| Carnet de bord de Octobre 2025 | Partager sur Facebook |
Comme mardi, je souhaite passer Givors après le rush du matin. Je sors du dépôt à 5H30. Vers 3h30, j'ai été pas mal secoué par le vent qui se levait, mais ce matin, il a disparu au "profit" de la pluie. Et c'est donc sous un beau crachin que je traverse la cour pour me diriger vers le bloc sanitaire. La pluie vient par intermittence, mais de façon bien violente au nord de Roanne. Par contre à Mably, plus rien!! Va comprendre Charles.
Etant parti bien trop tôt, mais je le savais, je stoppe pour un plein de mon plus gros réservoir à Veauche. Givors est encore bien encombré, alors, je file à la douche.
Dans ce laps de temps, le bouchon a sauté. Le client est facile à trouver, et je m'aperçois que je l'ai déjà fait. La cour est bien encombré, même le portail d'entrée est délicat à passer. Le cariste qui m'accueille est tout sourire. Il me signale que j'ai bien fait d'arriver maintenant, car il y a encore dix minutes, il y avait trois camions dans la cour… Ceci explique cela. Juste derrière moi, rentre un Mazet en messagerie. Il a deux palettes à sortir, je fais signe au cariste qu'il aille s'atteler au porteur avant de vider mon complet.
Le temps est bien plus clément sur la Drôme, même si j'ai craint en arrivant sur Tain, de prendre des paquets d'eau à Chabeuil. Mais comme depuis ce matin, ca s'en va et ça revient. Sucré Claude, lui, n'a pas eu de "chance" avec l'eau.
J'ai trente à poser, histoire d'être réglo vis à vis de Madame RSE. Une bon café accompagné de tout petits biscuits, et me voilà refait. Coup de téléphone à Virgile qui confirme que je peux remonter tranquillou, mais il doit m'envoyer un "bulletin de livraison", obligatoire pour rentrer sur le site. Il a un doute si une trace papier est obligatoire ou une trace sur le téléphone est valable. Dans le doute, je lui demande de me l'envoyer et je me débrouille pour l'imprimer dans l'après midi. Au plateau des Couleurs, il y a un Bureau Vallée, je fais y aller.
A 500 m de ce magasin, il y a la concession Triumph (concession, pas lingerie, bande de p'tits vicieux), mais elle est fermée à cette heure.
Je remonte au camion, puis me gare au relais d'Albon, je suis le second camion sur le parking. Je refait le rangement de mon coffre à sangles, ca m'occupe un peu, puis c'est l'écriture du CDB, entrecoupé par une pleureuse du sud qui vient me déranger perdant ainsi le fil de mon écriture. Oh peeeeeuuuuuchère