FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Aout 2024 Partager sur Facebook
  • Photos
  • En attente à La Ferrière
    Pause avant Roanne
    Un lever du jour
    La Côte Rotie
  • Mardi 27 Aout 2024
  •  

    C'est parti à 5H01, direction la Vendée. Jusqu'à 6H30, il fait encore bien nuit, mais le jour se lève assez vite. Et jusqu'à cette heure, je n'ai pas été trop dérangé par la circulation. Il faut dire aussi qu'après Bellac, et surtout depuis Confolens, où j'ai pris la direction de Niort, je me sens un peu seul. Olivier m'avait précisé qu'entre St Vaury et La Ferrière, il avait mis 4H05. Je ne pensais pas que je pouvais passer sur une seule période de conduite, mais ça c'est une bonne nouvelle. Entre Civray et Melle, je m'arrête pour un café mais aussi pour couper quinze minutes. Après 4H09 de volant, j'arrive devant la barrière du client, et "malheureusement, j'aperçois les camions d'Olivier et de Benoit. Mince, Olivier est arrivé à 8H00 ; Benoit a 8H30. En fait, c'est la reprise depuis hier dans la boite, et ils classent désormais leur matière première de façon différente et c'est un peu le brin. A mon arrivée, Oliver est appelé dans le hall de déchargement. Habituellement, nos trois bobines sont au sol après 15 mn au plus ; ce jour, ce sera trente, soit puisque je suis un peu "matheu", le double de temps. C'est au tour de Benoit, puis d'un NL, mais plutôt de l'est, et enfin, c'est mon tour.

    Il est pratiquement 11h00 quand je prends la direction des Achards. Olivier et Benoit sont partis charger sur le site, et je croiserais Olivier sur ma dernière gare (c'est le nom donné aux entrepôts : gare). J'en ferais cinq pour être précis, mais qu'est ce que c'est chiant que de multiplier les débâchage et les poses des barres à chaque arrêt pour charger quelques palettes, puis l'attente aussi. Je mettrais pas loin des trois heures pour être chargé. Une fois les papiers faits, je file à la douche. Les sanitaires ont été refaits, mais l'eau est froide. De cette saison, ca fait du bien, dans quelques semaines, on en reparlera.

    Il me reste dans les cinq heures à rouler, et je n'ai guère le choix que de descendre au max ce soir pour vider au plus tôt Bourg de Péage. Même route qu'à l'aller, et quand je pars Olivier vient prendre de mes nouvelles. Lui arrive au nord de Niort. Son chargement a pris quarante cinq minutes de moi que moi. 

    Je roulerais jusqu'à l'Etape Creusoise, comme hier soir, avec 4H35 de volant, mais si je m'arrêtais pour ma pause réglementaire, je ne pouvais plus partir cause amplitude. 

    Ce soir, il y a un peu plus de monde qu'hier.

     

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  • Mardi 27 Aout 2024
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    C'est parti à 5H01, direction la Vendée. Jusqu'à 6H30, il fait encore bien nuit, mais le jour se lève assez vite. Et jusqu'à cette heure, je n'ai pas été trop dérangé par la circulation. Il faut dire aussi qu'après Bellac, et surtout depuis Confolens, où j'ai pris la direction de Niort, je me sens un peu seul. Olivier m'avait précisé qu'entre St Vaury et La Ferrière, il avait mis 4H05. Je ne pensais pas que je pouvais passer sur une seule période de conduite, mais ça c'est une bonne nouvelle. Entre Civray et Melle, je m'arrête pour un café mais aussi pour couper quinze minutes. Après 4H09 de volant, j'arrive devant la barrière du client, et "malheureusement, j'aperçois les camions d'Olivier et de Benoit. Mince, Olivier est arrivé à 8H00 ; Benoit a 8H30. En fait, c'est la reprise depuis hier dans la boite, et ils classent désormais leur matière première de façon différente et c'est un peu le brin. A mon arrivée, Oliver est appelé dans le hall de déchargement. Habituellement, nos trois bobines sont au sol après 15 mn au plus ; ce jour, ce sera trente, soit puisque je suis un peu "matheu", le double de temps. C'est au tour de Benoit, puis d'un NL, mais plutôt de l'est, et enfin, c'est mon tour.

    Il est pratiquement 11h00 quand je prends la direction des Achards. Olivier et Benoit sont partis charger sur le site, et je croiserais Olivier sur ma dernière gare (c'est le nom donné aux entrepôts : gare). J'en ferais cinq pour être précis, mais qu'est ce que c'est chiant que de multiplier les débâchage et les poses des barres à chaque arrêt pour charger quelques palettes, puis l'attente aussi. Je mettrais pas loin des trois heures pour être chargé. Une fois les papiers faits, je file à la douche. Les sanitaires ont été refaits, mais l'eau est froide. De cette saison, ca fait du bien, dans quelques semaines, on en reparlera.

    Il me reste dans les cinq heures à rouler, et je n'ai guère le choix que de descendre au max ce soir pour vider au plus tôt Bourg de Péage. Même route qu'à l'aller, et quand je pars Olivier vient prendre de mes nouvelles. Lui arrive au nord de Niort. Son chargement a pris quarante cinq minutes de moi que moi. 

    Je roulerais jusqu'à l'Etape Creusoise, comme hier soir, avec 4H35 de volant, mais si je m'arrêtais pour ma pause réglementaire, je ne pouvais plus partir cause amplitude. 

    Ce soir, il y a un peu plus de monde qu'hier.