Carnet de bord de Janvier 2024 | Partager sur Facebook |
Je ne suis qu'à 8 kms du client. Je quitte mon parking-hotel vers 6H30. Le camion est à peine chaude, quand j'arrive devant le client. L'usine parait récente. Il y a de la place pour circuler, et le déchargement se fait dans un hall au milieu des machines. Pas trop bruyant ce hall, et il y fait plutôt chaud. Sans doute la présence des machines de découpe! En 14 mn, je suis de retour dans la cabine ; bien entendu, j'attends 60s, ca s'est fait.
Je monte sur Montaigu, full autoroute ; autoroute que je prends à 3/4 KMS après mon point de livraison.
J'eesaie de joindre Olivier lorsque je suis à 15 mn du client, mais il ne décroche pas. Et pour une bonne raison, il est dans le hall avec Najib, et ils sont en train d'ouvrir leur toit. Et les gars, vous avez un peu de retard, non!! chut.....Celà me laisse du temps pour dessangler m bobine, mais je ne range pas mon matériel, je le roule simplement.
D"sormais, place aux ramasses. Et j'en ai trois à faire, entre le secteur de Cholet, à côté de Saumur et un peu avant Chateauroux. Oup's, il ne va pas falloir molir. Alors GO, petit bolide. Un petit 50 kms à faire pour me rendre à ma première rammasse, chez un fabricant d'engins agricoles. A la base, je ne savais pas ce que je chargeais. J'avais juste un poids et un métrage. En fait, je charge une machine qui permet de broyer les bottes de paille et la pulveriser par côté. Cette machine est utilisée dans les stabulations. La personne qui charge est sur un autre site. Dans l'attente café + biscuit.
Nous sommes deux à charger. Le gars utilise un fen pour pousser la machine dans la remorque. Il y a cinq points d'ancrage pour fixer la machine, mais ce n'est pas simple que de les atteindre une fois la machine en place. Je demande à mon contact de vérifier mon sanglage, c'est bon ; il est midi quand je ferme les portes.
J'aurais bien aimé partir trente minutes plus tôt, mais bon. Alors go direction Loches. C'est la deuxième fois de la semaine que j'y passe. Deux, ca fait la paire et à Loches, ca fait donc.....
J'ai 130 Kms jusqu'à ma seconde ramasse, pour du matériel de construction, à destination de SQF. A mon arrivée, à 14 h20, on me signale que ma référence n'est pas bonne, et qu'il n'ont pas de site sur SQF. Je réponds que c'est un centre de formation. La dame me regarde, et vérifie. Ah oui, vous avez raison, vous connaissez? Bien sûr, j'ai livré le poste de transformation quand le site a été crée. Deux palettes, mais 40 mn tout de même.
Près de 100 kms me séparent jusqu'à la troisième et dernière rammasse, 20 kms avant Chateauroux. La boite ferme à 17h30. J'y serais avant 17h00. Le client possède deux sites, et il faut charger sur le second. Vous avez un petit camion. Oui, mais de 44 T. Hein.....Ah ben, je me suis garé dans une petite rue, après de savantes manoeuvres, puis ils ont fait les voyages avec leur fen....pas le choix. Les gars étaient chaud bouillant, alors j'ai eu juste le temps de vérifier la sanglage de ma machine agricole et d'en jeter deux sur le derniers lots.
Un peu plus de 3h00 à rouler. St Pourçain et le dépôt Combronde me parait être une bonne option. Avec 16 mn d'avance sur le maxi que je pouvais faire, je me gare face à la porte de la douche. Elle fera du bien. Mais, on va vérifier les tensions des sangles pour la machine agricole.
Demain, décollage vers 6H00 pour Montbrison, puis SQF, puis Roche.
A priori, je recharge vendredi au dépôt pour Montaigu.