FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Juillet 2024 Partager sur Facebook
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  • Deborah, qui m'a frotté le dos
    Au loin, le génat de Provence
  • Vendredi 19 Juillet 2024
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    Réveillé à 2H50, putain, ça pique. Je suis bien réveillé après un petit tour dehors et un rapide café au camion. Je démarre à 3H20, pour rallier Clermont L'Hérault, soit une distance d'environ 110 Kms. J'ai prévu 1H40 pour le trajet, mais je n'arriverais qu'à 5H05 à l'inscription à la base U. Merde, j'ai foiré. Une fois l'inscription faite, je n'ai pas le temps de retourner au camion, que je suis invité à ma poser au quai 55. Ma mise à quai est parfaite, alors que je me disais que j'allais y passer la matinée. Là où je passe du temps, c'est pour défaire les sangles qui m'ont été imposées à l'arrière du chargement…. J'avais oublié et c'est en ouvrant les portes que j'ai vu mon malheur. Bref. Accueilli par du personnel très sympa, mais je dois quand même me décharger. Inutile de vous préciser que j'étais moyennement heureux de le faire. on me demande de ranger sur trois files, et de mettre les étiquettes dans un sens pour les rangées 1 et 2, et pour la troisième dans l'autre sens. Pour un tiers des palettes, je serais donc obligé de retourner de 90° les palettes en les reposant et en les reprenant dar l'autre face avec le transpalette. La fille au contrôle est elle aussi très sympa, et me signe rapidement mes papiers. Avant 6H00, j'envoie via mon téléphone pro : mission accomplie, ainsi que les photos de la CMR et du BL émargé.

    Je remonte jusqu'à Vedène, alors autant filer rapidement avant que les montpelliérains soient réveillés. J'ai mérité mon PDJ à l'aire d'Ambrussun. Ces trente minutes me font un bien fou, et je suis frais pour me rendre à Vedène. Je ne coupe pas par Avignon, j'ai le flemme. Je retrouve trois collègues de la maison de Thiers, de Veauche et de Sorgues. Et je vous le donne Emile (Coluche) : on débâche des deux côtés. 27,5 T plus tard, il est temps de prendre la route direction la ville Lumière, mais avant tout, Valentino et sa belle mère ont besoin d'un bon bain. Les rouleaux du dépôt de Bollène fonctionnent à nouveau, autant en profiter. Brosse sur l'ensemble des jantes, karcher, puis on démarre les rouleaux. Lorsque l'ensemble est propre comme un sou neuf. Je dois couper trente, je profite du confort de l'agence pour casser une graine et préparer mes affaires pour la fin de semaine.

    L'autoroute du soleil qui porte mal son nom actuellement est chargée dans les deux sens, mais je n'aurais pas un seul ralentissement sur mon trajet, si bien que je franchis le portail de l'écurie vers 14H30, et je file direct aux pompes puisqu'elle sont libres. 

    Je suis le second bâché'man à rentrer ; un peu normal vu mon heure de démarrage. Seul Olivier me bat, mais il est hors jeu, puisqu'en vacances depuis hier soir. Robert et Eric remontent de Bordeaux, et devraient retrouver l'écurie vers 19H00.

    Je n'aurais pas le plaisir de voir le Renault à électron qui vient d'arriver, et dont le chauffeur se dit ravi. C'est un camion destiné aux rotations entre Gerland et le dépôt.

    Sur ce, passez un bon weekend.