Carnet de bord de Février 2025 | Partager sur Facebook |
Ce n'est pas une superbe adresse, mais c'est bien clean et le personnel est sympa.
Je quitte mon parking vers 5H20, pour faire les 20 kms qui me séparent de ma destination. J'y arrive vingt cinq minutes plus tard, mais je me fais refouler. On ouvre à 6H00. C'est con, quand je suis arrivé, je me suis arrêté au fau, mais ils ont mis le feu au vert, pour me faire passer en bascule, alors je suis rentré. Ben non, il ne fallait pas rentrer, fais demi tour là bas dans le noir à contre main et dans le noir….gr gr gr. Ils me font même sortir de l'usine. Pour y revenir, je me fais bien chier. Bref, lorsque je reviens, cinq minutes plus tard, tout au plus, quatre camions sont en attente, mais eux, ils connaissent les lieux et n'avancent pas malgré le feu vert, sauf un PL, qui reviendra se garer derrière moi. A 6H10, je suis à quai, pour charger onze bobines de papiers, ca me change. D'habitude, on me pose les bobines à l'horizontal, ce jour, ce sera à la verticale. Le cariste déroule une feuille de papier sur le plancher de la remorque, puis attaque le chargement. Les bobines ne sont pas très hautes : 1.95 m et 2.15 m. Je sors du hall pour aller sangler, et je serais le seul dans la zone à sangler. Les autres sont partis dès le chargement effectué. Oup's.
J'y passerais bien une petite quarantaine de minutes ; le matin ca réveille bien, et je fais un bon exercice au frais. Par chance, je n'ai pas de pluie. Je vais voir les douches, mais non, on attendra d'être sur autoroute se laver et respirer un peu plus le frais.
Trois solutions :
Evreux, Orléans, puis rattraper l'A77, St Etienne, Vienne.
Paris puis A77.
Paris puis A6.
J'opte pour la solution numéro deux. Un peu d'autoroute, pas mal de 2 X 2 voies, et pas trop de ronds points. Et en kilomètres, il n'y a pas beaucoup d'écart. Le secteur parisien est au sport d'hiver, et ma foi, ça circule vraiment bien. A part, un accrochage à la hauteur de Morainvilliers, qui me fera perdre dans les cinq minutes, pas un coup de frein, juste un peu de lever de pied à certains endroits. A86 tout du long, jusqu'à rejoindre l'A6 à la hauteur d'Antony. Dans mon sens, ca rigole bien , mais pour ceux qui se dirige vers Paris, c'est encore bien le merdier. Il me semble que je stoppe à l'aire des Achères (est ce bien son nom), pour une douche, torchée en dix sept minutes. Je finis ma première période de conduite jusqu'à l'aire des Vignobles. Malgré que je sois à quelques encablures d'Auxerre, je ne vais pablorer (à dire avec un bon rhum)…
J'ai profité de ces trente minutes, pour me dégourdir les jambes, mais aussi, pour me restaurer légèrement. Un petit café chaud, car le temps est encore un peu sévère, puis on repart.
J'hésite à aller au bout des mes dix heures, et stationner dans la petite ZI de St Jean, mais au regard du programme de fin de semaine, cela ne sert à rien de pousser les heures au max, le boulot se fera de l même façon.
Je continue mon chemin par la N7, dont je commence à connaitre tous les nids de poule et je tire le frein de parc au dépôt de Veauche, juste avant la fermeture des bureaux. C'est cool, ils fermeront le portail derrière moi.
Au programme, nettoyage des tapis et du tableau de bord, ainsi que le pare brise que j'ai très mal fait ce matin en partant.