FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Mars 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Au dépôt de Bollène
    A quai à Salon
    Sur A49, au pays des noix
    La montagne, ca vous gagne
  • Jeudi 21 Mars 2024
  •  

    Je n'ai RDV qu'à 9H00, alors je pars de Bollène vers 7h00, histoire d'arriver avec un peu d'avance et pourquoi pas caser d'entrée une petite quinze. Je suis reçu d'une façon pas très élégante par le "vigile" d'entrée, qui on le voit bien, est très imbu de sa personne et fier d'avoir un pouvoir sur les visiteurs. Je n'y prête pas plus attention ; on ne va pas se prendre la t^te de si bonne heure. 

    A 905, un SMS arrive, quai D7, mais il faut se présenter d'abord à nouveau à l'accueil pour le badge d'entrée. Même personne, même regard qui tue. Pourtant, suis propre, et je me suis lavé les dents, thee shirt propre...j'sais pas. Je demande où est le quai "faites le tour du batiment". Bien, je m'éxcécute, mais non, ce n'est pas ça, il faut faire le grand tour de TOUS les bâtiments. Arrivé sur le quai, je me mets en place, mais j'attends à 2/3 m du quai, car j'ai un plomb et je ne sais pas si ce sont eux qui l'enlèvent et/ou si ils veulent le voir présent aux portes. Alors, j'attends. Une, deux, cinq minutes. Je vais frapper à la porte. Bon, je me décide à couper le plomb en prenant soin de faire une photo assez large. On verra bien.

    Je retourne à la porte d'accès au quai. Un gars "pas tibulaire", mais presque (du Coluche), m'accueille. Jem pense qu'il est de la même famille que le vigile d'entrée. Je rigole intérieurement, en me disant que je ne suis pas vernis quand même. Pourtant, j'ai un minimum de sourire. J'explique que j'ai coupé le plomb car j'ai un petit peu attendu ; il me coupe "j'm'en fous". Et bien on est deux.

    Il m'emmène un transpalette électrique et me dit de me décharger, puis il s'en va. Alors, je m'attaque à la tâche, Lorsque j'ai vidé bien un tiers du camion, un gars bien plus sympathique vient me voir et me dit de déposer le gabarit sur les fourches, je me ferais moins chier pour toutes les palettes, car elles sont du mauvais côté. Oh putain, j'avais tracé, (car oui, je ne suis pas doué), au marqueur une ligne sur les fourches pour la largeur des palettes. J'avais vu ce bourt de tôle vers les chargeurs électriques, mais je ne connaissais pas leur rôle et mon grand ami sur le quai ne s'est pas empressé de me l'indiquer.

    Huereusement, c'est la seconde personne qui me signe mes papiers. Retour au poste de gard, où le vigile vient me voir pour me demander si je confirme les insultes que j'aurais portées à M xx (pas noté le nom)? Hein. Il me prend vraiment de haut, alors j'abrège et lui montre ma CNI, et lui demande de m'interdire de site. C'est ma parole contre celle de M X, allez, je me barre.

    Coup de fil à Cindy pour l'informer : "ne te prends pas la tête". T'inquiêtes Cindy, je suis passé à autre choe de suite. Et d'ailleurs la suite est à 600 m ; tellement près que j'en rate l'inter-section.

    Sur ce site, ce sont des grnads sourires, ca me va mieux. Oug. De suite un quai, de suite un gars qui charge. Même pas vingt minutes sur place, alors, je lui demande si je peux rester dix de plus. No pb.

    J'ai charghé pour St Rémy de Maurienne, et ce n'est qu'à livrer demain matin 8H00. Inutile de vous préciser que j'ai le temps.

    Je sors à Piolenc jusqu'à Montélimar sud et comme hier je m'accorde la traversée de Montélimar, via l'autoroute. Un échange avec John, puisque je vais sur ses terres ou plutôt ses montagnes. 

    J'ai un doute sur la nationale entre Valence et Grenoble : est ce autorisé?  Je crains que non, je conserve l'autoroute à petite allure.

    La traversée de Grenoble passe bien, il faut dire qu'il est tout juste 16h00, et dans mon sens c'est très correct. Pas la même limonade dans l'autre sens. 

    A Pontcharra, c'est nationale, par une route bien sympa, avec un ruisseau qui la longe.

    Arrêt à la Taverne de l'Arc, avec 7H30 de volant. Demain, je n'ai qu'une trentaine de kms à faire pour accomplir ma livraison.