FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juin 2025 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Mes bobines du matin
    On attend un quai
    Tout beau, tout propre
  • Mercredi 11 Juin 2025
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    Il a bien fait chaud sur le Pilat, mais de siroter son apéro sur sa terrasse le soir, c'est une bonne compensation à cette chaleur.

    Ce matin, le thermomètre n'affiche que 17° C, soit pratiquement la moitié de celle vers 16H00 la veille. Il fait donc froid lorsque je monte dans ma cabine.

    Je n'ai qu'un court parcours à faire ce matin pour me rendre sur mon lieu de livraison. J'arrive au même moment qu'un autre camion, mais lui vient charger, et on ne se marchera donc pas dessus. Le hall des bobines n'est pas encore ouvert, mais on fait les papiers avant d'aller vider en foulée. Huit minutes après, je ressort du hall, impeccable, je serais en avance pour charger chez CEVA mes cartons à destination d'Estrablin.

    Autre court parcours pour me rendre à Sainté. Les deux quais du client sont occupés, mais rapidement, un part, libérant ainsi la même place qu'hier. En face, chez Heppner, il y a Ludo de chez Aurénico, qui doit essayer de dormir. Il y a pas mal de bruit, et la cour qui forme un U avantage bien les échos. 

    Avant, 8H00, le hall s'ouvre et le cariste de la veille attaque direct à me charger. Toujours trente palettes à mettre dans la caravane. Toujours rapide et convivial, chacun avec son café à la main. En vingt minutes, c'est réglé, ça n'a pas niaiser cette affaire. Retour sur la capitale du jazz, et malgré l'heure encore "matinale", je n'ai aucun ralentissement sur Givors. J'ai bien été ralentit, mais par un papy, qui a freiné en attaquant la côte de St Chamond, juste au moment de croiser Dam's, dont j'ai bien vu les giros dans mon rétroviseur.

    Deux camions sont en attente lorsque j'arrive chez Querlioz, et avec un seul cariste, je pensais que je devrais avoir une attente longue, voir très longue. Mais une heure après, je ferme les portes. Virgile m'a supprimé mon second tour, je le ferais demain, avec l'accord de l'affréteur. 

    Je retourne au dépôt pour prendre deux bobines. Demain, même programme que ce jour.

    Je pars au GO après la sortie du hall, puis c'est le jour du grand bain pour Valentino. Je passe la brosse sous les tendeurs, ainsi que sur mes belles jantes en tôle….mdr. L'intérieur de la cabine a été faite durant ma période chez Querlioz. L'ensemble est impeccablement propre, je peux rentrer à la maison, pour faire un autre voyage avec une remorque, mais en déchets verts, et avec mes véhicules perso.