entre Lyon et Chalon nord et Avallon / Courtenay.
Je me pose vers 19H30 au relais de Savigny, où Jean Paul m'attend ; on y retrouvera David, le collègue de Veauche avec qui j'étais monté en Bretagne depuis Eurexpo Lyon-Bron.