Carnet de bord de Octobre 2023 | Partager sur Facebook |
C'est un peu la tête dans la gaz suite à l"élimination du Quinze de France, mais bon il y a plus grave, c'est juste navrant de perdre pour un point, même si je pense que l'AFS nous était supérieure. Ils ont été très "chirurgicaux" dans leurs attaques. A dans quatre ans, les petits.
Vers 6H30, je passe le portail du dépôt avec la lourde tâche de livrer les 3 clients chargés vendredi. On commence par Pusignan, en passant par l'A46, car elle est très fluide à cette heure là, même si c'est la limite à ne pas dépasser, surtout un lundi.
RAS, chez le premier ; chez le second à Vaulx en Velin, il manque une palette. Je la retrouve, elle est au tablier avec les palettes de Vénissieux. Elle n'est vraiement pas lourde, et j'arrive à la sortir. Go Vénissieux, avec un réceptionnaire qui n'a pas envie de bosser, puis un chauffeur en 3.5 T qui bloque le passage pour livrer 17 colis, avec deux de tension. Mais, je pense que son niveau de tension, c'était juste pour faire chier. Mon programme n'étant pas tendu, je laisse tomber, mais je ne manque de faire la remarque à mon réceptionnaire, puisqu'ils avaient l'air de bien se connaitre. Il sourit, moi aussi, mais avec un grand air con....si si.
Je retourne au dépôt pour une livraison "locale" en bobine, au nombre de 2. Dépôt --> St Clair du Rhone, en 2H ou légèrement moins, cool, les gars m'ont déchargé durant leur pause casse croûte. D'après eux, ça les arrangeait, et moi aussi par la même occasion.
Cindy me rappelle, car elle ne pensait pas pas me voir revenir si tôt. J'hérite d'un autre voyage de bobines, toujours au nombre de deux, mais je serais plus lourd (25 T de charge), pour le nord de Besançon.
Je passe la cabine au balai brosse et au karcher, y en avait bien besoin.
Je répare en ayant regarder l'état des routes sur le secteur, mais sans regarder l'état de mon chrono. Je passe devant l'aire de Communay, quand le chrono crie au scandale. Oup's.
Je stope à la sortie Genas, à côté de la base des CRS d'autoroute (lol), à deux pas des bureaux où bosse mon frère. Il passe me voir ; les 30 passent plus rapidement comme celà.
A42, puis je sors à la sortie Pérouges, pour rattraper la nationale que je ne quitterais plus jusqu'à Mouchard.
A la sortie de Lyon, je téléphone à Pierre, afin d'avoir son ressenti sur le match d'hier. Nous avons des avis très proches. Puis, en papotant, on se rend compte que l'on va se croiser, et ce sera chose faite au nord de Bourg en Bresse.
Fin de service en moins de 13 h, tout bien.
Ca caille dans le Jura ce soir. En fait, non, c'est juste une température de saison. Les cheminées commencent à fumer, et c'est réellement pour des raisons de froid et non pas Papal!