Carnet de bord de Juillet 2024 | Partager sur Facebook |
Après une soirée à la maison, où nous avons fêté la retraite progressive accordée à Madame, qui est à 80 % actuellement, et qui passera à 40% au mois de mai 2025, je retourne au dépôt, avec la délicate mission de faire les 800 mètres qui séparent notre dépôt de celui de DHL que je livre. Inscription réalisée avec toujours des petits tracas là bas, car je ne sais jamais quel chiffre il faut rajouter au numéro du BL ; et oui, ce serait trop simple de le faire apparaitre soit sur le "guide d'emploi" de la borne électronique (une seule fonctionne d'ailleurs), ou de le faire apparaitre directement sur le BL. Cette fois çi, je l'ai noté sur mon cahier, c'est le ZERO.
Je suis rapidement appelé pour me mettre à l'emplacement 26. De ce côté où je suis, il n'y a pas trop d'attente, et cela se confirme encore aujourd'hui. Et puis en prenant les palettes par quatre, c'est donc toujours plus rapide.
De retour au dépôt, j'accroche un châssis afin de l'emmener à Montluel, dans la banlieue de Lyon. C'est assez rapide, car , et c'est à noter, il est garé à sa place et pour le sortir de son emplacement, il n'y a aucun problème. Une fois leste de mon quarante pieds, je passe par l'A46, qui ralentit un peu au niveau de l'A43, mais rien de bien sérieux. Je tourne un peu pour trouver le client, car l'adresse n'est pas bonne. Le fait de tourner me fait croiser Alex12, qui va au même endroit que moi, et je le retrouverais un peu plus tard. Lorsque je trouve enfin le client, je me permets d'envoyer l'adresse à Stéphanie qui gère les chauffeurs containers, car lorsque je l'ai appelé, elle a eu cette délicate attention envers moi "mes chauffeurs trouvent toujours". Euh, oui, ils savent que l'adresse donnée n'est pas la bonne, épicétou. Malheur à moi, ce n'est toujours pas la bonne adresse, car les quais sont accessibles via une rue parallèle à celle du siège que j'ai trouvée sur Maps. J'ai bien perdu quinze minutes avec tout ça, mais rien de problématique, car sur place, le client n'est pas affolé : n'est ce pas Alex?
Au bout de deux heures, ils arrivent à vider un container de marchandises sur palettes.. vraiment pas affolé là bas. Retour au dépôt, pour reprendre ma taut qui m'a sagement attendu pendant mon escapade avec un châssis. Re A46, mais cette fois ci, je sors à Meyzieu, pour aller charger chez un emballeur, bien connu de l'ami qui se promène en Scandinavie. Je retrouverais d'ailleurs un de ces "amis" : Vicenzo. Ici aussi, c'est le bordel. Déjà les places de parking sont minimalistes et très difficile d'accès, et il y a déjà quatre camions en attente, dont Eric de chez nous. Il est ici depuis 10h00 ce matin. Il attendra donc plus de trois heures, avant d'être appelé. Pour ma part, c'est vers 16H30, que j'ai enfin le droit de me garer sur le seul emplacement de chargement. Il y a des caisses de partout et d'après mon interlocuteur, elles seraient au nombre de 6000. C'est assez rapide à charger, car les caisses sont bien grandes et larges, mais très légères.
Le retourne au dépôt, pour y décharger mes caisses. Ces caisses ne nous sont pas destinées, mais, c'est un de nos voisins qui se chargent de mettre les caisses dans des containers, et ils nous louent des m² sur notre parking pour ce job. Un des gars m'attend, et c'est aussi rapide à vider.
Demain, j'ai deux tours à faire, et je vais essayer d'aller à l'ouverture dès 8H00.