| Carnet de bord de Mai 2025 | Partager sur Facebook |
Voilà, ce matin, j'avais la plume légère et inspirée. Pendant que la Nespresso prépare mon café du matin, j'ai pu écrire quelques lignes. J'ai rattrapé mon retard. La ZA s'active un peu vers les 7H00. Hier soir, c'était bien calme, hormis vers 21H00, alors que je rentrais de ma petite promenade deux kékés avec des voitures tunées, sont venus faire des courses en ligne droite, en montant les moteurs au rupteur ; ca crachait sévère à l'échappement. Ca va ils sont restés un bon quart d'heures.
De loin, j'ai pu voir deux voitures arrivées chez le client. Malgré qu'il ne soit que 7H30, je m'avance doucement, et me gare sur le trottoir. La femme qui me reçoit m'indique le quai trois, mais je devrais attendre l'arrivée du personnel vers 8H00. Ma foi, c'est leur heure d'ouverture, pas de souci.
Une navette se présente, je serais donc charger juste derrière elle. Mais ca va vite ; un cariste approche les palettes et nous sommes deux à rentrer les vingt deux palettes d'isolant de façade. Limite, il serait possible de les charger à la main. Une tonne deux cents annoncées. Si il grêle à nouveau sur la Haute Loire, je ne pourrais pas passer, non plus, un peu comme il y a trois semaines déjà.
Sur la route, je suis ralentit par un lot de camping car qui se suivent. Je n'aurais mon salut qu'à la sortie du Puy, sur a deux fois deux voies, et dans la montée….
Je ne sais pas pourquoi je les ai doublés, car je m'arrête au Pertuis pour quelques emplettes. Pas de Devred ou Celio, mais une belle bonne salaison.
Quelques saucissons pour l'apéritif, c'est mieux que les chips! une côte de Bœuf du Mézenc, et deux saucissons. J'en profite pour un petit cassage de croute, avec un seigle acheté à la boulangerie face à la salaison.
Le client m'attend pour 13h00. Sur les derniers kilomètres, je croiserais Dam's et son Merco, dans le contournement de St Chamond (heureusement, qu'il me klaxonne), puis Tophe et sa cuve, vers Rive de Gier. J'ai bien écris et SA cuve, et non pas (à lire d'un air désespéré), "Tophe, et ça cuve!". Encore que, va savoir.
Client facile à trouver face au barrage de Reventin. On vide à l'intérieur d'un hall, et à deux, c'est torché en vingt minutes. Retour au dépôt pour charger mes trois bobines. Plein, karcher, on ne change pas les habitudes du vendredi, sauf que nous sommes mercredi.
Je monte avec Olivier. Pour faire le boulot correctement de mardi, il faut vider lundi après midi et non pas mardi matin, sinon, on sera trop juste.
Je vais rouler essentiellement en bobines cette semaine, en réalisant à partir de mardi des inter liaisons entre agences Bacacier.
Bon courage à ceux qui plantent, notamment mon collègue Robert.
Bon weekend à tous.