Carnet de bord de Novembre 2024 | Partager sur Facebook |
Je vais me répéter, mais qu'est ce que c'est bon un weekend de trois jours!
Ce qui est moins bon, pour ce début de semaine, c'est de démarrer plus tard. Comme précédemment signalé, je dois livrer à 13H00 à Villette d'Anthon. Ce qui signifie généralement que ta journée va se terminer plutôt tardivement.
Avec mon programme de ce jour, je peux me permettre de partir vers 10H00 du dépôt, afin de passer Valentino et sa remorque aux bains douche. Le bain-douche des PL, c'est à Corbas, à côté de l'AS24, qui est en travaux, et donc fermée pour quelques temps.
Avant midi, je m'inscris chez Socara, espérant gratté une heur de son RDV prévu. Que nenni, je ne serais appelé qu'à l'heure prévue. le quai 204 m'est attribué, et en quarante minutes, je suis allégé de 28 T d'eau minérale. C'est donc tout léger, que je regagne le dépôt, pour y charger à nouveau, dans les 28 T, mais cette fais en bobines, au nombre de quatre. Avec ma fosse courte, c'est limite, mais ça passe. Il faudra rentrer sans doute la pince un peu de travers demain.
Dans les environs de 15H00, je démarre ma journée et ma semaine ZL. Parcours classique pour monter en Vendée, à savoir : Roanne, et la N7, puis St Pourçain, Montluçon. Je couperais trente minutes à Montmarault, au péage, afin de casser la croute. Dans ma petite tête, je vise, et de façon positive, la Ferrière en Parthenay. Depuis, Roanne, j'ai des épisodes pluvieux, et avec la tombée de la nuit, c'est toujours plus fatiguant. Bon, sur la RCEA, ca va, entre la circulation qui n'est pas débordante, et le fait de rouler sur une 2 x 2 voies, c'est moins fatiguant. Ca l'est plus, après la Souterraine, lorsque l'on arrive sur la nationale.
Les cinquante kilomètres qui me séparent de Bellac sont assez fatiguant, alors, je jette l'éponge à Bellac, dans la zone commerciale interdite au plus de 19T. Je me gare vers 21H30 ; une petite marche, histoire de se détendre un peu, et cou couche panier dans l'heure qui suit. Il fait vraiment froid sur le secteur.