FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Vers Le Blanc
    et de l'autre côté de la route
    Du soleil avant Poitiers
    De la brunme après Poitiers!!!!!
    On charge
  • Mercredi 17 Juillet 2024
  •  

    Comme les jours précédents, décollage à 5H01, réglé comme une horloge Suisse. Il fait bien frais ce matin, douze degrés sont affichés au tableau de bord, et quand je suis sorti du camion pour marcher un peu, j'ai regretté de ne pas avoir pris une petite veste en début de semaine. D'autant plus idiot, que j'ai touché ma dotation en tee-shirt, polo, casquette et petite veste polaire; tout ceci, bien entendu avec le logo de la boutique.

    Hier, j'ai regardé la route qui me fera passer par Charte, Argenton et Le Blanc, et bien on gagne plus de trente kilomètre par rapport à ex RCEA, Bellac, Lussac. Je l'avais prise durant la période des manifestations agricoles et je l'avais trouvé plutôt sympa. Et très sincèrement, ce matin, elle a bien déroulé. Je me suis quand même octroyé une pause café en pleine campagne au lever du soleil. 

    Lorsque j'arrive au dépôt de la maison Combronde à Montreuil Bellay, on m'annonce pas mal d'attente, alors je file à la douche. Je suis désormais habillé aux couleurs de la maison.

    Je patienterais bien une heure, mais entre douche et complément de GO, je n'ai pas vu le temps passé. Un cariste bien sympa et drôle vient me chercher ; on ira à l'autre bout du dépôt pour vider. A priori, les bâtiments sont bien pleins actuellement. Après deux heures passés à Montreuil, je prends la route de Bressuire pour mon rechargement. Je serais contraint de prendre une déviation vers Thouars, suite à des travaux sur un pont. La déviation me fera faire dans les quinze bornes.

    Le client suivant est facile à trouver, dans la zone ouest de Bressuire, proche des transports Piejac. Par contre, je ne suis pas attendu ce jour, mais demain. Je montre le document d'affrêtement, qui porte bien la date de ce jour. Bon, il est midi trente, le problème ne va pas se résoudre durant la pause, malgré la bonne volonté de mon interlocuteur, qui viendra me voir quelques minutes après pour me signaler que le matériel est prêt. Si il a l'accord de sa cheffe, il me chargera. Je patiente donc avec un léger casse croute et une petite sieste bien réparatrice, courte, mais très bonne. Comme quoi, ce ne sont pas les plus longues qui sont bonnes.

    A 14H00, Euréka, c'est tout bon pour moi, on va charger, et en plein soleil, et en débâchant de deux côtés. Je charge des bardages et des habillages de façades. Je n'aime pas du tout ce type de came qui dévore les sangles. Rappelez vous mon voyage entre la région Toulousaine et celle de Grenoble. Ce qui me rassure, c'est de voir les tôles bien sanglées entre elles, mais surtout avec un cadre en bois. On va prendre appui sur les cadres pour sangler. Je devrais assurer deux lots avec des sangles en travers en cas de freinage avant qu'ils ne viennent pas s'encastrer dans ceux de devant.

    Je sors pas mal d'équerre et de protection pour les angles en bois. 

    Pratiquement deux heures pour le chargement, plus les quatre vingt dix minutes d'attente, l'amplitude a morflé grave. Et c'est à St Vaury que je jette l'éponge, avec un quart d'heure de marge sur celle çi.