Carnet de bord de Juillet 2025 | Partager sur Facebook |
Au retour au camion hier soir, malgré la fraicheur relative du début de soirée, et les fenêtres qui étaient restées ouvertes, il fait bien "moite" dans la cabine. Une demie heure de climatisation avant de se coucher, c'est déjà plus agréable.
Comme malheureusement, trop souvent, je suis réveillé avant le réveil. Direction les sanitaires pour un décrassage, lavage de chicos, et retour au camion pour seulement un café allongé. Entre temps, Jérôme est sorti de sa couchette ; il parait un peu dans le sceau. Il part du dépôt vers 5H15, je le suivrais avec trente minutes d'écart.
Le jour est bien levé et me permet de faire quelques photos, dont beaucoup ne sont pas exploitables. Quelques gouttes d'eau à la sortie de Roanne, puis c'est Dam's que je croise entre Veauchette et Andrézieux. J'arrive vers 8H30 passée au dépôt, sans avoir freiné à l'approche de Givors. Il y a déjà un peu moins de monde dans le secteur.
Déchargement ultra rapide assuré par Greg, qui me présente Cédric, un nouveau cariste pour l'activité intérieur (comprendre ; pas les containers). Donc essentiellement pour les bâchés.
Mon pare prise est un vrai cimetière, je passe ua karcher pour un lavage rapide de la cabine et plus minutieux sur les carreaux et l'ensemble des rétros. Voilà Valentino prêt pour assurer sa prochaine mission qui est de se rendre à Oytier, qui une plate forme d'une chaine de supermarché discount, afin de le sortir des matériels de vente, tels qu'armoire, présentoir, banque; le tout sur palette ou pas. C'est un vrai merdier à charger, avec des palettes non standards, et pas mal de palettes ne demandant qu'à se casser la gueule. Il y a sept voyages à sortir pour stockage chez nous, dans l'attente de livraison sur la Savoie, me semble t-il. Olivier a assuré deux voyages, ais uniquement avec du matériel sur palettes 100 x 120 ; le plus facile quoi. Désormais, c'est le brin. Mon interlocuteur souhaite que je libère deux travées. Je fais ça, mais j'y passe pas mal de temps, surtout avec un transpalette à fourches longues. Pas facile à manœuvrer dans un petit espace. Je m'en sors tout de même, et ne manque pas de prendre des photos au fur et à mesure de mon chargement. Photos immédiatement envoyées à Virgile.
Pour vider à quai chez nous, c'est hyper rapide ; surtout à trois.
Désormais, je change de hall pour un chargement de trois bobines, et c'est encore Thomas fidèle au poste qui se charge de positionner celles ci dans la fosse. Je suis bien lourd, voir très lourd. D'après mon rapide calcul, j'ai 300 kgs de marge, guère plus. Je ne ferais pas d'exploit sur l'A89 direction Clermont Ferrand, puisque je me rends à Riom pour demain. Jean m'ayant appelé pour me dire de ne pas me presser, car ils accueillent le dernier camion à 15H45. J'aurais pu arriver un peu avant 17H00.
Alors puisqu'il est inutile de se presser, je coupe pour une petite sieste sur l'aire du Forez, cabine mise à l'ombre et climatisation en mode ECO et sur 26° C.
Au siège, je passe faire un complément de GO et d'AdBlue, ce serait fait pour demain. Je gare le camion en face des bureaux de la direction ; on a un peu d'ombre en fin de journée. Le parking chauffeur est en plein soleil, pas pour moi.
Logiquement Robert, surnom Chouquette . Oui, il en est addict. En fait, il est addict à la bouffe, tout simplement.
Maps a chauffé ce jour….mon trajet n'est pas très conforme.