FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Décembre 2025 Partager sur Facebook
  • Photos
  • A quai à Graveson
    Péage bloqué, voiture à contre sens
    Quelques vestiges des blocages des agriculteurs
    Tophe et son FH
    Au bar, la meilleure place de la journée
  • Lundi 22 Décembre 2025
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    J'ai RDV à 7H00 ce matin à Graveson, pour y vider mon complet d'électroménager chargé vendredi sur Bourges. J'avais prévu 2H30 de route, et bien, il en manquera un peu. En effet, j'arrive avec un quart d'heure lyonnais dans la poche, mais rien de grave me dit-on à mon inscription. Dame charmante à l'accueil, qui me donne un quai direct.

    Entre temps, sur la route, la circulation était bien fluide. Les parkings sur autoroute sont bien vide, même celui de la grande borne ,'avait pas plus de 4 ou 5 camions garés à l'heure de mon passage. Je n'ai pas croisé notre feignasse de sudiste, qui logiquement se remonte sur Troyes en début de semaine. Feignasse de sudiste, c'est le surnom que lui donne une feignasse du Mans...qui lui aussi est en vacances.

    Il a bien plu dans le sud, le parking possède de belles flaques qu'il faut éviter pour retourner au bureau, après les vingt minutes de déchargement. 

    Mission suivante, me rendre à Grans, pour un complet de bières à monter à Mer, à côté d'Orléans. Là bas, je n'ai RDV qu'à 13H00, mais autant tenté. Comme le disait fort bien Michel Blanc "oublies que tu n'as aucune chance, fonce, sur un malentendu…." Et nickel, le malentendu, quai quasi direct. Lorsque j'arrive sur les quais, la jeune fille m'attend à la limite de la remorque pour commencer le chargement. Les vingt quatre palettes sont là, trente minutes suffiront à m'alourdir de presque vingt cinq tonnes. J'étais descendu léger, je remonte assez lourd.

    Olivier est dans le secteur, je le rappelle car il recharge au même endroit, pour la même destination. On devrait pouvoir se retrouver, car nos temps de route devraient être assez proche au moment où il sera sur Grans. On se rappellera.

    Dans l'attente c'est Robert qui me contacte. Non, il ne m'ai rien arrivé avec ta remorque, mais prend bien soin de la mienne en chargeant chez Elkem. J'ai réveillé Robert ce matin, car j'étais garé à côté de son camion. Je n'y ai pas pensé samedi ; j'aurais dû me garer le long du grillage. Bon, il devait se lever dans les trente minutes qui suivaient. On devrait refaire l'échange de nos remorques respectives mercredi après midi.

    Ce jour, je n'ai pas entendu parler de blocages des agriculteurs sur le sud est, ni sur mon parcours prévisionnel. 

    Logiquement, je monte par Roanne, Bourges, puis Orléans. Mais pour ce soir, ce devrait être entre Roanne et St Pourçain, que je trouverais mon bonheur pour la nuit. 

    Je coupe trente à l'aire de la plaine du Forez (ce n'est pas son nom dans ce sens, mais, vous voyez donc). Ca tombait bien, j'ai un bon coup de pompe. Je passe un peu de temps en couchette sans pour autant trouver le sommeil. Depuis que j'ai attaqué ma remontée depuis Grans, l'autoroute s'est bien chargée en voitures, mais toujours eu de camion, surtout en bâché. On voit toujours autant de frigo, et c'est un peu normal, mais la circulation Pl a bien ralentit. Il y a bien plus de voitures que de PL, aussi bien sur les aires que sur les voies de circulation. Même l'A89 ne fait pas exception. Bon, je la quitte rapidement en prenant la direction de Roanne, et de la N7.

    Olivier a finit son chargement, et me confirme le même nombre d'heures de conduite que moi. On ne devrait pas arriver à St Pourçain, mais à Lapalisse, sans problème. 

    Et c'est l'ami Tophe qui me contacte. Il me voit sur Maps, alors qu'il passe sur Digoin. Il va se poser à Lapalisse lui aussi, et il arrive un peu après moi sur le parking. Il est assez tôt, mais on va papoter un peu au bar de l'aire.

    Olivier nous rejoint, puis c'est l'heure de casser la croute. On passe un bon moment tous les trois. Dans nos discutions, on s'aperçoit que mon collègue Olivier, connait bien Nico38, notre "pailleux" sur le site FDR. On en profite pour lui passe le bonjour.

    Tophe passe un peu de temps au téléphone pour aiguiller ses filles, afin qu'elles échappent aux différents bouchons liés à l'accident industriel sur le site d'Elkem, celui là même où Robert, mon collègue est allé chargé ce matin.