Carnet de bord de Mars 2024 | Partager sur Facebook |
J'ai un peu d'appréhension d'aller chez ITM à Saint Quentin Fallavier, vu le temps que j'y ai passé les deux fois que j'ai livré là bas. Alors lorsque je pars m'enregistrer, je me demande à quel moment je vais être appelé. Et bien, tout bien ce jour ; juste le temps de prendre un petit déjeuner rapide au camion, ue je reçois un SMS me demandant d'aller au quai 6. Je me bats avec la cale à placer entre les essieux de la remorque. Lorsque j'arrive dans le bureau d'accueil, je reconnais la dame de la dernière fois....elle aussi "votre visage me dit quelque chose". "Oui, vous pouvez, j'ai attendu 14h00 pour être déchargé". On en sourit, elle me dit de rjoindre le dépôt pour qu'un cariste puisse attaquer le déchargement. Oulah, on ne décharge plus nous même? Génial.
Le cariste n'est pas bavard, voir muet, mais il est rapide : moi ca me va, je ne suis pas là pour me faire des amis.
A 8H50, je récupère mes papiers, et je peux filer direction St Genis Laval, pour récupérer un complément à monter à St Pierre des Corps, alors que je monte trois bobines pour Luynes. Une fois à l'ouest, une fois à l'est de Tours.
L'accès du client dans la ZI des Sources n'est pas des plus aisé ; ca passe mais on y va doucement. Les palettes sont prêtes, et elles sont donc rapidement dans la caravanne. Je les pousse au tablier, vu que je ferais le client de St Pierre des Corps en second, vu que je partirais en direction de Vendome pour recharger un complet pour la Drôme.
Je descends au dépôt via l'A7, c'est un peu plus long que par la N86, mais tellement plus direct.
Personne dans le hall des bobines, mon affaire ne traine pas. Tout juste 31 mn quand je remonte dans la cabine. Un rapide coup de fil à Cindy ; rien de spécial, donc je file.
Quand je vais sur Tours, je monte par Roanne, St Pourçain, Montluçon, Chateauroux et Loches. Demain, je devrais être vraiement lourd, alors qu'aujourd'hui, je suis à 24 T, je descendrais sans doute pour l'autoroute jusqu'à Bourges, puis la N7. Enfin, demain, on verra bien