FDR - Carnet de bord
Carnet de bord de Septembre 2024 Partager sur Facebook
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  • A quai à SQF
    On vide à quai
    La traversée de Charlieu
    Le Ford "compétition"
  • Lundi 30 Septembre 2024
  •  

    C'est parti ce jour pour une journée ou deux en boite ; comprenez journée container.

    Ce matin, j'ai RDV à Pusignan à 6H00 pour vider un container de 40 pieds. Olivier, qui est en container aussi, est parti tôt ce matin ; on s'est loupé pour cinq minutes. La rocade est  déjà pas mal chargé, et je suis très surpris de voir que la bretelle qui mène à Meyzieu, mais qui dessert aussi la nouvelle zone d'activité de Pusignan, est déjà bien encombrée de VL. Quatre camions en boite sont devant moi à l'approche du client ; pas étonnant au regard de l'immensité du site. Je suis envoyé à la porte 74, mais avant tout, je dois passer au contrôle "gazeux". Cela prend bien deux à trois minutes par boite. Lorsque j'arrive au bureau, on me demande d'aller en porte 21. Zut, j'y suis passé, et je me dois donc de refaire un tour des bâtiments. AU bureau de la porte 21, il n'y a personne, les locaux sont éteints ; je pars au poste de garde régler mon petit problème. Retour à la porte 21, ou ça tergiverse : on ne me trouve pas, puis si mais de l'autre côté du bâtiment, puis non, c'est ici. Au bout de dix minutes, je leur signale que je pars me faire couler un café et je reviens dans dix minutes pour connaitre leur décision.

    Dix minutes plus tard, c'est tout bon, mais je vais au quai huit. Raisonnablement, on me dit de ne pas refaire un tour de bâtiment, mais de reculer jusqu'au quai.

    Le déchargement prendra bien une heure, ce qui me laisse le temps de prendre un petit déjeuner. Retour au dépôt, mais par SQF et Oytier, car l'accès à la rocade de Lyon est blindée. 

    Au dépôt, on me signale un changement de programme ; au lieu de partir sur notre tout nouveau site "rail-route" de Gerzat, le fameux site de la COMBAUDE, je prends un quarante pieds pour St Didier de Cabanne, autrement dit la banlieue nord de Roanne. Avec seize tonnes, le camion est vraiment agréable à conduire, Les côtes sont vite avalées. Le client est très facile à trouver le long de la départementale, dans une petite zone d'activité. Je me mets à quai à l'extérieur, mais c'est l'heure de la pause de midi, mais elle ne durera que trente minutes. On vide du matériel de manutention, qui est placé sur des châssis. En trente minutes, je suis vide et peux retourner au dépôt.

    Cette fois, je reprends bien un container pour Clermont, et celui ci ne dépasse pas dix tonnes. Avec ce poids, l'A89 n'est qu'une formalité, ce qui tombe bien car il serait bon de clôturer cette journée en treize heures (ou moins, bien entendu).

    Pour cela, je me gare au dépôt de Thiers avec dix minutes d'avance ; c'est tout bon.

    Demain, je n'irais qu'à 7H30, car d'après mes collègues qui ont fait les navettes semaine dernière, il y a beaucoup de monde entre 6 et 8.