Carnet de bord de Juin 2024 | Partager sur Facebook |
Après un bon weekend en Ardèche avec les petits fils, où le plus petit a descendu 8 marches en vélo, il faut retourner au boulot. Quelle frayeur! Et dire qu'il est arrivé a descendre les 3/4 premières marches debout sur le vélo. Un futur trialiste, à ne pas en douter.
Je n'ai pu faire le plain vendredi, alors je me présente au dépôt avec un peu d'avance, histoire de remplir les trois réservoirs, GO et AdBlue.
Pas mal de monde sur la route qui m'emmène à SQF, dont deux convois agricoles qui me font perdre un peu de temps, et les ronds point de Lafayette et de l'Alouette sont bien pénibles à traverser.
Et c'est donc avec quelques minutes de retard que je me présente chez DHL pour charger des boissons à destination de Meyzieu. Nous sommes quatre camions à avoir RDV à 8H00, mais il y a un seul cariste. Sans doute que le planning a été fait par un prix Nobel, ou pas! Je passe en numéro 2 , il n'y a rien qui va mal, et je peux repartir vers 9H00 pour mon saut de puce jusqu'à Meyzieu. En passant par les coins de St Exupéry, je ne prendrais guère plus de 35 mn pour y arriver. J'ai de suite un quai à l'arrière du bâtiment, avec un espace assez restreint pour manœuvrer. Mais, je trouve que je suis à l'aise pour les manœuvres avec le T qu'avec le Ford. Est ce la direction assistée? Je pense aussi que les rétroviseurs, même plus petits sur le Renault sont "plus mieux bien". Bref, je m'en sors bien.
C'est un peu plus long pour être chargé, si bien que j'ai le temps de boire un café et de l'offrir à mon voisin de quai. Un gars bien sympa du secteur d'Avignon.
Lorsque je reprends la direction du dépôt vers 11H00, je suis surpris que la rocade ne soit pas ralentit, ou même bouchée. A part vers l'intersection A43, rien à signaler.
A 11h15, je m'annonce auprès de Bechir : stationnement dehors pour charger mes 27 T de tôles. Le premier fardeau est un lot de 4 m ; on le met a un mètre du tablier, les autres tas sont des longueurs de 3.5. Sur le Renault, il faut bien penser à lever avant de charger, car les gardes boue s'arrachent facilement. Généralement, j'y pense toujours au dépôt, j'ai un peu de mal à y penser lorsque je suis à quai, c'est ce que j'ai oublié de faire ce matin.
Je déroule quatre sangles par fardeaux, pour des raisons de longueur sur le premier, et pour des raison de poids sur les deux second qui possèdent quatre tas chacun.
Vers midi trente, je peux enfin prendre la route de l'ouest. J'appellerais Cindy en début d'après midi, pour qu'elle m'annonce dans la fourchette 7/8, plutôt que sur la fourchette 6/7, comme j'étais prévu. Route classique pour monter sur Carquefou. Je roule jusqu'au péage de Montmarault, où je stop pour une vérification de mon chargement, mais aussi pour un très léger repas : abricot et yoghourt. Je couperais aussi sur feu la RCEA, afin de compléter 45, et file directement jusqu'à la Ferrière en Parthenay, avec une fin de journée à pratiquement 20H30. J'ai bien ma claque ce soir. J'ai claqué une première dix ce jour