FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Avril 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • A Carquefou
    Petite sieste vers Bellac
    Entre Confolens et Bellac
  • Jeudi 18 Avril 2024
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    La nuit a été très mauvaise ; ces problèmes de sommeil depuis plusieurs mois sont vraiement gênants en fin de semaine avec la fatigue accumulée. Malgré mon suivi médical, je ne vois pas d'amélioration. Et malheureusement, vers 22H00 un frigo s'est garé dans la rue face au parking, et à vingt mètres de moi. Le matin, j'émerge assez facilement, et malgré que j'avais pris un encas au camion, je ne résiste pas au pain aux raisins avec mon grand café.

    J'arrive à 6H30 à Carquefou, et il y a un seul camion en attente. Camion benne, avec des poutres. Vingt minutes plus tard, ce sont quatre autres camions, tous espagnols qui arrivent. Mais ils ont tous des poutres et je suis le seul à poser dans le hall 1. Je suis rapidement dans le hall pour commencer à dessangler. J'ai rangé l'intégralité de mon matériel quand le fidèle pontiste, pas très nerveux, mais bien sympa, commence à vider mes fardeaux.

    Je recharge chez FM à l'Hébergement, pour Bollène demain 6H00. A mon avis, ca ne va pas le faire! il faut que j'appelle Cindy ce matin. J'attends les 8H00 passé pour l'appeler.  Elle parait surprise que je sois déjà vide et prêt à charger. "Ben oui, si tu veux que je sois à Bollène demain matin". Elle me coupe en me demandant pourquoi demain, ce n'est qu à livrer que lundi? Hein, mais dans ma mission, c'est noté demain. Ah merde, je m'ai gouré me dit-elle Ah ben, si ce n'est que pour lundi, je n'étais donc pas pressé hier? Bon, ca arrive, pas grave, mais elle me demande de temporiser car il y a un souci avec l'affrêtement. A 500 m après FM, il y a un frand parking près du stade, je m'en vais me caler le temps que ça se décante. Vingt cinq minutes plus tard, j'ai le GO de Cindy, mais j'attendrais cinq minutes de plus. Ca tombe bien, mon café est fini de couler, le temps de le boire et go.

    Inscription faite, la machine me dit RDV11H00, mais à peine le temps d'aller en cabine que je reçois le SMS salvateur ; quai 405. Impec. Reçu par une charmante quinqa (y a pas que Pierrot quand même). Elle me demande comment je veux etre chargé. Ma foi les paelttes ont l'air d'avoir le même poids. D'eprès les étiquettes, il y a des écarts de 100 kgs entre les boites de sardines et celles de maqueraux. Alors je lui demande de mettre les bleues puis les jaunes, et finir pas les rouges, ca fera plus joli dans le camion!! Elle me regarde interloquée. Mais, non prener les comme elles sont et charger. Ah ok. 

    On va se descendre par Niort, Melle, Confolens, Bellac (centre ville à cause des travaux). Je n'arrive pas à Niort tellement je suis naze ; je coupe à la dernière aire avant Niort. Je croise un chauffeur Combronde du dépôt de Montreuil qui s'en va sur Lyon.

    La route suit son cours jusqu'à la première aire de repos sur l'ex RCEA. Cette fois, je plonge dans la couchette pour une bonne sieste. Lorsque je me réveille, j'en suis complètement assomé. Une petite marche sous un aire bien frais me fait du plus grand bien. Heureusement, qu'il ne faut pas être à Bollène demain matin.

    Je finis ma journée au dépôt de St Pourçain ; je pouvais rouler encore presque deux heures, mais l'amplitude ne m'autorisait que 50 mn. Dommage, Tophe était à l'entrée de Roanne.

    Je merde complètement en téléchargeant les photos de la veille, donc mercredi ne sera pas imagé. Désolé Mich!