FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Novembre 2023 Partager sur Facebook
  • Photos
  • Ce n'est pas bien large à St Priest
    On vide à l'abri
    La Saone déborde un peu
    Morvan en fin d'après midi
    Pas beau ce coucher de soleil
  • Mercredi 22 Novembre 2023
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    J'ai regagné ma cabine vers 20H30 hier soir, et ce matin en sortant du relais, je vois un Merco TBI, et c'est bien l'ami Dedieu. Zut, raté. 

    Je sors donc lentement du parking pour ne pas le réveiller, et je reprends de suite la N6 pour descendre jusqu'à Chalon. Mon idée est de ne pas arriver trop tôt sur Lyon, afin d'éviter les traditionnels bouchons. J'ai donné hier et j'ai ma dose.

    Je suis sur le secteur de Rillieux vers 9H00 et la descente passe pas trop mal mais c'est un peu plus bas que ça coince sévère, alors je décide de prendre le périph et de sortir à la sortie Parilly, pour rejoindre mon client, rue de l'industrie.

    Je n'y suis allé qu'une seule fois, et il y avait un tas de camion à l'entrée, c'était vraiment le bordel. Ce matin, c'est nickel pour accéder au site, mais pour y décharger les bobines, il faut contourner le batiment et c'est assez fin avec les zones de stockage. Ici, on est à l'extérieur (pas dans un hall), mais sous abris tout de même, et c'est assez rapide pour vider. Le temps que mon gars s'occupe de moi, j'ai le temps de ranger mes sangles et au fur et à mesure je remets mon plancher, ne sachant pas ce que je fais derrière.

     Malheureusement, une fois que j'ai tout bien plié et ranger minutieusement, Cindy me demande de rentrer au dépôt pour..........charger des bobines. Putain, j'ai tout plié. Faire et défaire!

    Tout est prêt au dépôt, alors je peux charger de suite, et avant midi, je passe le portail de sortie. Cindy descend me saluer et me demande de passer au lavage car mon camion est bien crade. Et dires que je l'ai lavé à la brosse vendredi dernier. Les routes de la Marne sont sans doute des coupables idéales.

    Ben, je reprends le chemin pris à la descente, soit A6 jusqu'à Chalon, puis le Morvan, oùy je croiserais P'tio Pépito, alias Hugo chargé en grumes dans Saulieu.

    Après une petite 45, je finis mes heures jusqu'au relais de Courtenay, avec 9H02 de volant, mais qui compte 9h00.

    Derrière moi, un collègue à Pierrot se gare et vient le voir pour s'assurer que je décolle bien à 5H15. En sortant du camion, je vois dans la file d'à côté un Daf de la maison Legendre, le même que lundi soir à Soissons. On se salue avec le chauffeur. Le monde est petit.