Carnet de bord de Décembre 2023 | Partager sur Facebook |
Après 9H et qq minutes, on repart direction la Vendée. L'A20 est bien calme et soporifique. Je ne sais plus trop où je m'arrête pour un café, mais c'était après 2h30 de guidon, puis une autre pause réglementaire un peu avant Poitiers. Je profite de cette pause pour confirmer à Estelle de mon heure d'arrivée. Et j'y serais même juste avant les 13h00. Mais c'est la pause, alors j'en profite pour dessangler en rouler mes sangles. Un peu avant la fin, un gars bien sympathique vient me chercher. Il veut me montrer où je dois décharger, et une reconnaissance à pied s'impose. Et ben, mon gaillard, j'ai un semi, pas une fourgonnette. Il faut tourner autour du batiment, avec deux angles à 90° dont le premier, je pense est très limite, limite, et puis il faut ressortir en marche arrière..........Hein!!!! Je propose de ressortir par le parking des employés, mais non, pas possible, puis de venir à la hauteur de ce parking en marche arrière pour décharger un côté, puis revenir en marche avant pour l'autre côté. Rien n'est possible pour différentes raisons. Est-il possible de décharger dnas la petite cour où je suis garé? On va en référer au big boss. Après bien 3/4 d'heure, on décharge devant. Mon gars commence à me vider, mais il met les palettes dans le seul endroit où je devrais manoeuvrer pour ressortir. Ben, il ne sait plus où mettre les palettes. C'est un scetch, mais il est sympa. Patr contre, il m'abandonne auprès de sa collègue qui elle est beaucoup moins sympathique et qui m'explique que j'étais attendu à 14H00, alors qu'elle ne me viderait qu'à partir de cette heure, pis c'est tout. Bon, je suis sympa, mais là, ils me les cassent. Ma patience a des limites. Alors, plutôt que de m'énerver (c'est pas bon pour mon petit coeur), je lui explique que je suis debout depuis 4H00 (j'ai exagéré de 30 mn, mais bon), tout ça pour livrer des billes plastiques et tenir notre engagement, et que j'ai faim, alors je pars déjeuner au camion. Venez me chercher si besoin. Et ben, figurez vous que Madame est venu taper à la porte alors que je n'avais pas encore attaquer mes brocolis. Encore bon Prince (et oui, ca me perdra), je descends de ma cabine pour finir d'enlever mes planches. 5 mn plus tard, c'est torché. Tout ça pour ça.
Bref.
Allez go pour mon rechargement. J'ai une petite heure de route pour m'y rendre. Bonne information lorsque je passe sur la voie rapide, avec une vue du parking PL : il n'y a aucun camion. Ca devrait bien se passer. Je m'inscris après être passé par la bascule. Lorsque je ressors de l'accueil, trois chauffeurs arrivent. Bon vu l'immensité du site, trois camions avec moi, ce n'est rien. Je suis de suite dans un hall pour le chargement de trois palettes, puis je bascule dans une "autre gare" pour la plus grosse partie de mon chargement, soit 26 palettes. J'aurais le temps de faire un bon petit goûter, avant qu'un cariste vienne me charger. De suite, il m'annonce qu'il a prévenu la troisième et dernière gare d'apporter les 4 ou 5 palettes. Superbe idée, je n'aurais pas à tout faire et défaire. De plus, la came est prête, en peut être trente minutes, c'est plié.
Vers 17H30, je sors du site avec ma CMR et mon BL sous le bras. Je reprends la quatre voies, direction Niort et je stoperais au relais des Deux Ailes, au sud de Niort, avec 9H54 de guidon. Je suis bien rincé. La douche sera bien réparatrice, ainsi que le verre de Porto.
Après 9H et qq minutes, on repart direction la Vendée. L'A20 est bien calme et soporifique. Je ne sais plus trop où je m'arrête pour un café, mais c'était après 2h30 de guidon, puis une autre pause réglementaire un peu avant Poitiers. Je profite de cette pause pour confirmer à Estelle de mon heure d'arrivée. Et j'y serais même juste avant les 13h00. Mais c'est la pause, alors j'en profite pour dessangler en rouler mes sangles. Un peu avant la fin, un gars bien sympathique vient me chercher. Il veut me montrer où je dois décharger, et une reconnaissance à pied s'impose. Et ben, mon gaillard, j'ai un semi, pas une fourgonnette. Il faut tourner autour du batiment, avec deux angles à 90° dont le premier, je pense est très limite, limite, et puis il faut ressortir en marche arrière..........Hein!!!! Je propose de ressortir par le parking des employés, mais non, pas possible, puis de venir à la hauteur de ce parking en marche arrière pour décharger un côté, puis revenir en marche avant pour l'autre côté. Rien n'est possible pour différentes raisons. Est-il possible de décharger dnas la petite cour où je suis garé? On va en référer au big boss. Après bien 3/4 d'heure, on décharge devant. Mon gars commence à me vider, mais il met les palettes dans le seul endroit où je devrais manoeuvrer pour ressortir. Ben, il ne sait plus où mettre les palettes. C'est un scetch, mais il est sympa. Patr contre, il m'abandonne auprès de sa collègue qui elle est beaucoup moins sympathique et qui m'explique que j'étais attendu à 14H00, alors qu'elle ne me viderait qu'à partir de cette heure, pis c'est tout. Bon, je suis sympa, mais là, ils me les cassent. Ma patience a des limites. Alors, plutôt que de m'énerver (c'est pas bon pour mon petit coeur), je lui explique que je suis debout depuis 4H00 (j'ai exagéré de 30 mn, mais bon), tout ça pour livrer des billes plastiques et tenir notre engagement, et que j'ai faim, alors je pars déjeuner au camion. Venez me chercher si besoin. Et ben, figurez vous que Madame est venu taper à la porte alors que je n'avais pas encore attaquer mes brocolis. Encore bon Prince (et oui, ca me perdra), je descends de ma cabine pour finir d'enlever mes planches. 5 mn plus tard, c'est torché. Tout ça pour ça.
Bref.
Allez go pour mon rechargement. J'ai une petite heure de route pour m'y rendre. Bonne information lorsque je passe sur la voie rapide, avec une vue du parking PL : il n'y a aucun camion. Ca devrait bien se passer. Je m'inscris après être passé par la bascule. Lorsque je ressors de l'accueil, trois chauffeurs arrivent. Bon vu l'immensité du site, trois camions avec moi, ce n'est rien. Je suis de suite dans un hall pour le chargement de trois palettes, puis je bascule dans une "autre gare" pour la plus grosse partie de mon chargement, soit 26 palettes. J'aurais le temps de faire un bon petit goûter, avant qu'un cariste vienne me charger. De suite, il m'annonce qu'il a prévenu la troisième et dernière gare d'apporter les 4 ou 5 palettes. Superbe idée, je n'aurais pas à tout faire et défaire. De plus, la came est prête, en peut être trente minutes, c'est plié.
Vers 17H30, je sors du site avec ma CMR et mon BL sous le bras. Je reprends la quatre voies, direction Niort et je stoperais au relais des Deux Ailes, au sud de Niort, avec 9H54 de guidon. Je suis bien rincé. La douche sera bien réparatrice, ainsi que le verre de Porto.